Ne laissez personne vous voler votre imagination, votre créativité ou votre curiosité. C’est votre place dans le monde, c’est votre vie.

L’optimisme est de mauvais goût. Ce qui apparaît comme une préoccupation n’est en fait que de l’indulgence envers soi-même, une amère satisfaction de soi. On déclare que la société est “pourrie” afin d’avoir pitié de soi qui en est “prisonnier“. On tient le monde entier responsable de son propre malheur – ou les erreurs politiques.
Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.
Les gens disent qu’en restant optimiste, on est plus heureux et en meilleur santé.
Enfant, on nous apprend à sourire, à être de bonne humeur, à faire bonne figure.
Adulte, on nous dit de voir le bon côté des choses, faire contre mauvaise fortune bon coeur, voir le verre à moitié plein.
Mais régulièrement la réalité, nous force à arrêter la mélodie du bonheur. Vous pouvez tomber malade, votre copain peut vous trompez, vos amis peuvent vous décevoir. C’est dans ces moments là qu’on a le plus envie d’être soi-même, de tomber le masque et de montrer son vrai visage, angoissé, malheureux.
L’optimisme c’est aussi de dire qu’il y a de la tristesse dans la vie, du malheur. Dire que tout va bien, que tout va bien se passer, ce n’est pas de l’optimisme, c’est de la bêtise.
Dans la société actuelle, l’optimisme ne saurait être qu’un mensonge à bon marché.
Contrairement aux États-Unis, où le terme résilience est d’usage courant, tel un marqueur d’optimisme, en Europe il est plus difficile de l’imposer, comme si nous avions un penchant pour le misérabilisme.
Nous sommes la proie depuis toujours de deux tentations symétriques et funestes: l’angélisme et le désespoir. Au-delà d’un optimisme et d’un pessimisme également sans fondement, la vie a toujours été et sera toujours une souffrance – et elle est un miracle: elle est une fête en larmes.
Je suis fondamentalement optimiste. Je ne saurais dire si c’est dans ma nature ou si je l’ai cultivé. une partie de ce qui fait un optimiste, c’est de garder la tête tournée vers le soleil en mettant un pied devant l’autre.
Si nous sommes livrés à nos propres forces, il y a toutes les raisons d’être pessimiste. Mais si on croit à des forces supérieures à l’homme, alors on peut être optimiste.
Quoi qu’on dise, les optimistes sont des gens décourageants. Ils ne cessent de dire que ça ira mieux demain. Vous voyez bien qu’il est inutile de compter sur eux pour que ça aille mieux aujourd’hui.
Je ne serais pas arrivé là si je n’avais pas fait preuve, à chaque instant de ma vie, d’un optimisme forcené. Malgré les menaces, malgré les guerres. Malgré un environnement où le pessimisme, hélas, est mieux considéré
Je suis une incurable optimiste. Mais une optimisme de combat, non de contemplation. Quelles que soient les situations auxquelles nous sommes confrontés, quels que soient les drames, il faut encaisser le choc, se poser et puis repartir.
Si vous regardez avec attention, la plupart des succès obtenus du jour au lendemain prennent beaucoup de temps.
J’ai appris que les gens oublieront ce que vous avez dit, ils oublieront ce que vous avez fait, mais ils n’oublieront jamais ce que vous leur avez fait ressentir.
Une opportunité est manquée par beaucoup de gens parce qu’elle est souvent cachée dans la vue d’ensemble et ressemble au travail.
Sans efforts d’imagination, ou de rêves, nous perdons l’excitation des possibilités. Après tout, rêver est une sorte de planification.
La meilleure manière de se lancer, c’est d’arrêter de parler et commencer à agir.
L’homme devrait avoir atteint le plus haut degré de la sérénité stoïque, et acquis la conviction profonde que l’homme a en lui-même la source de ses forces morales, que tout dépend de lui, de son énergie, de sa volonté, de la cohérence inébranlable des fins qu’il se propose et des moyens qu’il met en œuvre pour les réaliser — de façon à ne plus jamais désespérer et à ne plus tomber dans ces états d’esprit communs et vulgaires qu’on appelle pessimisme et optimisme.
Pessimisme et optimisme ne sont que deux pôles, comme dans un champs magnétique, entre lesquels chacun fluctue au gré de son tempérament ou de sa chance, mais qui ne sont vraiment utiles qu’ensemble, ce qui suppose qu’on ne reste prisonnier d’aucun des deux.
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