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L’amour trans hétéro la discrimination qu’elle scandale

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Cet article n’est PAS pour les personnes cisgenres. Il est écrit spécifiquement pour les personnes transgenres/non-binaires (quelque soit l’état de leur transition). Note 2 : je vais utiliser du vocabulaire anatomique dans cet article (pénis, vagin, etc.), histoire de savoir précisément de quoi on parle. 

Hétérosexualité, homosexualité ou bisexualité ne sont que les trois orientations sexuelles les plus connues. Il en existe bien d’autres, marquées par des tendances sentimentales diverses ou inexistantes. Il existe bien d’autres orientations sexuelles que les trois plus connues, où les sentiments prennent parfois plus d’importance que le sexe, ou sont totalement absents.

Dans cet article, j’aimerais donner quelques pistes pour aider les personnes trans, tirées de mon expérience personnelle et aussi de choses que j’ai entendu de la part d’autres personnes trans. Le sujet est bien sûr complexe et il ne s’agit donc pas d’être exhaustif. Ce qui marche pour quelqu’un peut ne pas fonctionner pour quelqu’un d’autre, car nous sommes très divers-e-s.

Avoir des relations sexuelles quand on est trans peut s’avérer délicat pour plusieurs raisons. Tout d’abord, nous avons souvent de la dysphorie qui peut rendre les choses plus compliquées. De plus, l’éducation sexuelle et la représentation du sexe dans les médias est totalement hétérociscentrée, ce qui fait qu’il faut se débrouiller sans ressources inclusives ni spécifiquement faites pour nous. Pour finir, si notre partenaire est cisgenre, cela peut encore compliquer la situation, car même s’iel accepte notre transidentité, il y a des choses que cette personne comprendra plus difficilement.

Faunes et Femmes Magazine travaille sur les discriminations et défend les droits de toutes personnes. Il y a une urgence à lutter et la question des droits des personnes trans est trop peu audible. Il y a un énorme retard à combler pour rappeler les engagements politiques et signaler la transphobie qui émaille la vie des personnes trans.

Discriminations, violences, difficultés à changer d’état-civil, les droits fondamentaux des personnes trans doivent être mieux protégés.

Au Royaume-Uni, plus d’un tiers des personnes transgenres ont signalé avoir été victimes de crimes motivés par la haine en 2017.

Cette évolution est rendue possible par le militantisme infatigable de personnes transgenres qui ont refusé d’être marginalisées et réduites au silence.

C’est pour cette raison qu’il est important que les personnes transgenres et leurs témoignages soient visibles, et heureusement, c’est en train de se produire. Comme l’a dit l’actrice Laverne Cox au TIME magazine, « aujourd’hui, de plus en plus de personnes trans veulent dire ouvertement “Je suis comme ça”. ». En conséquence, ces dernières années, certains pays européens ont commencé à comprendre que leur approche du genre posait problème et était fondée sur des stéréotypes.

1. Les aromantiques

Une personne aromantique ne ressent pas ou peu d’attirance sentimentale pour autrui. Cela ne veut pas dire qu’elle ne s’attache à personne ou qu’elle ne ressent rien, mais elle ne tombe pas amoureux/se au sens traditionnel du terme. S’il peut avoir besoin d’autant de soutien affectif que les autres, ses besoins peuvent être satisfaits d’une façon platonique. Ses relations seront donc de l’ordre de l’amitié, qui sera loyale. C’est un peu le pendant de l’asexualité mais au niveau amoureux.

2. Les polysexuels

Le polysexuel est une personne capable d’entretenir deux ou plus relations amoureuses ou sexuelles suivies d’intensité quasi-similaire (de vraies histoires d’amour parallèles). le polysexuel ne pourra développer de sentiments ou de désir que pour certaines sexualités, par exemple les femmes et les hommes déguisés en femme, mais pas les transsexuels.

3. Gérer la dysphorie au lit (ça rime)

Tout d’abord, il n’y a aucune « règles » qui disent qu’il faut être totalement à poil pour baiser (mais quelle vulgarité !) Si garder certains vêtements vous met plus à l’aise, n’hésitez pas à le faire. Par exemple, si votre torse vous rend dysphorique, vous pouvez garder un tee-shirt. Je pense que cette technique peut fonctionner dans « les deux sens » (c’est à dire si on veut un torse plat ou si on veut des seins) puisqu’en fait le tee-shirt va juste cacher tout.

L’une des choses qui doit être le plus difficile à gérer durant les relations sexuelles, c’est bien la dysphorie. Il y a quelques astuces pour la soulager.

