Quand on veut vraiment faire avancer ses projets, il faut souvent « donner un coup de collier » ou bien « prendre un coup de pieds aux fesses…

Le problème, c’est que ces déclencheurs sont nécessaires car on attend d’être motivé pour avancer.

Il existe pourtant une solution bien plus efficace : les habitudes.

Quand une habitude est installée, on ne se rend plus compte qu’elle est là, on l’oublie…

  • Supprimez les habitudes négatives qui vous empêchent d’atteindre les résultats que vous méritez.
  • Cultivez les habitudes positives vous permettent de vous rapprocher de vos objectifs.
L’envie, les idées et la motivation de mener ces projets à bien. 

6 étapes pour tirer avantage de la puissance des habitudes

Les habitudes sont puissantes et profondément ancrées en nous.

Il faut être plus malin qu’elles car il est impossible de changer toutes vos habitudes en même temps.

Vous devez suivre un procédé en 6 étapes :

  • Etape 1 : Identifiez une habitude qui plombe vos projets
    Qu’est-ce qui vous sert « d’excuse » quand votre cerveau a envie de faire le lézard au soleil ?
  • Etape 2 : Créez un déclic puissant
    Pour prendre conscience de votre mauvaise habitude à chaque fois qu’elle apparaît
  • Etape 3 : Tirez les enseignements de ce déclic
    Comment agir vous éviter de tomber dans votre propre piège
  • Etape 4 : Défiez votre ancienne habitude
    Exercez-vous à agir différemment pour « tuer » cette vieille habitude
  • Etape 5 : Ancrez votre nouvelle habitude positive
    Il faut persévérer jusqu’à ce que votre cerveau adopte le comportement positif comme un réflexe
  • Etape 6 : Recommencez le processus
    Attaquez-vous aux mauvaises habitudes suivantes. Exterminez-les une par une.

Le meilleur des déclics

A l’étape 2, vous avez vu qu’il faut un déclic. Un déclic positif et puissant.

Personnellement, je ne connais qu’un seul déclic plus puissant qu’un bon coup de pied aux fesses 

Ce déclencheur qui pousse à la réflexion et à l’action, c’est une phrase de motivation, une citation motivante.

Atteindre ses objectifs professionnels, c’est quand même le bonheur ! Je vous donne une vraie technique pour se fixer des challenges réalisables, pour mener vos projets jusqu’au bout ! C’est un vrai travail personnel !

Tu peux tout accomplir dans la vie si tu as le courage de le rêver, l’intelligence d’en faire un projet réaliste, et la volonté de voir ce projet mené à bien.

L’amour n’est pas tout fait. Il se fait. Il n’est pas robe ou costume prêt à porter, mais pièce d’étoffe à tailler, à monter et à coudre. Il n’est pas appartement, livré clefs en main, mais maison à concevoir, bâtir, entretenir, et souvent réparer.
Il n’est pas sommet vaincu, mais départ de la vallée, escalades passionnantes, chutes dangereuses, dans le froid de la nuit ou la chaleur du soleil éclatant.
Il n’est pas un solide ancrage au port du bonheur, mais levée d’ancre et voyage en pleine mer, dans la brise ou la tempête.
Il n’est pas OUI triomphant, énorme point final qu’on écrit en musique, au milieu des sourires et des bravos, mais il est multitude de oui qui pointillent la vie, parmi une multitude de non qu’on efface en marchant.
Ainsi être FIDELE, vois-tu ce n’est pas : ne pas s’égarer, ne pas se battre, ne pas tomber, c’est toujours se relever et toujours marcher.
C’est vouloir poursuivre jusqu’au bout, le projet ensemble préparé et librement décidé. C’est faire confiance à l’autre au-delà des ombres de la nuit.
C’est se soutenir mutuellement au-delà des chutes et des blessures. C’est avoir foi en l’Amour tout-puissant, au-delà de l’amour.

 Parfois on perd des années à se construire une image que l’on croit flatteuse et on a la surprise de constater que l’entourage préfère de beaucoup ce qui apparaît quand, par négligence, on laisse tomber le masque.

 Ne compte sur personne pour créer ton bonheur, tu dois le construire toi-même. Trouve en toi la force d’avancer, la force d’y croire. Quelles que soient les difficultés rencontrées, ne baisse jamais les bras, persévère, donne-toi les moyens de vivre au lieu de survivre.

 La liberté se construit chaque jour, elle oblige sans cesse à choisir son chemin, à veiller à son propre destin, à penser, à être vigilant ou énergique, à accomplir des actions difficiles.

Place ton futur entre de bonnes mains : les tiennes ! On ne subit pas l’avenir, on le fait.

Les contemporains ne méritent pas que nous fassions quelque chose pour eux ; car les hommes qui vivent aujourd’hui peuvent mourir au premier moment. C’est pour le passé et l’avenir que nous devons travailler ; pour le passé, afin de reconnaître ses services, pour la postérité afin d’augmenter sa valeur.

Le présent ne se comprend que relié au passé. Mais le passé ne nous dit rien de ce que nous devons faire du présent, c’est à dire de l’avenir.

