Le paradoxe de l’amour réside en ce que deux êtres

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Le statut de l’amour reflète inévitablement cette grégarité de l’homme moderne. Des automates sont incapables d’aimer ; ils ne savent qu’échanger leur paquet de personnalité en espérant conclure un marché équitable.

La femme excelle dans l’art d’être du même avis que celui qui lui parle, quitte à reprendre ensuite en détail tout ce qu’elle avait concédé en gros.

Ah ! la politique c’est l’art de créer des faits ; de dominer, en se jouant, les événements et les hommes ; l’intérêt est son but ; l’intrigue son moyen : toujours sobre de vérités, ses vastes et riches conceptions sont un prisme qui éblouit.

L’amour est une fumée formée des vapeurs de soupirs : purifié, c’est un feu dans les yeux des amants, agité, une mer nourrie des larmes des amants ; et quoi encore ? La folie la plus sage, le fiel qui nous étouffe, la douceur qui nous sauve.

L’artiste ne doit pas s’abaisser à être le laquais du public. D’un côté, je suis reconnaissant d’être apprécié par les acteurs et le public. Et, d’un autre côté, j’estime que l’humilité est la qualité des hypocrites, la modestie la qualité des incompétents. Le devoir et le privilège de l’artiste est l’affirmation de soi.

Quand on répète que l‘amour est remplacé à la fin entre les époux par une solide amitié, on veut dire seulement que les sens s’apaisent ou s’épuisent; car l’amour conjugal conserve tous les autres caractères de l’amour. Il est protecteur et dévoué chez le mari, tendre et soumis chez l’épouse; il comporte un désintéressement absolu, l’union des âmes la plus intime et la plus complète. L’amitié, même parfaite, est un sentiment froid et réservé auprès de celui-là. L’amour conjugal est comme la base sur laquelle reposent tous les sentiments qui font le charme et le lien de la famille. N’en médisons pas, ne le dédaignons pas. Il n’y a, sans lui, ni bonheur ni dignité du foyer domestique.

La genèse d’un amour repose bien souvent sur un regard, une voix, une main qu’on effleure, un parfum qui enivre, un charisme qui impressionne, une surprenante luminosité qui éclaire soudain l’ombre de nos peurs, de nos incertitudes. Rythmée par le concert tumultueux des coeurs, une étrange complicité s’exerce peu à peu, se nourrissant de leurs différences comme de leur singularité, et, dans ce temps où l’on s’apprend, terreau d’une communion propice, s’ébruite doucement la résonance des âmes.

Pour moi aussi, l’amour était (ou est) toujours plus important et plus sacré que l’objet qui le suscite. Parce qu’il nous fait voir le monde comme un conte lumineux, parce qu’il va chercher dans l’être humain ce qu’il a de plus noble et de plus beau en lui, parce qu’il élève ce qui est le plus commun et le plus dérisoire, et le sertit de diamants, et parce qu’il fait vivre dans l’ivresse et dans l’extase.

La philosophie est donc l’amour de la vie quand même, de sorte que je dis ce qu’ont dit tous les bons philosophes : pour les mêmes raisons que Montaigne intitule un chapitre que philosopher c’est apprendre à mourir , il est tout aussi vrai que philosopher c’est apprendre à vivre. La philosophie, c’est le savoir-vivre dans tous les sens du terme.

Certains pensent que l’amour est au bout de la route et que, si on a la chance de la trouver, on s’arrête. D’autres vous diront que c’est plutôt une embardée, un vol plané, et la plupart de ceux qui ont un peu de jugeote savent qu’il change au fil du temps. Selon l’énergie qu’on lui consacre, on le garde, on s’y accroche ou on le perd. Sauf que, parfois, il est absent dés le premier jour.