Il est également possible de s’aider de sex toys et prothèses, en particulier pour la dysphorie liée aux organes génitaux. Pour les gens qui veulent un pénis, il existe des packer (c’est à dire une prothèse comme on peut le voir sur l’image ci-dessous) qui permet de pénétrer, et certaines sont plutôt réalistes, avec notamment une partie qui frotte sur le clitoris ou le dickclit de la personne qui le porte. Chase Ross est un homme trans qui présente plein de packer différents (attention, tous ne sont pas faits pour le sexe).

Alors évidemment, le tee-shirt ne va pas aplatir ce qui est déjà là, mais que ça soit caché juste visuellement peut aider, surtout si on est sur le dos puisque du coup y’aura un effet automatiquement aplati. Il est aussi possible de porter une brassière de sport ou carrément un binder – mais attention, celui-ci ne doit pas être trop serré, ne doit pas limiter vos mouvements ou vous empêcher de respirer, ne vous mettez pas en danger. Je n’aime pas trop porter un binder dans ces cas-là, justement parce que je n’aime pas être serré et avoir chaud, je préfère la technique du tee-shirt. On peut aussi tout simplement s’aider de la position : par exemple couché sur le ventre, même nu-e, on ne verra rien de votre torse.

4. Les skoliosexuels

Une personne skoliosexuelle n’est pas naturellement attirée par les personnes dites « binaires », c’est-à-dire se sentant en accord avec son genre de naissance. En revanche, elle s’attachera aux personnes transidentitaires, celles qui ne sont pas nées avec des organes génitaux correspondant au genre auquel elles se sentent appartenir. Elle va ainsi développer des sentiments et une attirance sexuelle pour une femme se sentant homme, un homme se sentant femme, une personne transgenre ou encore les drag queens.

5. Les sapiosexuels

Se dit d’une personne attirée sexuellement et émotionnellement avant tout par l’intellect d’une personne, par son intelligence, sa vivacité d’esprit. On est à la fois sapiosexuel et hétérosexuel, gay ou bisexuel, indépendamment du genre (masculin, féminin, non-binaire, androgyne) ou de l’identité de genre (trans)…

En ce qui concerne les personnes qui ont un pénis, Riley J. Dennis qui est une femme trans non-binaire lesbienne, a fait récemment quelques vidéos (en anglais) destinée aux femmes ayant un pénis qui ont des relations sexuelles avec d’autres femmes (mais j’imagine que certains de ses conseils sont valables pour les personnes trans ayant un pénis en général). Elle recommande notamment l’usage des strap-on, car cela permet de diminuer la dysphorie puisqu’on n’utilise pas directement son pénis, et en plus les strap-on ont souvent des couleurs « pas réalistes ». Elle recommande aussi l’utilisation de sex toys qui ont une connotation plus « féminine » – elle présente par exemple un vibromasseur qui s’utilise sur un clitoris mais on peut y rajouter au bout une espèce d’anneau dans lequel on peut mettre son pénis (l’image sera plus parlante que cette tentative foireuse de description je pense lol).

6. Communiquer avec son/ses partenaire(s)

D’abord, il va être important de communiquer à votre partenaire quelles sont les choses qu’iel peut ou pas faire ou dire. Par exemple, s’iel ne peut pas toucher votre torse car cela vous rend dysphorique, il faut qu’iel le sache. Si vous avez eu la possibilité d’en discuter avant c’est bien, mais sinon même dans « le feu de l’action », votre partenaire doit vous demander la permission avant de faire quelque chose. N’hésitez pas à dire non.Vous êtes absolument dans votre droit de refusez une pratique à tout moment, sans vous justifier. Vous pouvez même mettre complètement fin à l’acte. Ca peut notamment se passer si vous sentez que la dysphorie vous fait passer un mauvais moment, mais aussi pour d’autres raisons (exemple : une surcharge sensorielle imminente). Encore une fois, vous n’avez pas à vous justifier, un « non », un « stop », un « arrête », suffisent et votre partenaire se doit de le respecter et stopper immédiatement. 

Note : Je pars du principe que votre relation avec votre partenaire est saine, qu’iel vous respecte, respecte votre genre et ne vous fétichise pas pour votre transidentité. Si ce n’est pas le cas, le mieux est de fuir une telle relation mais c’est une autre histoire.

La communication avec son (ou ses) partenaire(s) est importante car elle permettra de s’assurer que tout le monde consent et est à l’aise avec ce qu’il se passe. C’est évidemment important de le faire même pour le sexe hétéro-cis, mais je pense que ça l’est d’autant plus pour le sexe avec une personne trans parce qu’on sort du cadre établit.

