Je suis une personne transgenre et/ou intersexe et la situation est compliquée à gérer pour moi en ce moment, après le confinent il y’a a des conséquences négatives / amène de nouvelles difficultés. A qui puis-je m’adresser ? Je suis une personne transgenre et/ou intersexe et je me sens fragilisé-e psychologiquement pendant le confinement. A qui puis-je m’adresser ?

Les personnes transgenres (trans) font face à des facteurs de stress particuliers, comme le stress ressenti lorsque leur identité de genre n’est pas affirmée. Les personnes transgenres subissent également des incidences plus élevées de discrimination et de harcèlement que leurs homologues cisgenres et, par conséquent, ont une moins bonne santé mentale. Elles sont également plus à risque de se suicider, car elles sont deux fois plus susceptibles de songer au suicide et de faire une tentative de suicide que les personnes LGBT.
Nous reconnaissons que les attitudes sociales envers les questions LGBT sont diverses et variées aux quatre coins de la planète et que l’environnement extérieur évolue.
Notre approche consiste avant tout à renforcer le respect envers nos salariés et mener des campagnes de sensibilisation plutôt qu’à modifier les convictions individuelles. On attend de nous, comme le prévoit notre Code de conduite, de fournir une égalité des chances à tous les membres du personnel quel que soit l’endroit où ils travaillent et indépendamment de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre.
Malgré la multiplication des initiatives visant à promouvoir le droit à la diversité des orientations sexuelles et à sensibiliser les jeunes et les moins jeunes contre les LGBT-phobies (lesbiennes, gays, bi, trans), les discriminations et autres formes de rejet liées au genre et à l’orientation sexuelle continuent d’avoir cours dans la société française. Le rapport annuel de SOS homophobie est l’un des seuls outils d’analyse quantitative et qualitative en France sur le sujet, mais il n’a pas de valeur statistique dans le sens où il se base uniquement sur des témoignages volontaires, un suivi de l’actualité et une analyse de presse. Si l’absence d’enquête représentative est fortement regrettable, il est déjà possible de protéger les jeunes victimes de LGBT-phobies en mobilisant les dispositifs juridiques existants et d’améliorer leur prise en charge et leur accompagnement afin qu’ils puissent se construire dans un cadre apaisé, voire épanouissant.

Préambule méthodologique
Pour mieux saisir la réalité des LGBT-phobies, nous avons souhaité laisser une part importante aux témoignages et aux initiatives de jeunes que nous avons rencontrés ou que nous avons pu trouver sur Internet. Par ailleurs, plus de soixante entretiens ont été réalisés par téléphone ou skype, entre octobre et mars 2013, et une vingtaine d’autres en face à face avec des acteurs de terrains : acteurs associatifs, politiques et institutionnels mais aussi travailleurs du secteur éducatif et médicosocial. Sans être forcément spécialisés sur le sujet et sans en avoir tous une conscience égale, ces acteurs issus de différents champs s’avéraient concernés par l’homophobie et la transphobie, parce que régulièrement confrontés dans leurs pratiques, soit à la rencontre de jeunes en proie à des questionnements sur le sujet, soit à la gestion d’actes et de paroles qui, s’ils ne sont pas toujours perçus comme homophobes ou transphobes, peuvent avoir des incidences très négatives sur la construction de l’identité sexuelle et/ou de genre des jeunes. Toutes les personnes croisées lors de notre enquête ne sont pas citées dans cet ouvrage mais que chacune d’entre elles se voie ici remerciée.
Il existe en France de nombreuses initiatives locales de prévention de l’homophobie et du risque suicidaire, et d’autres, plus rares, se situant davantage sur le terrain de l’accueil et de la prise en charge. Dans les deux cas, ces initiatives demeurent encore largement méconnues.
La recherche menée à l’appui du présent ouvrage a été effectuée en plusieurs temps : un inventaire des initiatives locales a d’abord été effectué entre juin et novembre 2012. Cet inventaire n’avait évidemment pas pour but d’atteindre l’exhaustivité mais de comprendre au plus près des pratiques les actions mises en place sur le terrain pour lutter contre les LGBT-phobies, leur cohérence, leurs limites et les points aveugles. Le choix de mettre en lumière telle initiative plutôt que telle autre, au moment de la rédaction, a relevé avant toute chose de la volonté de proposer un panorama montrant la diversité et la complémentarité des actions menées, des outils utilisés, des porteurs de projets et des publics ciblés.
La nécessité d’un accueil et d’une écoute adaptés
La question de l’accueil et de l’écoute des personnes LGBT se pose avec prégnance pour les jeunes. En effet, l’adolescence et la transition vers l’âge adulte représentent une phase de construction identitaire active synonyme de nombreux questionnements pour l’ensemble des jeunes, mais qui sont généralement renforcés par le fait de se découvrir des attirances sexuelles différentes de celle de la majorité. Par ailleurs, dans un contexte où ils ne disposent pas des moyens économiques qui leur permettraient de prendre leur indépendance s’ils le souhaitaient ou si leur famille les y contraint parce qu’elle rejette leur homosexualité, bien des jeunes ne se sentent pas libres d’affirmer leur homosexualité et ont besoin d’une oreille attentive.

