
Une coloration qui tourne mal, un relooking raté, un make up too much : 6 femmes nous racontent leur pire faux pas beauté.
Christine : le relooking total, total cata. Je me suis laissée tenter par une coupe Jean Seberg et un blond platine, d’un coup d’un seul. Déjà c’était moche et ensuite, en refaisant une décoloration, les racines sont devenues oranges. C’était vraiment très réussi !

Camille : l’autobronzant mal maîtrisé. J’ai la peau très blanche, alors lorsque l’envie m’a pris de mettre de l’autobronzant sur les jambes, un matin, j’ai du ensuite les cacher toute la journée : le produit avait viré, et tout le monde a bien noté ce joli jaune qui teintait mes gambettes en jupe très courte…
Cécile : vous connaissez le roux stabilo?Je fais moi même ma couleur à la maison et, régulièrement, j’ai des envies de devenir blonde. J’ai l’habitude de faire des shampoings décolorants et même si à chaque fois je me suis retrouvée avec une magnifique crinière rousse, je n’ai jamais désespéré. Je faisais alors une couleur par dessus et étais presque contente d’avoir gagné quelques tons sur ma couleur de base plutôt foncée. Mais il y a quelques mois, en renouvelant cette opération qui n’a plus de secret pour moi, j’ai eu la mauvaise surprise de découvrir que mes cheveux étaient fatigués de toutes ces expériences capillaires: le roux habituel de la décoloration était devenu un vrai orange tendance fluo (genre “surligneur”!). A ce stade là ça m’a fait marrer, je me disais “une bonne couleur par dessus tout ça et on oublie”, sauf que 3 couleurs (oui, 3 en 1 semaine et à chaque fois plus foncée!!) plus tard je faisais toujours de la concurrence à Stabilo! Moi qui refusais d’aller chez un professionnel pour faire mes couleurs sous prétexte que je savais très bien le faire moi même et que ça me revenait moins cher… j’ai couru chez mon coiffeur qui, comme de bien entendu, m’a copieusement engueulé. Bilan: j’ai fini châtain foncé (juste l’opposé de ce que je voulais) et, au total, cela m’a couté la modique somme de 150 euros!

Alexandra: l’épilation maison. Un soir avant d’aller au Baron, j’ai décidé de m’épiler seule le maillot à la cire. Habituée à me faire les aisselles, je fais chauffer une bonne dose de cire dans l’appareil adéquat habituellement utilisé. J’applique une large bande de cire chaude entre les jambes, puis essaie de refaire les gestes de l’esthéticienne. Catastrophe! Les larmes me montent aux yeux, impossible de tirer cette large bande qui refroidit rapidement. Alerté par les cris, mon fiancé arrive et éclate de rire… Je le supplie de m’aider, il essaie tant bien que mal : 1 fois, 2 fois, 3 fois… mais la bande casse au fur et à mesure, je souffre le martyre… Action, réaction, délivrance, il a fini par couper un à un aux petits ciseaux le reste des poils coincés par la cire… Cinq coups de rasoir et un tube de Biafine plus tard, j’étais enfin prête à sortir ! Souffrir pour être belle, ok, mais chez une professionnelle!