Quelque chose qui peut aussi grandement vous aider, c’est de préciser à votre partenaire le vocabulaire qu’iel doit employer pour désigner des parties de votre corps. Par exemple, utiliser le mot « torse » plutôt que « seins », ou « pénis » plutôt que « clitoris ». De toute façon, le pénis et le clitoris ont la même origine embryonnaire et présentent une structure similaire. Il existe en réalité un continuum d’organes génitaux du plus petit clitoris au plus grand pénis, donc on peut voir le pénis comme un grand clitoris et le clitoris comme un petit pénis. Et pour une personne qui a pris de la testostérone par exemple, le clitoris a peut être grandi de quelques centimètres pour devenir ce qu’on appelle « un dicklit ».

Je pense aussi qu’il est important que votre partenaire vous rassure sur vos insécurités. La dysphorie n’est pas toujours rationnelle, et même si on sait que notre partenaire respecte notre genre, parfois on ne peut pas s’empêcher de « se faire des idées ». Notamment de se dire qu’après tout s’iel nous désire, c’est parce qu’on a « un corps de femme » ou « un corps d’homme ». Je pense que ça m’a fait beaucoup de bien que mon partenaire me répète que ce n’était pas le cas et qu’il ne voyait pas mon corps comme quelque chose de genré. N’hésitez pas à dire à votre partenaire que vous avez besoin d’être rassuré-e.

Toutes les personnes transgenres ne se reconnaissent pas dans le système binaire homme/femme. Certaines personnes ont un genre tiers, d’autres ne s’identifient à aucun genre ou à l’inverse à plusieurs. Les personnes transgenres peuvent choisir ou non de suivre certains des traitements médicaux.

Sachez aussi qu’il est normal si votre dysphorie fluctue, varie en intensité au cours du temps, et ne concerne pas toujours les mêmes pratiques/endroits du corps. Ces fluctuations peuvent être aléatoires mais aussi liée à d’autres facteurs, comme par exemple votre niveau de stress ou de fatigue, le jour du cycle menstruel pour les personnes qui en ont un, etc. Par exemple, il y a des périodes où on ne peut pas du tout toucher mon torse et d’autres périodes où ça ne me dérange pas. Il peut donc y avoir des moments où vous refuserez une pratique en particulier ou le sexe tout entier, et d’autres moments où ça ira. Ne culpabilisez pas s’il y a une période de temps où vous n’êtes pas en mesure de faire quelque chose, vous en avez le droit. Le sexe n’est pas un dû et doit être consensuel pour toutes les personnes impliquées. Vous pouvez tout à fait expliquer à votre partenaire que non, en ce moment ça ne va pas être possible. N’oubliez pas non plus que le sexe n’est pas une « performance ». On est pas obligé-e d’être tous les jours « opérationnel-les » ni que chaque acte sexuel vous envoie au septième ciel. Le tout c’est que ça soit consensuel et de passer un bon moment.

En général, les gens ne vivent ni ne perçoivent pas leur identité de genre selon un schéma uniforme et standardisé. Les personnes transgenres, dont l’identité de genre diffère du sexe qui leur a été assigné à la naissance, vivent de façon individuelle leur identité de genre et l’expriment de différentes façons. La perception de l’identité de genre peut aussi évoluer avec le temps. Certaines personnes transgenres s’identifient comme complètement homme ou femme, d’autres perçoivent leur identité de genre comme en dehors de cette binarité.

Pour la plupart des personnes, le sexe mentionné dans leur état civil correspond à leur identité de genre. Le sexe apparaît sur de multiples documents officiels (notamment les actes de naissance, cartes d’identité et passeports) et détermine la façon dont les personnes sont perçues pendant toute leur vie. Les personnes trans dont l’identité de genre diffère du sexe qui leur a été assigné à la naissance sont ainsi vulnérables à de nombreuses discriminations dans leur vie quotidienne.

Enfin, je pense que privilégier des partenaires trans peut aussi être une des solutions possibles, parce qu’il y aura une compréhension mutuelle plus naturelle. Ca n’empêche pas de communiquer, mais entre personnes trans on se comprend quand même vachement mieux sur pas mal de sujets forcément. Ca peut enlever pas mal de pressions imposées par le sexe hétérocisnormatif et ça peut aussi vous mettre plus en confiance et permettre de construire une relation plus équilibrée. Ca ne veut pas dire qu’on ne peut pas y arriver avec une personne cis bien sûr, mais c’est sûrement plus facile d’y arriver avec une personne qui vit des choses similaires.

Bien qu’il existe des centaines de journées internationales consacrées à différentes thématiques essentielles, l’importance de la Journée internationale de la visibilité transgenre ne peut être sous-estimée.

Nous savons que les personnes transgenres sont en proie à un niveau des harcèlements, de la violence et des discriminations.

