Aujourd’hui une femme pudique est non respecter si elle veux porter la burka Vous préférer une femme vulgaire qui se dénude a la télé devant vos enfants ? N’y a t’il pas d’autre choses a penser que la burka ? L’ouvrier qui ne pourra pas faire vivre sa famille car il est licencié en pleine crise ou tout autre cause légitime.

ous ne prenons guère le temps d’y penser, pourtant une partie de nos gestes quotidiens sont dictés presque exclusivement par des impératifs moraux. Il s’agit de toutes les précautions que nous prenons pour préserver notre pudeur. Le moment que l’on choisit pour enlever ses sous-vêtements est, par exemple, rarement anodin : il n’a lieu généralement qu’après s’être assuré, avec force précautions, que nul observateur importun ne puisse assister au spectacle du dévêtissement. Pour certains, ce comportement n’est qu’obéissance à des prescriptions religieuses. Pour d’autres, émancipés de toute tutelle doctrinaire, il relève de l’habitude.
Les intellectuels français ont l’habitude de taire ces vérités rustiques. Ils se défoulent en vénérant Sade, Lautréamont ou Houellebecq, et hurlent «Gnagnagnagna… Pauvre conne !» si on les attaque à l’improviste, mais sont si fiers de leurs convictions égalitaristes qu’ils n’osent pas se rappeler leur propre puberté. Certains auteurs américains échappent à cette forme de schizophrénie ; écoutons Ta-Nehisi Coates, brillant écrivain africain-américain, fils d’un Black Panther. Dans son autobiographie, The Beautiful Struggle (la lutte magnifique), Coates écrit : «Il y avait le machisme bouillonnant de la puberté qui, la plupart du temps, se terminait par des échanges de coups. Il y avait l’absence des hommes et des pères, des hommes qui pouvaient instruire les garçons en matière de nuance et d’intelligence. […] En présence des filles, j’étais paralysé de peur, et cette peur dissimulait une croyance dure comme fer que je n’avais rien de valable à proposer ou à dire.» Que faire pour se prouver homme ? C’est là que les métaphores commencent à circuler, entre instruments et armes, sports et guerre, religions et politique, virilité et pouvoir.
La pudeur est le sentiment qui protège l’intime des autres, qui partage cet intime avec les rares personnes qui le méritent. L’intime englobe le corps, les émotions l’identité de la personne, se dévoiler corps et âme est un geste qui dépasse la pudeur pour partager l’intime, cela devient naturel dans les relations amoureuses et sexuelles.
Les manifestations de la pudeur sont modulées par la culture ambiante, par la socialisation, et par les habitudes personnelles. Cependant, la pudeur provoque des manifestations physiologiques et organiques bien définies par le corps médical, ces manifestations sont prises en compte dans le milieu soignant afin d’assurer aux patients la meilleure prise en charge. Dans la vie sexuelle et intime du couple, ces manifestations de pudeur sont visibles à chaque fois qu’un événement déclenche la pudeur de la personne : une première nudité, première rencontre, première relation sexuelle, pratiques sexuelles nouvelles, etc. Ces manifestations se modifient avec le temps, avec l’approfondissement de la relation et de la proximité.
Troubles associés à la pudeur
La pudeur peut être associée à certains troubles lorsqu’elle envahit la vie quotidienne et empêche la personne de fonctionner normalement. Il peut s’agir par exemple de :
- troubles sexuels, problèmes de libido ;
- trouble anxieux, agoraphobie, anxiété sociale ;
- dépression, repli sur soi, isolement ;
- perte de la confiance en soi, honte ;
- mauvaise estime de soi, dévalorisation, complexes ;
- psycho traumatisme.
Les différences sont nombreuses entre ce qu’on montrait auparavant de son corps et ce qu’on en montre aujourd’hui. Petit tour d’horizon de la pudeur à travers le temps et l’espace.
Comme tous les sentiments, la pudeur fait partie de la vie et du bien-être. Pour cela, il est important d’avoir un équilibre, et de savoir lâcher prise, ou de se dévoiler dans certaines circonstances, en particulier lors de la sexualité.
Et si les jeunes hommes qui se tournent vers Daech ne toléraient pas leurs propres faiblesses ? Et transformaient leur terreur intime en une terreur politique ? Face au fanatisme, il faut prendre conscience de l’importance du corps et des pulsions. La pudeur est un trouble mental. Avoir peur ou honte d’être nue (je parle de la nudité simple, pas de la pornographie, des poses racoleuses etc.) est le signe d’un dérèglement mental, fruit d’un lavage de cerveau depuis l’enfance qui persuade les gens que la nudité est forcément quelque chose de sale, de provoquant, de ridicule, d’immoral.
Pourtant, c’est une tenue naturelle, et il n’y a aucune raison de cacher certaines parties du corps comme on cache une tare, une maladie honteuse.
