
Sortir de sa zone de confort, c’est être acteur de sa vie. Y rester, c’est en être spectateur. La vie est une pente glissante pour tous ; plaignons ceux qui tombent, et ne condamnons point, sans pitié, ceux que la vanité et la crainte seules, peut-être, nous ont empêchés d’imiter ou de dépasser dans le mal. Cherchons plutôt le côté excusable des personnes et des choses, car l’indulgence, comme l’admiration, est saine à l’âme. Je ne pense pas que vous puissiez créer quelque chose d’intéressant à partir d’une zone de confort. Vous devez travailler à partir d’une zone de peur et d’échec. Ce n’est pas un roman, nul n’a la capacité d’avoir un point de vue omniscient. Alors on s’attache aux mauvaises personnes et laisse filer les bonnes, on oublie que l’apparence extérieure nous induit en erreur. On fonde nos espoir sur ce que les gens veulent nous faire voir, on oublie que c’est au fond que l’on voit si quelqu’un est bon. Et commencent les regrets, lorsque l’on comprend que l’on s’est trop souvent trompé. Sortez de votre zone de confort. Vous ne pouvez croître que si vous êtes disposé à vous sentir maladroit et mal à l’aise lorsque vous essayez quelque chose de nouveau. L’ascenseur du succès est hors d’usage. Vous allez devoir utiliser l’escalier, une marche à la fois Le courage n’est pas l’absence de peur, mais plutôt la faculté de savoir que quelque chose d’autre est plus important que la peur.

La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. La véritable grandeur d’un homme ne se mesure pas à des moments où il est à son aise, mais lorsqu’il traverse une période de controverses et de défis.La grandeur d’un homme ne se mesure pas à la richesse qu’il acquiert mais à son intégrité et à sa capacité à affecter positivement les gens autour de lui La première clé de la grandeur est d’être en réalité ce que nous semblons être. Il faut éclairer les hommes. Il faut détruire en eux les préjugés de race, leur monter que les nations les plus prospères sont celles où les femmes ont contribué à leur grandeur. La vie c’est comme une paroi à escalader, observe bien le nombre de prises et surtout choisis le bon côté. Il est des moments dans la vie, qui révèlent la lumière que l’on a en chacun de nous. Cette lumière restée éteinte si longtemps car trop négligée. Trop de poids, trop de conformisme social. Il est des moments où même une vie banale peut être une aventure. Une aventure où explose une tempête d’émotion. L’amour est beau car il permet de grandir, et ce quelque soit les souffrances, et ce quelque soit notre âge. Une partie de notre vie se passe à détruire ce que nous avons, l’autre partie on la passe à regretter, à s’éloigner, à fuir, à ignorer les autres, à mépriser les autres, à refuser de demander pardon, à recommencer les mêmes erreurs. On passe trop de temps à vouloir à tout prix faire du mal aux autres mais au final, on se détruit mutuellement.

A la guerre, comme en amour, il n'y a que le corps à corps qui donne des résultats. L'amour est une guerre et un repos, une science et un artisanat. L'amour est tout, et même rien avec le tout. Innocence et ruse, innocence avec ruse. Apparaître et disparaître. Faite l’amour pas la guerre. Enfin non… L’amour ça fait des gosses qui crient et qui sont chiants. Faite des crêpes, c’est bon les crêpes ! La vérité, c'est que nous sommes trop grands pour nous. Nous sommes déchirés entre notre petitesse et notre grandeur, entre notre misère et notre puissance. Il n'est rien d'impossible au pouvoir d'un esprit enfermé dans un corps destiné à pourrir et qui n'apparaît que pour se hâter de disparaître. Chacun d'entre nous est un roi très puissant, enchaîné, glorieux, misérable, voué à la poussière et dévoré d'espérance. Chaque instant de ma vie se détache de moi comme une feuille morte. Ce n'est point que je vive dans l'instant, c'est plutôt que je vis dans l'avenir. A cause de mon but, qui suppose une vie révolue pour être atteint. A cause de cette illusion tenace de progresser qui m'occupe depuis mon adolescence. De quelque Moi que l'on me parle, je pense : je suis mieux que celui-là. Me rappellerait-on une bévue de la veille, je la reconnaîtrais de bonne grâce parce que je serais persuadé de n'y plus retomber. Pour une seule raison, en somme, c'est qu'entre elle et moi il y a une certaine épaisseur de temps. Je ne crois point au progrès de l'homme ou des moeurs - ou du moins je ne m'en soucie pas - mais bien à mon progrès individuel. En amour, on gagne toujours de bonne guerre ce qu'on peut obtenir par adresse. Il n'est pas de joie aussi saine, aussi complète, aussi réconfortante, aussi naturelle, aussi propre, aussi exaltante, aussi apaisante, aussi nourrissante, que celle qu'éprouvent un homme et une femme jeunes, normaux, équilibrés, bien assortis et amoureux, à faire ensemble l'amour. Cela doit arriver à peu près à un couple sur mille. Et je crois que je me montre optimiste. Les lois de la séduction ont beaucoup évolué. Avant, on faisait la cour, on tombait amoureux et on faisait l'amour. Aujourd'hui, on fait l'amour et puis on se dit : Tiens, au fait, elle n'est pas si mal que ça !!! Faire l'amour est un plaisir, un appétit, un besoin, un amusement, et non pas un devoir. L'amour, le vrai, l'unique, le pur, l'extase pire qu'une drogue dure : À consommer sans modération, écoute ton corps, oublie la raison !