Très peu de gens vivent dans le présent. Ils habitent le passé, le futur, ou les deux. Les coups, ils les reçoivent deux fois; Les joies, ils les émoussent à l’avance. ils vivent dans la crainte de malheurs que cette prévoyance démesure, dans l’attente de bonheurs que la distance épuise.

Le plaisir est toujours passé ou futur, jamais présent, de la même façon que le bonheur appartient toujours à autrui, jamais à personne, c’est-à-dire est toujours conditionné et n’est jamais absolu.

Demain c’est l’immensité de l’infini où peut se déployer notre imagination, le temps de tous les possibles, le temps des rêves, le temps de l’espérance. Un temps qu’il nous revient de construire au jour le jour, de façonner avec grande précaution car demain est fragile, demain est incertain et demande qu’on le traite avec le meilleur de nous-même. Il sera ce que nous en aurons fait, il est notre avenir, et celui que nous laisserons en héritage.

La motivation va de pair avec le bonheur, car le bonheur se construit, et pour bien faire, vous devez trouver une source d’énergie parce que la recherche du bonheur demande du courage et de la patience. 

Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez d’un trait jusqu’au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager.

Les femmes ont une façon de faire des projets, d’engager l’avenir qui ne manque jamais d’épouvanter les hommes. Ceux-ci préfèrent vivre au jour le jour, sans regarder trop loin. C’est le grand sujet de discorde entre les sexes.

Gardez-vous de soulever le dernier voile qui couvre les projets de l’intrigant ; il n’a plus rien alors à ménager, et il ne peut plus que chercher à vous faire, par la ruse ou l’audace, le mal que peut-être il n’aurait pu vous faire autrement.

 La première finesse consiste à cacher ses projets ; la seconde à en feindre d’imaginaires pour dissimuler ceux qu’on a, et la troisième, c’est de les dire tout haut et en plaisantant, comme s’ils ne pouvaient entrer dans la pensée. En France, peu de gens se bornent à cacher simplement leur ambition et leur pensée ; il en coûte moins de les démentir ou d’en affecter de contraires. 

 L’immensité des projets et des vœux que nous suggère et qu’allume en nous l’ambition nous fait paraître le temps trop rapide et la vie trop bornée. Faute de pouvoir toujours vivre, l’ambitieux tâche de faire durer son nom. La gloire est une dispute contre la mort. On se fait une vie imaginaire du souvenir que vous accorderont les générations qui passent.

Nous ne voyons pas le monde tel qu’il est mais tel que nous sommes.

L’innovation n’est jamais la continuation de l’existant, elle est une rupture. Attention donc aux méthodes de benchmark ! S’il est bon de regarder ce qui se fait ailleurs, gardez à l’esprit que l’objet étudié est le résultat d’une pensée déjà ancienne. Regardez d’abord en vous : vos envies, espoirs, fascinations, folies… 

Visez la lune, même si vous échouez vous serez parmi les étoiles

Voir en grand, aller jusqu’aux frontières de l’impossible oblige à explorer d’autres champs de réflexion.

Pour pousser et concrétiser son rêve, il faut se donner une date butoir et en faire une priorité sinon la procrastination prendra vite le dessus. Et l’idée se perdra dans les sables. Le manager a intérêt à se créer une urgence opérationnelle sur son projet d’avenir, comme il le fait pour ses dossiers au quotidien. 

Le conseil. Annoncez votre intention, clamez une échéance urbi et orbi, cette parole vous engagera.

Face aux choses ardues ou complexes, le manager ou le dirigeant se laisse parfois impressionner.Il leur appartient alors de diviser le projet en x étapes surmontables ou de créer après coup des étapes intermédiaires accessibles. Un éléphant se mange par bouchées, dit le dicton américain. 

Le conseil. Il s’agit de planifier puis de parvenir à monter la première marche. C’est celle du succès, la plus dure ; vous pourrez dire “je commence”. 

L’échec est la seule voie possible vers la réussite. Les Américains considèrent même que si à 40 ans un homme n’a pas échoué, c’est qu’il n’a rien tenté. Nespresso a raté deux lancements de ses dosettes avec mini percolateur avant de réussir le troisième grâce au “Club”. Nonobstant notre culture française qui répugne à l’erreur, chacun devrait être fier de ses fiascos et savoir partager les leçons qu’il en a tirés. 

À LIRE SUR FAUNES ET FEMMES MAGAZINE

    Diana Unlimited Publication http://dianaunlimited.fr

    Diana Abdou 30 ans de Sainte-Ruffine, Je suis auto entrepreneuse d'une maison d'édition depuis le 13 novembre 2019, je suis passionnée par les magazines de mode ayant créé mon propre site pour réaliser mon rêve de créer un magazine homonyme (mixte transsexuelle ) Diana Unlimited c’est avant tout une marque, c’est un mode de vie, et illimité est vraiment le bon mot parce que nous prévoyons d’avoir des entreprises dans toutes les formes de médias que vous pouvez imaginer. Y compris notre magazine homonyme. Je vous présente une nouvelle vision et une nouvelle mission de se concentrer sur les filles les femmes et les transidentités qui ressentent leur propre pouvoir illimité.
    Alors à très bientôt dans mes pages..

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