Noter que “ne pas cacher”, ce n’est pas synonyme d’exhiber, trop de gens font la confusion.
La pudeur n’a pas échappé à la règle du temps, obligée d’évoluer.
La pudeur à travers les âges
Comme toute notion, la pudeur est relative. Voici quelques éléments de l’évolution du rapport au corps au cours de l’histoire de l’humanité, en Europe :
- Au Moyen-Age : période de contradiction : les bains, public ou bien privés, se prennent souvent à plusieurs personnes, mais l’exhibition d’une personne nue est un châtiment. Quant à l’amour courtois, il s’exprime avec ferveur…mais reste toujours chaste.
- A la Renaissance : c’est l’époque ou débute la pratique des dissections. Le corps étant découvert, son exposition devient gênante, particulièrement en ce qui concerne la femme. Il est ainsi désormais formellement interdit de peindre tout sexe féminin.
- Au XVIIe : la cour de Versailles suit une étiquette très stricte. Une attitude peut être jugée décente ou indécente en fonction de la personne devant qui on l’adopte : ainsi, montrer son corps ou bien dévoiler ses sentiments devant une personne de rang inférieur n’est pas gênant. Mais ce n’est absolument pas permis devant une personne de rang supérieur.
- 1791 : date charnière dans l’histoire de la pudeur. Faisant suite aux droits de l’homme, apparaît la notion de vie privée et ainsi, d’attentat à la pudeur. Désormais on dissocie la sphère privée et la sphère publique.
- Au XIXe : siècle de retour à une morale conservatrice, notamment avec les règles strictes de la bourgeoisie. Même seul chez soi, on se lave en chemise. L’Angleterre victorienne est connue pour sa pudibonderie. Cependant apparaît parallèlement le romantisme, le courant par excellence des sentiments excessifs et passionnés.
- XXe siècle : la psychanalyse, en essor depuis la fin du XIXe, aboutit à la déculpabilisation de la nudité corporelle et exhorte les individus à exprimer ce qu’ils ressentent. C’est le début d’une libération qui sera particulièrement importante à partir de mai 68, date à partir de laquelle les femmes osent bronzer seins-nus à la plage.
- XXIe : l’avenir nous le dira…
Mais aussi une notion relative dans l’espace
Les convenances varient d’un continent à un autre, parfois même entre différents pays. En effet, ce qui est décent pour nous, français, peut être considéré comme totalement indécent et, par conséquent, inacceptable dans un autre pays. L’inverse est également vrai.
Voici quelques exemples de différences au sein du globe :
- au Brésil, le port du string relève quasiment de la norme et le port du maillot reste une exception, presque à l’inverse de chez nous.
- si en France, depuis les années 70 les femmes bronzent sein-nus sur les plages après avoir pendant de très nombreuses années cachés ceux-ci, en Afrique, avant le début de la colonisation, aucune femme n’avait l’habitude de cacher sa poitrine. Par contre, montrer ses cuisses ou ses mollets était impensable.
- dans les pays nordiques, les familles sont habituées à se jeter tous ensemble nus dans les lacs. Mais, si ceci ne les gêne pas, ils se sentent beaucoup moins à l’aise face au flux de paroles des Latins.
Et enfin une notion qui varie d’un individu à un autre
Entre individus, nous avons nécessairement des conceptions différentes de la pudeur. Cette relativité provient du fait que c’est essentiellement l’éducation que nous avons eue étant enfant, les valeurs que nous ont inculquées nos parents, qui forgent notre conception de ce qu’est la pudeur. Vient ensuite s’ajouter l’histoire propre de la personne, les complexes qu’elle peut avoir… D’où le fait que nous n’ayons pas les mêmes comportements que le voisin/la voisine, quand il s’agit de se baigner… De même nous n’adoptons pas les mêmes attitudes face à une publicité : ce qui peut paraître beau à une personne peut paraître obscène à une autre…
« La pudeur ne saurait dérober entièrement l’homme au regard d’autrui. Il en va de la survie de l’érotisme et de la sexualité, mais aussi du bien-être des individus, car certains maux ne peuvent se lire qu’à travers le regard des autres. »
De nos jours, une majorité de garçons voient mal comment faire, quoi faire, qui imiter, à quoi ressembler, pour se sentir homme – contrairement à ce que suggère la phrase la plus citée de Beauvoir, le «devenir homme» est plus ardu que le «devenir femme». Ayant compris qu’il fallait admettre l’égalité entre les sexes, on est embêté par ce qui en pointe la différence. Pas trace d’un discours public au sujet de l’âge nubile. Or, à la puberté, les corps se réveillent à leur sexualité naissante, préparent garçons et filles (qu’ils aient ou non l’intention de procréer) à se reproduire. On ne s’aperçoit pas à quel point le corps d’un garçon, les besoins et les pulsions de son corps peuvent lui poser problème.
