La liberté, c’est de pouvoir : Je refuse le mot carrière comme exercice de l’ambition en marge de la vie

Telle est la marche de l’esprit humain : une fois engagé dans la carrière de l’erreur et des superstitions, il s’y avance et ne rétrograde jamais une erreur admise appelle alors d’autres erreurs à son secours. En vingt quatre heures, j’ai perdu en bloc ma carrière, mon copain et mon magazine, sans doute un record dans les annales des catastrophes pas naturelles. Eh bien oui, je préfère réussir ma vie que réussir ma carrière. Une carrière, c’est la chose la plus difficile au monde.

La liberté, c'est de pouvoir : Je refuse le mot carrière comme exercice de l'ambition en marge de la vie
@dianaunlimitedfaunesetfemmesmagazines / La liberté, c’est de pouvoir : Je refuse le mot carrière comme exercice de l’ambition en marge de la vie / By Diana Abdou

Je n’ai pas choisi ce métier par fuite ou en pensant que j’allais gagner des millions et faire une carrière à France. Non, j’allais en cours comme on va en apprentissage. J’étais heureux d’apprendre des textes, de jouer la trahison, la passion. De jouer à séduire. Je n’ai jamais planifié mon temps ni ma carrière. Des erreurs, mon Dieu, j’en ai commises. Vous savez, c’est un métier difficile, d’être une journaliste indépendante d’un magazine en ligne et surtout l’auteur en elle-même, avec une image transsexuelle, cela et encore plus difficile pour obtenir soutient financière pour réaliser mon rêve, un métier qui me passionne tellement, cela dit tout peut s’arrêter demain, même quand on est tout en haut avec des difficultés de bâtir un magazine en partant de rien c’est encore plus difficile. Je me le dis encore aujourd’hui. C’est peut-être pour cela que je suis toujours là.

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Une carrière est faite de désirs, de rêves, de chances. C’est paradoxal, frustrant. Vous semblez ne pas comprendre, j’ai admirablement contente de ma création, en espérant de réussir dans ma carrière et je possède de quoi satisfaire mes besoins et mes caprices. Je me charge seulement de mes affaires… que j’estime intéressantes.

On peut très bien faire une carrière sans avoir de voix, mais en ayant du cœur.  Nous entrons aveugles dans la carrière de la vie, heureux si quelqu’un veut nous y guider !

La liberté, c'est de pouvoir : Je refuse le mot carrière comme exercice de l'ambition en marge de la vie

Changer son style de vie est une opération plus importante que d’atteindre un but ou réaliser une performance. Un amour, une carrière, une révolution : autant d’entreprises que l’on commence en ignorant leur issue.

Un gagnant est une personne qui a identifié ses talents, a travaillé avec acharnement pour les développer, et a utilisé les dites capacités afin d’accomplir ses objectifs.

Mon père disait que beaucoup de gens ont du talent, mais que seul le travail permet de faire carrière. “Quel que soit le métier ou la profession que tu choisiras, tu ne devras compter que sur toi-même. Seul l’effort personnel enrichit et libère.”

La croissance et le changement peuvent être douloureux, mais rien n’est plus pénible que de rester coincé quelque part où tu ne veux plus être.  La vie est faite de choix : Oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains choix comptent plus que d’autres : aimer ou haïr. Être un héros ou un lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir. Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore… La vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement.

Être heureux, c’est apprendre à choisir. Non seulement les plaisirs appropriés, mais aussi sa voie, son métier, sa manière de vivre et d’aimer. Choisir ses loisirs, ses amis, les valeurs sur lesquelles fonder sa vie. Bien vivre, c’est apprendre à ne pas répondre à toutes les sollicitations, à hiérarchiser ses priorités .La vie est un choix. Du matin au soir, tous les jours. A qui l’on parle, où l’on s’assoit, ce que l’on dit, comment on le dit. Notre vie est définie par nos choix. C’est aussi simple et aussi complexe que cela. Et aussi fort.

“On mène une carrière selon qui l’on est ou qui l’on aimerait être.”

Vivre c’est choisir , et choisir c’est sacrifier quelque chose . Le choix. Tout au long de notre vie il est question de choix. Choisir fait partie de notre panoplie du cerveau. Le couteau Suisse d’avoir ci ou d’avoir ca, de faire ci ou de faire ca. J’ai fait le choix d’écrire, libre à vous du choix d’aimer et de partager. Faites un : bon choix Monsieur, bon choix madame. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, accepter sa vie, pour soi-disant assumer ses choix, vivre celle que l’on a sans en avoir envie, savoir qu’ailleurs se cache nos joies, et pourtant continuer sur la mauvaise voie. Choix par défaut ou par dépit, vivre son ennui, comme s’il on en était sa proie.

Il y a des moments dans l’existence où une porte s’ouvre et où votre vie dérape dans la lumière. De rares instants où quelque chose se déverrouille en vous. Vous flottez en apesanteur, vous filez sur une autoroute sans radar. Les choix deviennent limpides, les réponses remplacent les questions, la peur cède la place à l’amour. Il faut avoir connu ces moments. Ils durent rarement. La vie est une route. Tu peux choisir de traîner les pieds, de marcher sur le bas côté, tu peux choisir de suivre le troupeau sans lever le front, ou bien tu peux chercher ton propre chemin, sans te soucier de celui qu’on veut t’obliger à prendre. Décider que nul autre ne peut marcher à ta place.

L’amour, c’est la vie. Mais il faut faire aussi marcher l’intelligence, avoir du discernement, faire un triage, un choix, savoir qui aimer, comment aimer et comment spiritualiser et sublimer son amour. Pourquoi ? Pour faire un travail sur cet amour. Il faut donc choisir de deux choses l’une : ou souffrir pour se développer, ou ne pas se développer, pour ne pas souffrir. Voilà l’alternative de la vie, voilà le dilemme de style de vie.

La chose la plus importante à toute la vie est le choix du métier : le hasard en dispose. Parce que la vie passe tellement vite qu’on n’a pas le choix, il faut la mordre à pleines dents en acceptant que les situations nous échappent, sans s’en faire. Être journaliste, ce n’est pas un choix de carrière, c’est un choix de vie.

Nous vivons dans un monde où nous disposons de choix multiples. Pourtant, nous sommes devenus incapables de faire le plus important. Celui de notre liberté d’être.

Je me suis souvent posé la question : Pourquoi la vie ne m’a pas laissé le choix ? En me posant sans cesse la question, je me suis juste rendu compte, qu’en fait le choix on peut l’avoir. Choisir la vie, c’est toujours choisir l’avenir. Sans cet élan qui nous porte en avant nous ne serions rien de plus qu’une moisissure à la surface de la terre. Il suffit juste de chercher à savoir ce que l’on veut réellement et ce qui pourrait nous faire avancer dans la vie, et là, on pourra dire ” J’ai le Choix “.

C’est peut-être la seule chose qui fait de nos vies des choses singulières dans le fond, le choix du risque qu’on vit. Chacun le sien. Une chose est sûre. Sans risque, on ne vit pas.

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