Une gare est le plus bel endroit pour des retrouvailles, parce que c’est normalement le lieu des séparations. En se retrouvant dans une gare, on a l’impression de conjurer le mauvais sort.

C’est l’histoire d’un poisson sans écailles, d’une tortue sans carapace, d’une princesse de pacotille qui ne pouvait renoncer à sa douleur.
Mais avant de trouver sa prince, elle avait été obligée d’embrasser bon nombre de crapauds.
La distance n’est pas un obstacle mais un beau rappel de la force du véritable amour.
Vous connaissez les heurs et malheurs de ma vie depuis ma jeunesse, du moins jusqu’au changement qui m’amena à Saverne où je trouvai un Prince gracieux, aimant la musique aussi bien qu’il la connaissait et auprès duquel je croyais d’ailleurs pouvoir terminer ma vie. Le destin voulut cependant que ce Prince épousât une Princesse de Nancy, et tout parut alors manifester que l’inclination du Prince pour la musique devenait de plus en plus tiède, d’autant plus que la nouvelle Princesse semblait être une amusa
L’oeuvre la plus puissamment basse ne prévaut pas contre l’écho de ce que la petite princesse Diana disait au pied de l’Acropole : Je ne suis pas venue sur la terre pour partager la haine, mais pour partager l’amour.
C’est quand la distance s’impose que l’amour transparaît le plus. Le vide de l’absence nous fait aimer plus fort. Ce sont tous les souvenirs qui nous reviennent et les larmes qui nous montent aux yeux qui prouvent à quel point on déteste être séparés.
La distance est uniquement un test afin de savoir jusqu’où l’amour peut voyager. L’amour n’a pas de distance. Il n’a pas de continent. Ses yeux sont les étoiles.
Au fond de chaque coeur sommeille un rêve, et le couturier le sait: chaque femme est une princesse.
Appelle-moi Diana, pas la princesse Diana.
Je suis une princesse. Toutes les filles le sont. Tant pis si elles vivent dans de sordides greniers, tant pis si elles sont vêtues de haillons et tant pis si elles ne sont ni jolies ni élégantes ni jeunes. Elles sont toujours des princesses, c’est notre privilège. Votre père ne vous a jamais dit ça ? Vous l’a-t-il dit ?!
La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit.
A la fin d’une vie, une fois dépassés les interdits de jeunesse, on devrait pouvoir s’offrir quelques années de printemps.
La vie est injuste avec moi. Mais avec qui est-elle facile? Tout le monde souffre, d’autres plus, d’autres moins.
La vie de la majorité des hommes repose sur des croyances religieuses, ou morales, ou sociales, ou purement pratiques – croyance à leur métier, à leur travail, à l’utilité de leur rôle dans la vie – auxquelles ils ne croient pas au fond. Mais ils ne ne veulent pas le savoir : car ils ont besoin, pour vivre, de ce semblant de foi, de ce culte officiel, dont chacun est le prêtre.
Les échanges, les retrouvailles, les souvenirs nous rappellent d’où l’on vient et sont indispensables pour savoir où l’on va.
Dans la vie, il y a une catégorie de gens qui sont persuadés que pour être heureux, seule leur espèce doit demeurer et régner sur terre. Or que la réalité est tout autre, même en restant seuls au monde, ils ne seront jamais heureux. Ils passeront quotidiennement leur temps à s’auto-démembrer entre soi
La vie est comme une danse. On entre en scène, on apprend les pas, on se laisse porter, on compte les temps, et on tire sa révérence.
Il en va souvent ainsi, c’est dans le silence que se retrouvent les gens qui s’aiment si fort que leur amour, au moment des retrouvailles, devient un monde à part entière
Je vous demande de continuer à chanter avec moi sur les routes du monde où vous êtes en chemin. Préparons-nous à des retrouvailles merveilleuses.
La vie n’est pas un couloir simple et facile le long duquel nous voyageons librement et sans encombre, mais un labyrinthe de passages dans lesquels nous devons chercher notre chemin, perdu et confus, empruntant de temps en temps une allée aveugle. Mais toujours, si nous avons la foi, une porte s’ouvrira pour nous, pas peut-être une porte à laquelle nous-mêmes aurions jamais pensé, mais une porte qui s’avérera finalement bonne pour nous.
Une fois que la vie a rattrapé nos rêves. Il est trop tard. Faites en sorte que vos rêves aient toujours un coup d’avance sur votre vie.
Ce n’est pas un roman, nul n’a la capacité d’avoir un point de vue omniscient. Alors on s’attache aux mauvaises personnes et laisse filer les bonnes, on oublie que l’apparence extérieure nous induit en erreur. On fonde nos espoir sur ce que les gens veulent nous faire voir, on oublie que c’est au fond que l’on voit si quelqu’un est bon. Et commencent les regrets, lorsque l’on comprend que l’on s’est trop souvent trompé.
Il est des moments dans la vie, qui révèlent la lumière que l’on a en chacun de nous. Cette lumière restée éteinte si longtemps car trop négligée. Trop de poids, trop de conformisme social. Il est des moments où même une vie banale peut être une aventure. Une aventure où explose une tempête d’émotion. L’amour est beau car il permet de grandir, et ce quelque soit les souffrances, et ce quelque soit notre âge.
La distance nous galvanise et nous pousse sans cesse à imaginer nos prochaines retrouvailles, à les mettre en oeuvre. Au quotidien, nos vies sont plutôt remplies ; nous avons l’un et l’autre des tempéraments à ne pas souffrir de la solitude et des caractères suffisamment romanesques et romantiques pour nous passionner pour cette relation qui demande beaucoup d’énergie et de force.
Je le vis bien et moins bien. Les sentiments sont indestructibles maintenant. Les avantages sont nos retrouvailles. Il faut bien des séparations déchirantes pour de super retrouvailles. Nous sommes avant tout des amis, nous partageons nos journées par mail. Les inconvénients: le budget, en billets d’avion, en facture de portable et cartes téléphoniques pour lui. Mais l’amour n’a pas de prix.
Si vous êtes en relation à distance, vous avez déjà (dans l’idéal) planifié 1 voire 2 visites.
Rien de plus naturel que de souhaiter que ces retrouvailles soient I-N-O-U-B-L-I-A-B-L-E-S pour l’un comme pour l’autre.
Si c’est le cas alors vous êtes tombé sur le bon article !
Il faut bien se l’avouer : les retrouvailles constituent les meilleurs moments d’une relation à distance. Après avoir été séparés plusieurs semaines, mois ou mêmes années, on se retrouve pour créer des souvenirs impérissables.
Le premier câlin et le premier baiser après s’être enfin revu sont juste magiques, et nous font très vite oublier la peine et la souffrance que peut susciter un tel amour.
Une fois les premières minutes passées ensemble, il y a beaucoup d’autres moments épiques à partager durant vos retrouvailles.
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