Une nouvelle vie, une nouvelle air fin de transition

Voilà après 3 ans de combat de transition hormonal, la route étais longue, les virages entre les hommes que des blessures, une famille pitoyable qui ne cherche pas à comprendre le raisonnement de ma transition…

Une nouvelle vie, une nouvelle air fin de transition

Aujourd’hui je le vis bien malgré les circonstance, dans les deux semaines avenir cela ne sera plus Diana la transgenre, sera Diana une femme complète qui vas subir une chirurgie vaginoplastique à l’hôpital Tenon, sur Paris dans les deux semaines avenir je pourrais enfin commencé une nouvelle vie..

Rentrons dans le sujet direct, l’année 2020, m’a fait comprendre que compter sur moi-même étais la meilleure choses à faire pour son avenir, le développement de soi, ce réinventé, c’est ce que je compte y faire réinventer la vie.

Les harcèlements de rue ne pourront ni finir aujourd’hui ni demain, ce que je sais vos mieux compté sur ces convictions de savoir vraiment de ce qu’on veut vraiment..

Les années 60 C’est terminé, on est en 2021 le temps passe vite, ce que je sais de Grand’Est, Nord, Sud, L’ouest, peux importe la ou ont vie, le monde consomme tout le monde..

Maintenant que mon rêve se réalise, je ne sais plus comment je vais m’y prendre car entre mes cuisses sans être vulgaire non plus, j’aurai un vagin et cela me fait bizarre de le dire, une nouvelle expérience, une nouvelle vie, je me suis battue seule depuis tout petite et aujourd’hui je réalise mon rêve…

Plan B, Plan alternative à mon avenir, suite à une année difficile avec mon entreprise, mes contacts, mon abonné(es), ainsi l’environnement, je suis candidate pour être mannequin j’espère faire des grandes choses si je décroche un contrat avec le futur magazine ******* Cela restera secret jusqu’en mars 2021…

Ainsi la convention des fonds de la pars de la fondation de la deuxième chance et la je pourrais enfin me féliciter d’avoir tenue durant toutes ces années, j’essaye de faire les choses bien de créer un règlement comment un avocat que d’autre ne font pas grand choses dans leur vie il en tire mérite à la une comme si c’étais Jésus …

Et moi, je ne veux pas être comme tout le monde, je n’ai pas à prouvée quoi ce soit à qui ce soit, je sais que je peux être à la fois une excellente rédactrice en chef, et à la fois être un mannequinat, j’ai ni mari, ni enfant, ni famille, ni des employées, un jour surement !!

Pas plus tard qu’hier, quand j’ai eu cette bonne nouvelle de chirurgie, moi qui pensais que c’étais officiellement le mois de mars, alors la je n’ai pas cru quand elle me disait il il y a eu un changement cela et dans deux semaines, heureuse et fier quand je me retourne, quand je pense quelle chemin j’ai parcourue pour en arrivée à la..

J’en suis fière, et je garde ma fierté cela plais ou non, chacun de nous sait ces choix, de ce qu’il fait pour obtenir ce qu’il désire, et si je commence a dessiné, un tableau on ne sera pas sortie et beaucoup vont se sentir viser et vexé(e), je n’ai pas envie d’arrivée à là..

Un jeune viens me voir suite à l’appel téléphonique de l’hôpital Tenon, il m’a dit que je lui plaisais, et il était prêt à me donner entre 500 et 10000 euros pour avoir un rapport sexuel avec lui, moi la folle dingue qui ne sait jamais quand je vais me mettre à disjoncter pour du sexe, enfin a vrai dire que c’est mon côté le plus réconfort, pour moi depuis un moment, je ne vais pas le nieller, et hier j’ai changé en lui disant non que j’aie étais pas la bonne à tous le grand ‘est pour un service sexuel, l’homme persécute vraiment de c’est désire sexuelle, j’ai perdu mon sang-froid en arrière seconde, je ne me suis jamais vue comme ça enfin si, j’ai, mais pas comme ça…

Si vous pouvez voir l’expression de mon visage, vous aurez eux un coup de froid en me disant que je suis bien froide…

Cela montre que, je peux mériter bien plus que de soulager tous une braguette de patriarcat, qui m’apporteront rien à la vie..

À part qu’il veut tirer profit de ce que je suis aujourd’hui une transsexuelle vue je me fais opérer vos mieux être direct je vais subir une chirurgie vaginoplasitique.

Diana Unlimited Publication http://dianaunlimited.fr

Diana Abdou 30 ans de Sainte-Ruffine, Je suis auto entrepreneuse d'une maison d'édition depuis le 13 novembre 2019, je suis passionnée par les magazines de mode ayant créé mon propre site pour réaliser mon rêve de créer un magazine homonyme (mixte transsexuelle ) Diana Unlimited c’est avant tout une marque, c’est un mode de vie, et illimité est vraiment le bon mot parce que nous prévoyons d’avoir des entreprises dans toutes les formes de médias que vous pouvez imaginer. Y compris notre magazine homonyme. Je vous présente une nouvelle vision et une nouvelle mission de se concentrer sur les filles les femmes et les transidentités qui ressentent leur propre pouvoir illimité.
Alors à très bientôt dans mes pages..

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[…] “Vous me demandez où je me situe dans ma transition ? (Silence.) Non, ça ne fonctionne pas comme ça.” Derrière sa cascade de mèches brunes, Naëlle s’amuse de nos certitudes avant de percer le malentendu, du bout de sa question rhétorique. “Pourquoi faut-il qu’il y ait toujours un début et une fin ? Pour nous comprendre, il faut intégrer que les évolutions de chacun, et chacune, ne sont pas balisées. Nous savons que le point de départ ne nous convient pas, que l’on veut s’en affranchir, et surtout, nous ne savons pas encore où cela nous mènera.” En une phrase, la documentaliste de 28 ans nous met face au premier cliché qui surgit dans l’inconscient collectif, au contact du mot “trans”. Sans réfléchir, instinctivement, le suffixe “sexuel” s’y appose. Trop vite, bêtement. Les images mentales se précipitent alors : le cliché niché dans les boas de la fameuse meneuse de revue Coccinelle, le reflet enivrant des hyperfemmes du cabaret de l’Alcazar, le charme capiteux de la rumeur attribuée à Amanda Lear (dont Régine aurait récemment dévoilé le supposé secret, l’air de rien, consciente de tout, dans une ambiance de scandale à 20 balles). Mais aussi la détermination de ces femmes du XXe siècle, telle Bambi, qui chipait des hormones dans le sac de ses copines avant de se faire opérer, comme elle le raconte dans le sublime Bambi, de Sébastien Lifshitz, en 2013. Mais voilà, si belles soient les odyssées de ces icônes de la transition, la finalité même de ces destins représente le point de rupture avec la jeunesse que Grazia a pu rencontrer, réunie autour d’un même souhait, défini par Naëlle : “Ma motivation n’était pas de devenir une femme. Mais de ne surtout pas devenir un homme.“ […]

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