Trop souvent, ce qu’on désire le plus au monde, est justement ce que l’on ne peut pas avoir. Le désir parfois, peut vous briser le coeur, vous anéantir.

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Le désir peut faire de votre vie en enfer. C’est dur de vouloir quelque chose qu’on ne peut pas avoir. Mais ceux qui souffrent le plus, sont ceux qui ne savent pas ce qu’ils veulent.

On ne souhaite pas des choses faciles, on souhaite de grande choses, des choses ambitieuses, hors de portée. On fait des voeux parce qu’on a besoin d’aide et qu’on a peur. Et on sait qu’on en demande peut-être un peu trop. On continue à faire des voeux pourtant, parce que, parfois, ils se réalisent.

À chaque instant, le cerveau a 14 milliards de neurones qui fusent à la vitesse de 700km/h. On ne contrôle pas la plupart d’entre eux. Quand on a froid : la chair de poule. Quand on est excité : l’ adrénaline. Le corps suit naturellement ses impulsions, c’est pourquoi c’est, en partie, si difficile pour nous de contrôler les nôtres. Bien sûr, quelque fois, on a des impulsions qu’on préfère ne pas contrôler, que l’on regrette ensuite.

La douleur, vous devez arriver à la surmonter, espérer quelle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui l’a causée ce referme. Il n’y a pas de solution, pas de remède miracle, vous devez respirer à fond, et attendre qu’elle s’estompe. La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître. Et ne vous lâche pas. La douleur, vous devez juste continuer à vous battre, parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus.

Il est dit qu’on ne lâche pas sa dépendance tant qu’on a pas touché le fond. Mais comment sait-on qu’on y est ? Parce que peu importe combien quelque chose nous blesse… parfois l’abandonner fait encore plus mal.

Chacun a toujours, au plus profond de lui-même, un désir secret, un désir plus fort que tout, un désir fou.

Nous n’arrivons pas à changer les choses suivant notre désir, mais peu à peu notre désir change.

L’amour ne se manifeste pas par le désir de faire l’amour -ce désir s’applique à une innombrable multitude de femmes – mais par le désir du sommeil partagé -ce désir là ne concerne qu’une seule femme.

Puisse chacun avoir la chance de trouver justement la conception de la vie qui lui permet de réaliser son maximum de bonheur.

On prend pas toujours du recul juste pour fuir… NON! Car, des fois, c’est notre meilleure chance d’avoir plus de force pour mieux avancer.

Qu’on me donne l’envie, l’envie d’avoir envie… Les envies pour moi sont comme ma chance qui passe mais qui ne s’arrête pas…

C’est une incroyable chance d’avoir quelquefois le temps de vivre, le temps de la conscience, de pouvoir s’arrêter quelquefois, reprendre souffle et lever la tête pour contempler l’étonnant paysage autour de soi, y reconnaître sa place et se perdre en lui.

Les hommes croient toujours que le malheur n’est pas pour eux : chacun espère avoir la chance de Métellus, comme s’il y avait forcément plus de gens chanceux que malchanceux ; comme si l’on pouvait être assuré de quoi que ce soit ici-bas ; comme si l’espérance était une attitude plus sage que la peur.

Dépêchez-vous de vivre, dépêchez-vous d’aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n’est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l’on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l’on se rend compte qu’on a laissé passer sa chance.

La chance nous sourit tous les matins, le bonheur nous accueille tous les soirs, et on s’en rend pas compte. On s’y habitue et on pense que ce sera tous les jours ainsi. On fait pas gaffe à ce que l’on possède puis, hop ! D’un claquement de doigts, on s’aperçoit que l’on a tout faux. Parce qu’on croit avoir décroché la lune, on veut croquer le soleil aussi, et c’est là que l’on se crame les ailes…

Pardonne et oublie, c’est ce qu’on dit. Quand quelqu’un nous blesse, on a envie de le blesser aussi. Quand quelqu’un nous fait du tort, on veut avoir raison. Sans le pardon, les vieux compteurs ne sont jamais remis à zéro… Les vieilles blessures ne guérissent jamais. Et ce qu’on peut espérer de mieux, c’est qu’un jour on aura assez de chance pour oublier !