Coming out et outing
Le coming out est le fait de révéler soi-même son homosexualité.
L’outing est la révélation de l’homosexualité d’une personne par quelqu’un d’autre qu’elle-même, à son insu.
Pour les jeunes, le regard et l’avis que peuvent porter les personnes les plus proches sur leur homosexualité (réelle ou supposée) sont évidemment ceux qui importent le plus. C’est le cas des meilleurs amis et plus largement du groupe de pairs, mais surtout, en général, des frères et sœurs et plus encore du père et de la mère. Les idées reçues et propos péjoratifs que ces différentes personnes peuvent tenir sur l’homosexualité ne sont pas sans conséquence sur la manière de vivre et de révéler son homosexualité. De même une fois le coming out ou l’outing survenu, le harcèlement des pairs ou les réactions de rejet dans la famille peuvent causer un profond mal-être et désarroi pour le jeune concerné. Où l’on remarque une différence notable avec les autres formes de discrimination existantes car s’il est bien une caractéristique marquante dans la manière dont les liens familiaux se structurent autour de la question de l’homosexualité et du coming out, c’est que « contrairement à un jeune victime de discrimination raciste, par exemple, la jeune lesbienne ou le jeune gay ne trouve pas au sein de la famille une culture ni une expérience qui lui apporterait un soutien et l’aiderait à lutter contre le stigmate ». On pourrait effectuer la même remarque en utilisant la comparaison avec un jeune qui serait victime d’une discrimination liée à son appartenance de classe ou à sa religion, par exemple.
Les personnes transgenres et non-binaires font face a beaucoup de discriminations dans leur parcours médical, se retrouvant parfois devant un refus de soins, ou à devoir reporter les soins, ou encore former les professionnels de santé en terme de communication. Le fait d’être appelé par le mauvais pronom ou nom (“papa” au lieu de “maman”, “il” au lieu de “elle”) est très stressant.
Les besoins cliniques sont différents selon les cas.
L’accès aux soins est difficile pour ces personnes qui par peur de discrimination ou suite à des situations stressantes sont réticentes à chercher de l’aide pour leur allaitement.

Une femme transgenre aura, pour lancer sa lactation, besoin d’un protocole similaire à celui des mères adoptives, avec des hormones simulant la grossesse et des tirages du lait. On y ajoutera la spironolactone pour son effet anti-androgène (compatible avec l’allaitement) et finalement le besoin de complémenter sera réduit.
Pour améliorer la prise en charge de cette population, l’auteur mentionne la nécessité de former le personnel soignant sur l’humilité culturelle et la santé des personnes transgenres et non binaires, de donner aux patients sur leur formulaire d’identification la possibilité de préciser par quels noms/pronoms ils s’identifient, et le besoin d’être inclusif dans la communication orale et écrite, en utilisant le terme parent plutôt que mère, par exemple.
Un homme transgenre pourra allaiter après une grossesse avec plus ou moins de difficultés selon s’il a déjà subi une chirurgie de masculinisation au niveau de la poitrine, s’il a pris de la testostérone ou non. Après chirurgie, l’allaitement (sur le torse : « chestfeeding », et non au sein) pourra se faire avec l’aide d’un bout de sein, et d’un Dispositif d’Aide à la Lactation (DAL) si nécessaire. Un des risques rencontrés est la dysphorie de genre, qui correspond à la détresse causée par la différence entre le genre ressenti et le physique. Il arrive que des hommes transgenres allaitant souhaitent bander leur poitrine, avec un risque accru de mastites. La prise de testostérone peut aider à atténuer le sentiment de dysphorie, et bien qu’ayant une biodisponibilité orale faible (et donc un risque supposé moindre d’effet indésirable chez l’enfant), la testostérone diminue les taux sériques de prolactine et peut donc avoir un impact négatif sur la production de lait.
Le thème de langage utilisé lors de la prise en charge de personnes qui s’identifient LGBTQI+.
Il est donc important d’être « multilingue » pour s’occuper de ces familles et capable de s’adapter aux spécificités de chacun en demandant aux patients quels noms/pronoms/termes d’allaitement leur conviennent, en étant inclusifs dans les écrits professionnels, en revoyant son code d’éthique professionnel.
Dans cet article, l’auteur aborde également les difficultés rencontrées par les personnes de la communauté Queer en terme d’accès au soin, avec souvent des personnes qui cachent leur orientation de genre, ou qui ressentent une dysphorie de genre lorsque l’on utilise les mauvais termes pour s’adresser à eux.
Afin de les prendre en charge il est nécessaire de se former sur le langage à utiliser : langage verbal, corporel, et expressions faciales entrent en jeu pour véhiculer soit la suspicion et le rejet, soit le respect et l’inclusion. Les mots ont du pouvoir, celui de blesser, ou celui de guérir.
aborde la contribution de la théorie « Queer » au soutien à l’allaitement des familles LGBTQIA2S+. Le terme « Queer » est utilisé pour qualifier une identité sexuelle marginale non normative, une façon différente de comprendre les relations entre sexe, genre et sexualité qui critique les oppositions binaires telles que mâle/femelle ou hétérosexuel/homosexuel. Le droit à allaiter est généralement lié avec la grossesse et classifié médicalement et légalement comme féminin. Ce qui peut limiter les droits des personnes transgenres ou adoptantes qui souhaitent allaiter.