L’identité de genre fait référence à l’expérience intime et personnelle de son genre profondément vécue par chaque personne, qu’elle corresponde ou non au sexe assigné à la naissance.

L’orientation sexuelle correspond à la faculté de chacun à ressentir une profonde attirance émotionnelle, affective et sexuelle et à avoir des relations intimes et sexuelles avec des personnes d’un genre différent, du même genre, ou de plusieurs genres.

Une personne trans est une personne dont l’expression de genre et/ou l’identité de genre s’écarte des attentes traditionnelles reposant sur le sexe assigné à la naissance.

Une personne intersexuée a des caractéristiques génitales, hormonales ou chromosomiques ne correspondant pas aux normes imposées définissant les catégories « masculin » ou « féminin » de l’anatomie sexuelle ou reproductrice. L’intersexuation peut prendre des formes variées et recouvrir un large éventail de situations.

Encore une fois, ça rejoint la question de l’hypersensibilité sensorielle, puisque le risque de surcharge sensorielle n’est pas tout le temps le même et ça dépend de pas mal de facteurs (stress, fatigue, activités effectuées dans la journée, etc.) 

A ce sujet, j’avais lu cet article d’une femme trans sur sa relation avec une autre femme trans (en anglais) : https://transphilosopher.com/2017/03/21/trans-on-trans-love-and-why-cis-people-just-dont-get-it/ 

Il est possible qu’une personne ne s’identifie pas au genre qui lui a été attribué à la naissance ou aux normes binaires masculines ou féminines, et ces personnes ne devraient en aucun cas avoir à subir un quelconque traitement médical ou psychiatrique pour que leur identité soit acceptée.

L’approche actuelle a des conséquences dramatiques pour la santé et le bien-être des personnes transgenres.

Dans de nombreux pays, même lorsqu’il existe une procédure permettant la reconnaissance du genre à l’état civil, cette procédure est souvent dégradante et impose aux personnes de se soumettre à un examen psychiatrique établissant un « trouble mental » et de subir une stérilisation irréversible.

Dans plusieurs pays d’Europe, l’une des évolutions sur lesquelles les militants et les militantes ont concentré leurs efforts est la reconnaissance juridique du genre, principalement la possibilité pour les personnes trans de demander la reconnaissance de leur genre par l’État et dans leurs documents d’identité.

C’est tout simplement scandaleux. L’État n’a aucunement le droit de prendre des décisions sur le corps et l’identité de quiconque.

Elle n’a donc pas pu être reconnue comme une femme dans ses documents d’identité, une expérience humiliante qui l’a forcée à justifier régulièrement son identité de genre.

Pendant la majeure partie de sa vie, Jeanette Solstad Remø, une femme transgenre de Norvège, n’a pas pu faire reconnaître son genre à l’état civil, car elle refusait de se plier à ces conditions déshumanisantes.

Jeanette Solstad Remø et de nombreuses autres personnes ont lutté pendant des années pour faire changer cette loi.

Je cite : « Je suis convaincue qu’une partie de notre succès est dû au fait qu’on soit toutes les deux des filles trans. (…) C’est génial d’être avec quelqu’un qui sait exactement ce que ta propre dysphorie te fait ressentir. D’être avec quelqu’un qui ne trouve pas ça bizarre d’être super heureuse quand quelqu’un te genre bien au supermarché. Quelqu’un avec qui tu peux partager les petites joies de la transition et savoir qu’iel comprend parfaitement ce que tu veux dire. Quelqu’un qui comprend ton identité dans toute sa complexité parce qu’iel est passé par la même évolution. (…) Maintenant, je n’ai plus besoin d’être complexée par le fait d’avoir une voix qui n’est pas aussi féminine que celle d’une partenaire cis. Je n’ai pas besoin d’essayer constamment de parler plus aiguë. Je n’ai pas à me sentir complexée par la féminité de mon corps avec elle. Je n’ai pas besoin de « passer » mieux pour elle. » 

Mais le mouvement en faveur des droits des personnes trans n’attendra plus. Et, alors que de plus en plus de personnes se rendent compte que la vision que la société a du genre est obsolète, nos législateurs ne devraient plus attendre non plus.

Voilà, ce sera tout pour cet article, j’espère que vous avez pu en retirer quelque chose d’utile. N’hésitez pas à donner dans les commentaires vos conseils et astuces à ce sujet, je suis sûr que cet article ne couvre pas tout ! Avant de vous quitter, je voudrais juste vous rappeler deux choses importantes:

(1) on n’est pas forcément stérile quand on est sous hormones donc se protéger contre une éventuelle grossesse non-désirée est requis ;

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