La question de la pudeur excessive
Une psychothérapie orientée sur l’amélioration de la confiance en soi et l’amour propre permet de surmonter sa pudeur progressivement. Apprendre à accepter les compliments, valoriser ses atouts, et être soi-même permet de lâcher prise et de se libérer.
Elle nécessite alors une psychothérapie par un psychologue ou un psychiatre :
- une thérapie systémique ;
- une hypnothérapie ;
- une Gestalt thérapie ;
- une programmation neuro-linguistique (PNL) ;
- une Thérapie Cognitive et Comportementale.
Lorsque la pudeur devient une obsession, qu’elle envahit les pensées, ou engendre un sentiment de honte trop important, on parle de « pudeur excessive ». Elle peut survenir suite à un traumatisme, une humiliation, une comparaison, ou un manque de confiance en soi et peut devenir problématique.
Face au fanatisme et au populisme, comment faire entendre la parole des penseurs et des humanistes ? Sujet, donné d’avance, d’un débat auquel j’ai récemment pris part à Metz. Le problème, c’est que l’humain ne commence pas par la religion ou la politique mais par le corps. Avant d’être un gentil penseur humaniste, fleuron de la civilisation occidentale, on est un fœtus puis un gamin, perpétuellement en interaction avec autrui. Or le fanatisme et le populisme parlent tous deux au corps, aux pulsions. Ils parlent au besoin qu’ont chaque garçon et chaque homme, différemment des filles et des femmes, d’exister, plaire, impressionner, appartenir. La parole des penseurs et des humanistes ne peut être reçue que par ceux qui mangent et dorment bien, font l’amour à peu près comme ils le souhaitent, ne craignent pas pour leur survie. Si on oublie ça, on est dans la candeur… Le vœu pieux… La suffisance… Beaucoup plus que les femmes, les hommes ont tendance à vivre leur virilité par solidarité (en se liant entre eux) et par procuration (en s’identifiant à d’autres hommes dont ils suivent et célèbrent les exploits). Dans les sociétés traditionnelles, chaque garçon était valorisé et pris en charge par le groupe d’hommes et sentait son avenir viril garanti depuis l’enfance. Grâce à des rites de passage, l’apprentissage de la chasse, de la guerre et d’un métier masculin, il avait sa place garantie dans la société.
S’il savait aborder, explicitement mais avec délicatesse, la question du corps masculin. S’il songeait à aider les garçons français – surtout les plus économiquement et socialement vulnérables – à gérer leur puberté, avec tout ce que celle-ci trimballe de pulsions, de passions et d’impatiences. Voici les questions qu’il s’agirait donc de poser : comment offrir à ces hommes autre chose en matière de liberté sexuelle que la pornographie ? Autre chose en matière d’emploi que le deal ? Autre chose en matière de respect que les injures et vexations auxquelles ils sont exposés depuis l’enfance ? Autre chose en matière d’avenir que le RSA et des CDD ? Là, on aura peut-être jeté enfin une pierre dans le jardin du fanatisme et du populisme.
Atouts et inconvénients de la pudeur
La pudeur varie en fonction des époques, des lieux et des sociétés. Se retenir, se sentir gêné ou honteux de ce qui peut éventuellement choquer la décence, a pourtant certains atouts : protection, respect, confiance, intimité, décence, modestie.
Il est utile de :
* – Comprendre ces manifestations, ses origines, et ses facteurs déclencheurs et d’assurer leur bonne gestion dans la relation du couple afin d’éviter stress et l’anxiété. Par exemple, éteindre la lumière si l’homme ou la femme commence à rougir à manifester une gêne ou un stress.
* – Considérer ces manifestations physiques comme témoins des limites de chacun, et de ne pas dépasser ces limites
* – Ne pas railler ou prendre ces signes de pudeur à la légère
* – Comprendre le lien entre ces manifestations et l’intime de la personne
* – Adapter le comportement sexuel selon ces limites sachant que ces limites peuvent varier avec le temps et avec l’évolution de la relation.
C’est donc le regard de l’autre qui peut amener l’esprit à rougir du corps. Cependant, la pudeur ne saurait dérober entièrement l’homme au regard d’autrui. Il en va de la survie de l’érotisme et de la sexualité, mais aussi du bien-être des individus, car certains maux ne peuvent se lire qu’à travers le regard des autres. Le regard du médecin, par exemple, –au lourd potentiel objectivant- peut sauver des vies. Dès lors, il incombe à chacun de pouvoir offrir son regard à l’autre sans porter atteinte à sa pudeur, c’est-à-dire sans lui nier sa part d’esprit.
C’est ainsi que partant d’une définition de la pudeur, les auteurs en viennent à définir l’homme comme l’être du clair-obscur. Tout homme a besoin de sa part d’ombre mais il ne peut se soustraire éternellement à la lumière pour vivre.
