Mon Yoann. Dans ma vie, j’ai vécu, j’ai aimé, j’ai perdu, j’ai regretté, j’ai eu mal, j’ai fait confiance, j’ai fait des erreurs, mais avant tout, j’ai appris. Reste avec moi ; J’me dis que si un jour tu me donnes une seconde chance, je ferais tout pour rester avec toi. On a parfois l’impression que le monde est fait de choses qu’on subit : les tremblements de terre, les inondations, les guerres, la télé-réalité, etc. Mais il est important de se souvenir qu’il y a des choses qu’on maîtrise, comme le pardon, la deuxième chance ou les nouveaux départs, parce que la seule chose qui transforme le désert de solitude qu’est le monde en un endroit merveilleux, c’est l’amour. L’amour sous toutes ses formes. Il n’y a d’homme accompli que celui qu’on aime. Il est toujours parfait, celui-là, puisqu’on aime tout en lui. L’amour nous donne de l’espoir. De l’espoir pour le nouvel an. C’est ça le soir du réveillon pour moi : l’espoir, et une méga fête ! Pardonner, c’est une façon de se faire prendre encore une fois pour un con par une personne en qui on a cru qu’on pouvait ravoir confiance et ne pas douter de sa sincérité. C’est un risque à prendre, mais on est plus souvent déçu qu’autres choses. Nourrir ceux qui ont faim, pardonner à ceux qui m’insultent et aimer mon ennemi, voilà de nobles vertus. Mais que se passerait-il si je découvrais que le plus démuni des mendiants et que le plus impudent des offenseurs vivent en moi, et que j’ai grand besoin de faire preuve de bonté à mon égard, que je suis moi-même l’ennemi qui a besoin d’être aimé? Que se passerait-il alors?.. Demander pardon, c’est toujours convenir qu’on a tort, et il n’est pas permis à une personne sensée qui pense et qui sait réfléchir, d’avoir dit ou de faire des sottises. Pour pardonner, il faut aimer et être aimé. Seuls ceux qui pardonnent peuvent être libres. Quiconque pardonne n’est plus prisonnier. Fais-toi pardonner ta puissance par ta douceur : mérite d’être aimé ; redoute d’être craint. Je t’ai déjà pardonné, va… Tu ne les pensais pas tes paroles, je le sais bien, mais il faut que tu fasses attention quand même. Tu sais, faut en prendre soin des gens qui sont corrects avec toi. Tu verras en vieillissant que tu n’en croiseras pas tant que ça.J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublié des personnes inoubliables. J’ai agi par impulsion, j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables, mais j’ai déçu des gens aussi. J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger. Je me suis fait des amis éternels. J’ai ri quand il ne le fallait pas. J’ai aimé et je l’ai été en retour, mais j’ai aussi été repoussé. J’ai été aimé et je n’ai pas su aimer. J’ai crié et sauté de tant de joies, j’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J’ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureuse d’un sourire. J’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie. J’ai eu peur de perdre quelqu’un de très spécial (que j’ai fini par perdre). Mais j’ai survécu ! Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en lasse pas. Et toi non plus tu ne devrais pas t’en lasser. Vis ! Ce qui est vraiment bon, c’est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant… parce que le monde appartient à celui qui ose ! La vie est beaucoup trop belle pour être insignifiante. Je ne cours pas après la chance, je l’espère. Le bonheur appelle le bonheur ! Je n’ai jamais eu de chance avec les hommes . Il est toujours arrivé un moment où leur bêtise a dépassé mon amour. La sagesse nous défend de lâcher un bien actuel pour le fantôme éloigné ou la perspective douteuse de plusieurs biens à venir ; si l’occasion nous rit, si nos pas heurtent une bonne chance, n’attendons pas au lendemain pour en tirer parti, car le bonheur placé dans l’avenir seul recule à mesure qu’on le poursuit ; alors on peut dire : Toujours vers l’avenir par l’espoir emportés, nous ne vivons jamais, nous aspirons à vivre. Rester dans sa propre peau, jouer son propre jeu, exploiter ses chances, s’intéresser à ses affaires, tourner autour de son axe, tracer son orbite, avoir goût à soi-même, s’affirmer avec plaisir, dilater sa personnalité, c’est la première condition pour réussir, et la première souvent qu’il nous manque. L’homme parfait, s’il existait en ce monde, ne serait qu’un sujet de haine et d’envie ; celui qui est à demi-vertueux et bienveillant, doit déjà se vanter de vices, qu’il n’a pas, pour ne pas humilier ses amis. Tu es, mon amour, la joie qui me reste quand je n’ai plus de joie. Mon amour, nous voir est notre unique bonheur ; nous aimer est toute notre vie : nous ne renoncerons à l’espoir de nous réunir, nous ne sentirons éteindre notre amour, qu’en exhalant notre dernier soupir. Nous passerons de doux dimanches, plus doux que n’est le chocolat, jouant tous deux au jeu des hanches : le soir, j’en serai raplapla. Quand ta bouche sourit, je ris ; c’est par toi mon amour que je vis. Ô mon amour, pour toi je traverserai un océan, pour déposer sur ton beau front, un doux baiser brûlant ; Ô mon amour, pour toi je traverserai une colline, pour déposer sur tes douces lèvres, ma bouche si coquine ; Ô mon amour, pour toi je traverserai un feu de bois, pour déposer sur ton beau corps, mes tout petits doigts. Mon amour, tu es pour moi la dernière manifestation de la beauté, à mon usage privé. Doute que le feu soit dans la terre, doute que les astres se meuvent, doute que la vérité soit la vérité, mais ne doute pas de mon amour. J’ouvre les yeux et c’est pour toi que je veux vivre, mon amour. Ce n’est pas suffisant d’être l’amour de quelqu’un. Ça ne signifie pas que tout va bien, ça ne signifie pas que tu es l’homme de ma vie et que je suis la femme de ta vie. Tu est mon unique amour toi l’homme que j’aime tu m’a rendu forte, plein d’espoir, de sensation et je t’aime pour cela. Dans mon âme je m’égare dans l’espoir de ne jamais en revenir car en mon âme il y a toi, ancrée au plus profond de mon cœur pour ne jamais en ressortir

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