Mais rien n’assure qu’une page obscure a de la profondeur par surcroît. J’ai connu un professeur de philosophie qui rédigeait d’abord un cours intelligible. Il le saupoudrait ensuite de ce qu’il appelait « l’obscurité nécessaire », sans quoi, croyait-il, sa marchandise n’aurait pas excité l’entendement des grands élèves. Il avait bien du mérite. Je soupçonne que l’obscurité n’est pas le dernier habillement et comme la voilette d’une pensée, mais le premier état et le définitif. On naît, on meurt obscur. Celui qui a reçu des dieux ce don de la confusion des pensées, qu’il se console et qu’il coure sa chance. Il risque d’être prophète, d’avoir prestige, disciples, église. L’obscurité dont on souffre en secret comme d’une impuissance, voici qu’on découvre qu’elle est adorée de certains hommes et cela vous force à devenir le prêtre d’une religion ayant racine dans votre infirmité. Mais la technique de l’obscurité ne s’apprend pas à l’école. Jusqu’ici, du moins, l’école devait vous apprendre à exprimer tout ce qui se dissimule. La question constante du maître à l’élève, c’est : « Qu’avez-vous voulu dire ? » L’idéal du maître, en Occident consiste à préparer un dialogue entre les hommes. Et la conversation suppose qu’on puisse à chaque moment savoir ce que l’autre vous a dit. Si vous entendez causer deux Obscurs, vous observerez que chacun attend en silence que l’autre se soit tu pour placer son chant.

On pardonne un jour tous les faits de guerre. On n’oublie guère les effets de l’amour.

La nature ne pardonne pas, n’oublie rien… Des coups, elle peut en supporter mille et rendre soudain non pas œil pour œil mais apocalypse pour chiquenaude.

La plupart d’entre nous pardonnent et oublient. Ce que nous voulons c’est que l’autre n’oublie pas que nous avons pardonnée.

L’amour n’est pas doux, il te tord les boyaux. Il te rend faible, tu abandonne tout tes principes pour t’accorder avec une personne. Tu te sans vide sans elle. Pourtant, paradoxalement tu en redemande. Tu veux être proche de cette personne, être la seule sur qui ses yeux se pose et pas une autre. L’amour te change, il décuple tes sentiments, comme la jalousie. Et il en étouffe d’autres, comme la raison.

Quand on répète que l’amour est remplacé à la fin entre les époux par une solide amitié, on veut dire seulement que les sens s’apaisent ou s’épuisent; car l’amour conjugal conserve tous les autres caractères de l’amour. Il est protecteur et dévoué chez le mari, tendre et soumis chez l’épouse; il comporte un désintéressement absolu, l’union des âmes la plus intime et la plus complète. L’amitié, même parfaite, est un sentiment froid et réservé auprès de celui-là. L’amour conjugal est comme la base sur laquelle reposent tous les sentiments qui font le charme et le lien de la famille. N’en médisons pas, ne le dédaignons pas. Il n’y a, sans lui, ni bonheur ni dignité du foyer domestique.

La philosophie est donc l’amour de la vie quand même, de sorte que je dis ce qu’ont dit tous les bons philosophes : pour les mêmes raisons que Montaigne intitule un chapitre que philosopher c’est apprendre à mourir , il est tout aussi vrai que philosopher c’est apprendre à vivre. La philosophie, c’est le savoir-vivre dans tous les sens du terme.

Certains pensent que l’amour est au bout de la route et que, si on a la chance de la trouver, on s’arrête. D’autres vous diront que c’est plutôt une embardée, un vol plané, et la plupart de ceux qui ont un peu de jugeote savent qu’il change au fil du temps. Selon l’énergie qu’on lui consacre, on le garde, on s’y accroche ou on le perd. Sauf que, parfois, il est absent dés le premier jour.

L’hypocrisie de l’amour est un des fléaux de la société.

Ce qui manque si tristement au monde actuel, ce sont la grandeur, la beauté, l’amour, la compassion – et la liberté. Fini le temps des grandes figures, des grands meneurs, des grands penseurs. À leur place, nous cultivons un bouillon de monstres, d’assassins, de terroristes, comme si nos gènes contenaient violence, cruauté et hypocrisie.

Prétendre qu’une union fondée sur les convenances ait beaucoup de chances d’engendrer l’amour, c’est une hypocrisie ; réclamer de deux époux liés par des intérêts pratiques, sociaux et moraux que tout au long de leur vie ils se dispensent la volupté est une pure absurdité.

La gentillesse n’est pas donnée à tout le peuple, mais quand elle s’ajoute à une de tes qualités, alors saisis-la, car jamais tu n’auras l’opportunité d’entendre quelqu’un te dire que tu es d’une telle gentillesse, et par hypocrisie elle essaiera d’en abuser tellement tu seras naïve avec celle-ci, alors n’ouvre pas ton coeur à n’ importe qui, mais donne le plutôt à tes proches les plus chers ! Car eux seront reconnaissants envers toi ! Et seront toujours auprès de toi quoiqu’il arrive ! Tout cela par Amour…

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