Quand les enfants marchent, peu à peu émergent les questions sur leur identité de petit garçon ou de petite fille. Dans leurs jeux, on voit poindre le « faire pareil », puis un vrai « faire-semblant » où l’enfant peut dire : « Tu serais le papa… ». Peu à peu, ce sont les attitudes du parent du même sexe qui sont là, au-delà des rôles sociaux attribués à l’un ou à l’autre sexe, les habitudes familiales qui ressortent (qui passe l’aspirateur, par exemple). Les garçons se mettent à faire pipi debout, les filles aussi, surtout celles qui sont actives et qui testent leurs possibilités avant de s’adapter.
Nicolas, âgé de 22 mois, joue à se déshabiller au sein d’un groupe d’enfants du même âge. Debout dans la pièce, il se montre aux autres. La nudité suscite chez lui une excitation difficile à canaliser par les adultes qui ne réussissent pas à lui faire garder ses vêtements. Il les enlève de façon compulsive pendant tout un après-midi, ce qui va provoquer une inquiétude chez une petite fille qui va se mettre à pleurer.
Dans le milieu où elles exercent, les professionnelles de l’accueil de jeunes enfants notent que le terme de sexualité infantile est très peu utilisé dans le vocabulaire quotidien lorsque l’on parle des enfants de moins de trois ans. S’agit-il d’une méconnaissance, d’un déni, ou d’une gêne liée à l’idée qu’on se fait de l’enfant : « Si petit, peut-il avoir une sexualité ? » Si le terme est utilisé, il l’est uniquement pour parler d’une sexualité qui se voit. Ainsi dans une collectivité d’enfants de moins de trois ans, les comportements sexualisés tels l’exhibition et la masturbation, lorsqu’ils deviennent excessifs, peuvent déranger, voire mettre en difficulté les adultes et les enfants qui y sont confrontés. Ils amènent interrogations et réflexions.
La fin des couches correspond à une « libération » : l’enfant devient un peu plus maître de son corps puisqu’il va régler lui-même son passage aux toilettes. Du côté des adultes, un mouvement plus net de reconnaissance de l’identité sexuée des enfants se fait également. C’est aussi à ce moment-là que la possibilité de se toucher, ou de toucher les autres pour une connaissance réciproque, se trouve accrue.
Ce type de comportement n’est pas rare chez les enfants de cet âge. Il semble qu’au moment de l’acquisition de la propreté, le fait de ne plus porter des couches modifie chez l’enfant la relation à son corps. En effet on peut constater que, vers 2-3 ans, la semi-nudité (slip et torse nu) excite les enfants au point de troubler leur endormissement. Il est alors nécessaire de les couvrir d’un drap léger ou de sous-vêtements pour les apaiser, même lors de forte chaleur. Il est à noter que ces mêmes enfants s’endormaient tranquillement l’année précédente.
Ainsi, pendant de nombreuses semaines, à chaque fois que les sept enfants d’un groupe se retrouvent dans la piscine, Maxime, âgé de 30 mois, slip baissé, se masturbe devant ses camarades, qui, du coup, cessent de jouer pour le regarder. Les nombreuses tentatives des adultes pour l’aider à garder son slip restent sans effet. Son activité masturbatoire prendra fin lorsque les jeux de glisse et de toboggan vont pouvoir s’élaborer entre enfants.
En crèche collective, on observe comment, en prolongement des soins dans son milieu familial, le jeune enfant construit les prémisses de sa vie sexuelle en relation avec les personnes – auxiliaires et éducatrices – qui l’entourent au quotidien. D’où l’importance d’échanger sur ces sujets.
E grande section, se pose la question de la pudeur. Comment est-elle initiée par l’éducation ? Que privilégie-t-on comme espace intime à la maison ? et à la crèche ? dans les toilettes collectives ? À cet âge-là, la distinction se fait nettement entre la curiosité essentielle et l’excitation permanente, entre la réassurance de l’enfant qui se touche et s’endort, et celui qui s’engage dans de l’auto-érotisme compulsif. Dans un premier temps, les réactions des adultes face à ces comportements semblent liées, non seulement à la connaissance qu’ils peuvent avoir de la sexualité infantile, mais aussi à leur propre histoire. Une élaboration secondaire peut s’avérer nécessaire quand l’envahissement ou la répétition alertent les adultes qui s’interrogent alors sur les causes d’une masturbation compulsive ou ses conséquences.
Dans certains cas, la pudeur peut avoir des connotations négatives qui peuvent poser problème au quotidien, lors des relations avec les autres, des relations intimes ou de couple par exemple : honte ou gêne, manque de confiance en soi, conséquences sur la sexualité, repli sur soi, tristesse, dépression.
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