Nina : la permanente qui vire au drameAvec mes cheveux déjà ondulés, je voulais de la vraie bonne frisette ! Ni une, ni deux, je fonce m’acheter une permanente à faire soi-même au supermarché du coin… Je partais quelques jours après en Grèce: soleil oblige, je me suis retrouvée avec une sublime mèche jaune pipi sur le devant façon queue de vache, et un beau paillasson sur la tête ! Plus jamais ça, désormais je dis: vive le naturel !
Amélie : les lingettes auto-bronzantes, plus jamais! Ma pire cata beauté : le jour où j’ai décidé d’utiliser des lingettes auto bronzantes sur le visage. A mon retour de vacances, il me fallait une solution pour faire perdurer mon bronzage, hors de question de faire des UV, je me rabats alors sur des lingettes auto-bronzantes qui me promettent de garder “une belle peau satinée pendant 365 jours”. Il est 22h, je passe une lingette sur le visage avant de me coucher. Dès mon réveil, je me regarde dans la glace, et là, à ma grande stupeur, une jolie tache bien orange trône sur mon nez… Et maintenant, je fais quoi? Et bien je la garde pendant près de 5 jours en trouvant mille et une excuse lorsque l’on me demande, mais Amélie, qu’as-tu sur le nez?
Peut être aurais-je dû utiliser une lingette peeling pour la faire disparaitre? Sur le coup, je n’y ai même pas pensé!
La lingerie fait partie de la vie de n’importe quelle femme au monde. Même si, en règle générale, lorsqu’on prononce le mot lingerie, on pense à la séduction et donc au sexy, sachez que la lingerie comprend l’intégralité des sous-vêtements et des vêtements de nuits d’une femme. En d’autres termes, les pyjamas font partie de la catégorie lingerie par exemple. Dans leur tiroir, les femmes ont plusieurs panoplies de dessous, des confortables, des sexy, des coquins… Mais qu’est-ce qui différencie la lingerie de tous les jours de la lingerie sexy ?
Y-a-t-il une différence entre lingerie classique et lingerie sexy ?
La plupart des femmes veulent être confortables et à l’aise dans leur lingerie car elles la portent toute la journée. En effet, une femme est active de quand elle se lève, à quand elle se couche. Elle doit s’occuper des enfants, de la maison, de son chéri, de son travail… Par conséquent, une femme se doit de se sentir bien dans ses vêtements et dans sa lingerie. Alors, mesdames, quand vous avez envie de faire plaisir à votre homme, vous vous ruez dans une boutique de lingerie et achetez la pièce la plus excentrique, la plus tape-à-l’œil, la plus transparente. En un mot, celle qui vous semble la plus sexy du magasin. De cette façon, vous êtes sûre de rendre votre homme fou de désir pour vous. Mais est-ce vraiment utile d’acheter de nouveaux dessous pour être sexy ?
Les dessous en détail
Pendant très longtemps, la lingerie s’appelait « linge de corps » et concernait tout ce qu’une femme pouvait porter dans son intimité, sous ses vêtements ou la nuit. En 1968, la lingerie féminine s’est démocratisée et est devenue le symbole de la féminité, de la libération de la femme. Grâce à la lingerie, les femmes pouvaient exprimer leur droit, leur liberté, leur opinion. Depuis 1990, les dessous masculins sont entrés dans la catégorie de la lingerie, au même titre que les dessous des femmes.
Pas forcément.
Certes, il y a des dessous féminin plus sexy que d’autres, prenons par exemple les porte-jarretelles, les soutiens-gorge push-up, les bodys à dentelle, les strings, les combinaisons moulantes… Mais, soyez honnête, toutes ces pièces, sont-elles réellement confortables ? Vous sentez-vous à l’aise ? Une petite mise en pratique s’impose. Imaginez-vous dans une ambiance romantique, lumières tamisées, vous qui sortez de la salle de bain vêtue d’une petite robe noire ou rouge ou n’importe quelle couleur. Votre chéri d’amour est sur le lit en train de vous attendre. Vous le rejoignez et il décide d’enlever votre petite robe. La vue qui se dévoile sous ses yeux est tout simplement magnifique : vous voilà vêtue d’un body noir à dentelle. Votre homme est sous le charme et décide d’entrer dans le vif du sujet, seulement… Il y a un hic… Il est incapable de savoir comment vous retirer ce body fait d’une seule et même pièce, sans boutons d’ouverture. Sérieusement, cela ne vous ai jamais arrivé ? Comment vous sentez-vous dans ces moments-là ? Vous trouvez-vous sexy ?
Mais alors, la lingerie sexy existe ou pas ?
Alors oui, vous pouvez être sexy en lingerie en misant sur certaines pièces et couleurs. Le rouge et le noir sont très glamour, la dentelle et la transparence font très coquin tandis que la soie et le satin vous rendront sexy juste comme il faut. Les bas, les strings, les shortys ou encore les nuisettes peuvent être très sexy. Mais en réalité, la lingerie est sexy selon ce que vous en faites. Vous portez très bien la petite culotte en coton et le débardeur Petit Bateau ? Alors vous êtes sexy car vous vous sentez tellement à l’aise et en confiance que cela se ressent.
En clair, ce n’est pas la lingerie qui nous rend sexy mais plutôt le contraire alors se sentir bien dans sa lingerie est la clé de la beauté.
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