L’amour ne vaut jamais mieux que celui qui aime. Les gens méchants aiment méchamment, les gens violents aiment violemment, les gens faibles aiment faiblement, les gens bêtes aiment bêtement, mais l’amour d’un homme libre n’est jamais sûr. Il n’y a pas de cadeau pour l’être aimé. Seul celui qui aime possède son don d’amour. Celui qui est aimé est dépouillé, neutralisé, figé dans l’éclat intérieur de celui qui aime.

Chic et choc ! L’art de la photo. Elle est chique lorsqu’elle est belle et magique, elle est choc lorsque celle-ci provoque. Quelque soit le clicher la photo plait à être aimée…

Encore une histoire d’amour impossible ?
– Non, l’histoire de l’amour que nous sommes et que nous portons. Aimer en donnant, aimer en recevant, aimer en fermant une porte pour aussitôt en ouvrir une autre.

Ça me rappelle ce passage terrible dans Belle du Seigneur… Albert Cohen a créé ce personnage emblématique du mâle, Solal, qui compare la rivalité des hommes auprès des femmes à un combat de babouins : les babouins se battent pour une femelle, et c’est le plus fort qui gagne, et le plus fort c’est le plus grand, et celui qui a les dents les plus belles. Qu’il lui manque dix centimètres ou un dent de devant, et c’en est fini du désir, fini de la grande histoire d’amour ! Cohen nous fait passer pour des idiotes, nous les femmes, mais est-ce que les hommes ne sont pas pires, infiniment plus dépendants encore de notre beauté, de notre apparence ?

Mettre l’art et l’amour au premier plan de ses préoccupations, leur consacrer la majeure partie de son temps, cela est bien typique de l’homme sans vanité, qui coupe au plus court vers le bonheur.

L’art a des délicatesses infinies où l’on n’atteint que par une longue et persévérante pratique.

C’est l’amour du vrai et c’est aussi l’amour du faux. Du vrai en ce qu’il repose sur la recherche des justes rapports entre les choses, du faux en ce qu’il aboutit toujours à un résultat factice.

Au bout du compte, n’est peut-être pas plus sérieux qu’un jeu de quilles ; tout n’est peut-être qu’une immense blague, j’en ai peur, et quand nous serons de l’autre côté de la page, nous serons peut-être fort étonnés d’apprendre que le mot du rébus était si simple.

C’est perdre son temps que de lire des critiques. Je me fais fort de soutenir dans une thèse qu’il n’y en a pas une de bonne depuis qu’on en fait, que ça ne sert à rien qu’à embêter les auteurs et à abrutir le public, et enfin qu’on fait de la critique quand on ne peut pas faire de l’Art, de même qu’on se met mouchard quand on ne peut pas être soldat. Je voudrais bien savoir ce que les poètes de tout temps ont eu de commun dans leurs œuvres avec ceux qui en ont fait l’analyse !

Mon ambition est de peupler à mon tour de mes créations ce monde éternel et impassible de l’art, au milieu duquel les vivants passent si petits.

 Le vrai de la nature ne sera jamais le vrai de l’art ; mais, si l’art et la nature se rencontrent exactement dans une œuvre, c’est que la nature, dont les hasards sont innombrables, est alors arrivée aux conditions de l’art..

Au fond, un grand amour c’est une habitude dont on raffole. Un accident régulièrement sublime.

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Diana Abdou 30 ans de Sainte-Ruffine, Je suis auto entrepreneuse d'une maison d'édition depuis le 13 novembre 2019, je suis passionnée par les magazines de mode ayant créé mon propre site pour réaliser mon rêve de créer un magazine homonyme (mixte transsexuelle ) Diana Unlimited c’est avant tout une marque, c’est un mode de vie, et illimité est vraiment le bon mot parce que nous prévoyons d’avoir des entreprises dans toutes les formes de médias que vous pouvez imaginer. Y compris notre magazine homonyme. Je vous présente une nouvelle vision et une nouvelle mission de se concentrer sur les filles les femmes et les transidentités qui ressentent leur propre pouvoir illimité.
Alors à très bientôt dans mes pages..

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