En fait, l’ incompréhension de soi est une source très importante de l’ incompréhension d’ autrui. On se masque à soi-même ses carences et faiblesses, ce qui rend impitoyable pour les carences et faiblesses d’ autrui.

Souvenez-vous de ces mots historiques : « Tu trembles, carcasse ! Mais tu tremblerais encore plus si tu savais où je te conduis. » « En fait, tu trembles d’autant plus que tu sais très bien où je te conduis. » C’est pour cela qu’il faut une solidité, une structure, une compréhension, une certitude quant à la voie sur laquelle on est engagé. Sans cette préparation, vous vous lancez sur l’océan sans savoir naviguer et si vous rencontrez une vraie tempête la voile sera déchirée, le mât brisé et vous-même noyés.
L’humanité est divisée en deux : les hommes et les femmes. Totalement opposés, ils essaient désespérément de se comprendre. C’est frustrant, cette incompréhension entre les deux : c’est une guerre sans enjeux dans laquelle il n’y a jamais que des vaincus.
Le bonheur à deux exige une qualité très rare d’ ignorance, d’ incompréhension réciproque, pour que l’ image merveilleuse que chacun avait inventée de l’ autre demeure intacte, comme aux premiers instants.
Donc, premièrement, permettez-moi d’affirmer ma ferme conviction que la seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même — l’indéfinissable, la déraisonnable, l’injustifiable terreur qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la déroute en marche en avant. Lors de chacune des noires heures de notre vie nationale, un franc et vigoureux commandement a rencontré cette compréhension et ce soutien du peuple même qui sont essentiels à la victoire. Et je suis convaincu que de nouveau vous lui donnerez votre soutien en ces jours critiques.
Certaines choses sont trop pénibles pour être appréhendées sur le coup. D’autres encore – nues, grésillantes, d’une horreur indélébile – sont trop terribles pour être admises. Ce n’est que plus tard, dans la solitude, le souvenir, que pointe la compréhension ; quand les cendres sont froides, que les affligés se sont retirés, qu’on regarde autour de soi pour se retrouver – à sa grande surprise – dans un monde entièrement différent.
Ce que j’aime dans la perte de la compréhension du langage – lorsque au milieu de la foule on ne perçoit plus le sens de ce qui s’échange dans les langues à soi étrangères – c’est la vérité éclatante de celui des corps, qu’aucun signifiant de la parole ne vient plus parasiter. Le corps sait, il témoigne en vérité de ce que le corset du bavardage recouvre, et dit absolument ce que le sujet identifié ignore ou refuse de savoir.
Les gourous droits-de-l’hommiste, les khmers verts écolos, leurs alliés du mondialisme effréné et les adeptes du « multiculturel » et du « pluriethnique » à tous les étages considèrent qu’ils détiennent la Vérité Révélée et ne tolèrent aucune contestation à cette Nouvelle Religion.
Pour étouffer toute velléité du refus de leurs visions sectaires et interdire toute autre opinion, cette mafia a, depuis des décennies, fait adopter des lois, des directives et des arrêtés qui limitent ou interdisent l’exercice des libertés fondamentales (expression, conviction, réunion et presse) à leurs opposants nationalistes. Tout est prétexte à la CULPABILISATION de l’homme blanc.

Tous les moyens sont bons pour bâillonner la voix du peuple et discréditer ceux qui tiennent un discours « politiquement incorrect ». Haro sur ceux qui publient des articles transgressant les « tabous » instaurés par ces doctrinaires de la démocratie totalitaire afin de leur permettre de saboter, sans aucune entrave, les valeurs de notre société, les fondements de la civilisation européenne et les acquis de notre culture Française.
L’incompréhension, l’intolérance inconsciente parfois de ceux qui vous aiment sont lourdes à porter. Et il est difficile de se confier à ceux qui vous connaissent depuis longtemps.
Le progrès, ce n’est pas l’acquisition de biens. C’est l’élévation de l’individu, son émancipation, sa compréhension du monde. Et pour ça il faut du temps pour lire, s’instruire, se consacrer aux autres.
Aimer, ce n’est pas savoir. Ce n’est pas être sûre. Ni presque sûre. Aucune certitude, aucun repos dans l’amour. Aucune compréhension. L’incertitude totale.
Quel est le sens de la vie? Si j’ai renoncé à l’espoir d’une révélation, je n’ai pas abandonné pour autant la force si douce et si secrète de la compréhension.
N’espérez pas que votre vie soit pleine de sens du jour au lendemain. Donner du sens à votre vie vous demandera un travail personnel à faire sur vous-même. Pour trouver votre voie, vous devrez faire l’effort de réfléchir à vos valeurs et à la façon dont vous voulez vivre votre vie. Il n’y a pas de formule magique pour apporter du sens à sa vie, mais il est tout à fait possible d’y parvenir. Vous devrez pour cela être prêt à investir le temps et l’énergie nécessaires.

Imaginez que vous êtes vieux et que vous repensez à votre vie. Quel genre de vie voudriez-vous avoir vécue ? Quel héritage aimeriez-vous laisser à vos proches, à la société et à l’humanité ? Déterminez ce qui est important pour vous. Nous avons tous des priorités différentes. Pour vivre une vie pleine de sens, il est essentiel que vous déterminiez ce qui est important pour vous. Pour trouver un sens à votre vie, il est essentiel de changer votre perception de voir la vie.
Le sens de la vie, c’est d’apprendre à être bien, au-delà de ce que l’on possède, des objets ou des personnes qui nous donnent du plaisir, des événements qui surviennent. C’est de découvrir que le bonheur et le malheur sont à l’intérieur de nous, et non dans les choses ou les événements extérieurs.
Beaucoup de gens mènent une vie vide de sens. Ils semblent à moitié endormis, même quand ils sont occupés à faire des choses qui paraissent importantes. C’est parce qu’ils courent après les mauvaises choses. La manière de trouver un sens à sa vie est de vous consacrer à aimer les autres, de vous consacrer à votre communauté autour de vous et de vous consacrer à la création de quelque chose qui vous donne un sens et un but.
Celui qui croit que la vie a un sens est plus apte à accepter les événements défavorables de sa vie pour faire d’eux des outils d’évolution et d’apprentissage.
L’intimité quotidienne ne crée ni compréhension ni sympathie..