La douleur, vous devez arriver à la surmonter, espérer qu’elle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui l’a causée se referme. Il n’y a pas de solution, pas de remède miracle, vous devez respirer à fond, et attendre qu’elle s’estompe. La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître. Et ne vous lâche pas. La douleur, vous devez juste continuer à vous battre, parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus.
Toute une histoire d’amour se retrouve dans les yeux. Au début c’est l’amour au premier regard, puis des étoiles dans les yeux apparaissent… et ça se finit toujours par des larmes.
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L’expérience nous apprend qu’il faut donner priorité aux rares personnes capables de nous apprécier tels que nous sommes.

Tu crois pouvoir battre le vent, battre le temps; Tu crois tout voir, même ce qui s’entend c’est le destin, c’est ton chagrin, c’est mon chemin.
Ne cherche pas ta vie où elle n’est pas, aime-moi comme je peux t’aimer, prends-moi le cœur et les yeux fermés, prends-moi comme je suis, prends-moi, je suis comme tu es.
Aime-moi comme je veux t’aimer prends-moi le cœur et les yeux fermés
L’amour c’est comme la fumée.
A VOIR : La vie se rétracte ou se dilate à proportion de notre courage.
Pardonne-toi d’être une femme qui aime un homme, dame contre Roi, échec à chaque fois.
Délivre-moi de tes soupirs, de nos souvenirs, laisse-moi vivre et laisse-toi venir
L’une des plus grandes douleurs est d’aimer une personne que tu ne peux pas avoir.
Dans vingt ans vous serez plus déçus par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous avez faites. Alors sortez des sentiers battus. Mettez les voiles. Explorez. Rêvez. Découvrez .
Un jour l’amour dit à l’amitié : Pourquoi existes-tu puisque je suis là ?
L’amitié lui répond : Pour amener un sourire là ou tu as laissé des larmes.

C’est quand la distance s’impose que l’amour transparaît le plus. Le vide de l’absence nous fait aimer plus fort. Ce sont tous les souvenirs qui nous reviennent et les larmes qui nous montent aux yeux qui prouvent à quel point on déteste être séparés.
Si quelqu’un s’éloigne de toi, laisse-le partir. Ton destin n’est jamais lié à quelqu’un qui te quitte. Ça ne veut pas dire que c’est une mauvaise personne, ça signifie simplement que sa part dans ton histoire d’amour est terminée.
Voilà. Un de plus, un de moins. Une autre histoire d’amour gâchée. Pourtant je l’aimais celui-là… Quand je pense que c’est fini, que j’le reverrais plus jamais comme ça… Oui, je le verrais peut être, en ami, de temps en temps et que ce sera tellement différent. On s’présentera nos nouveaux copains-copines mutuels. On ira dîner en prétendant que ça nous touche absolument pas. Et puis un jour, on pensera de moins en moins l’un à l’autre et on s’oubliera complètement… ou presque.
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Toujours la même chose pour moi : séparation, dépression, récupération par la boisson, rencontre d’un garçon, puis d’un autre polisson. Quelques parties de jambes en l’air pour oublier ce cher garçon et puis après, trop de vide… On cherche à nouveau l’amour de notre vie. On cherche un peu partout et enfin, après deux ans de désespoir et de solitude, on trouve un autre amour… Jusqu’à la prochaine fois.
Il y a un moment où on peut plus se remettre d’une autre séparation. Et que même si cette personne vous emmerde 60% du temps, eh bah, on ne peut pas vivre sans elle. Que même si il vous réveille tous les matins en vous éternuant en pleine figure, et bien on préfère ses éternuements, à tous les baisers des autres.

Encore une histoire d’amour impossible ?
– Non, l’histoire de l’amour que nous sommes et que nous portons. Aimer en donnant, aimer en recevant, aimer en fermant une porte pour aussitôt en ouvrir une autre.
Ça me rappelle ce passage terrible dans Belle du Seigneur… Albert Cohen a créé ce personnage emblématique du mâle, Solal, qui compare la rivalité des hommes auprès des femmes à un combat de babouins : les babouins se battent pour une femelle, et c’est le plus fort qui gagne, et le plus fort c’est le plus grand, et celui qui a les dents les plus belles. Qu’il lui manque dix centimètres ou un dent de devant, et c’en est fini du désir, fini de la grande histoire d’amour ! Cohen nous fait passer pour des idiotes, nous les femmes, mais est-ce que les hommes ne sont pas pires, infiniment plus dépendants encore de notre beauté, de notre apparence ?
Vivre une vraie histoire d’amour c’est éclater de rire quand tout va de travers et déborde, se rouler dans la neige quand on ne supporte pas le froid, moucher un gamin dans sa manche quand on a peur soi-même d’avoir un gosse, tendre sa main pour rattraper l’autre s’il tombe alors que l’on cherche soi-même son équilibre.
Peut-être, lorsque nous prononçons les mots histoire d’amour, croyons nous désigner ainsi la qualité romanesque de nos affections, la façon dont nous pouvons les réduire a posteriori à la banalité d’un récit – mais nous oublions alors que l’autre sens du mot histoire signifie archive, mémoire, rappelant que les passions ne sont pas seulement des fables, mais d’abord une succession de guerres gagnées et perdues, de territoires conquis, annexés, puis brûlés, de frontières sans cesse réagencées.
Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l’amour – appelez ça comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c’est la théorie des dominos, mais à l’envers. Au lieu de se faire tomber, ils s’aident à se relever.
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