L’auteur explique que les consultant.e.s en lactation doivent tenir compte de l’oppression subie par les parents de la communauté Queer, du fait que la notion de genre est flexible et changeante, que les parents ne s’identifient peut-être pas en tant que père, ou mère mais auront leur propre étiquette parentale à respecter.
Elle souligne le risque de violence et de pauvreté, le manque de soutien social et légal pour les familles LGBT qui sont souvent étendues avec des modèles alternatifs (par exemple la mère porteuse, le donneur de sperme, les amis, le partenaire du partenaire). Les disparités en terme de santé, avec une difficulté d’accès aux soins ou l’évitement des soins par peur d’une discrimination ou de maltraitance sont aussi évoquées. L’allaitement peut être une raison de plus pour exclure une personne, et les personnes transgenres sont à risque de crimes haineux violents lorsqu’elles allaitent.
L’auteur aborde les problèmes différents selon chaque catégorie de la communauté, et les attitudes différentes par rapport aux transitions de genre : certaines personnes transitionneront avec chirurgie, d’autres non.
Les traitements utilisés pour faciliter la lactation des femmes transgenres. En effet, en 2018 une femme transgenre a pu allaiter 6 semaines exclusivement son enfant, et plus de 6 mois avec ensuite des compléments. Des questions ont été posées dans les médias sur la possible moindre qualité du lait produit, du fait des traitements nécessaires pour l’obtenir. L’auteur détaille donc chaque médicament et les études disponibles concernant leur utilisation chez les couples hétérosexuels afin de contrer ces allégations.
La plupart des médicaments sont compatibles avec l’allaitement et retrouvés en faible quantité dans le lait humain, et il faut tenir compte, lors du choix entre allaitement avec traces de médicaments et lait industriel, des conséquences de l’utilisation du lait industriel.
Un homme qui transitionne en femme aura besoin pour lancer sa lactation d’un traitement oestroprogestatif. Ce type de traitement est utilisé comme contraceptif en post-partum (généralement pas immédiat en raison du risque thromboembolique). Il y a un risque potentiel négatif sur la lactation du fait de l’utilisation d’œstrogènes, mais 2 revues systématiques ont montré qu’il n’y avait pas d’impact négatif sur la santé de l’enfant, la durée de l’allaitement ou la production de lait lors d’utilisation de ces traitements. Beaucoup de parents hétérosexuels utilisent la pilule oestroprogestative en post-partum et cela ne devrait pas être stigmatisé chez les parents transgenres.
La spironolactone est utilisée en tant qu’anti-androgène et référencée comme compatible avec l’allaitement par Hale (généralement utilisée dans le traitement de l’hirsutisme) avec des doses dans le lait maternel trop faibles pour entraîner un effet clinique chez l’enfant.
La dompéridone est utilisée en tant que galactogène. L’auteur cite 2 revues de la littérature ayant montré une efficacité dans l’augmentation de la production de lait, et l’absence d’effet indésirable chez l’enfant. Ce médicament n’est pas disponible aux Etats Unis (en raison du risque cardiaque) et la femme transgenre ayant allaité se l’était procurée au Canada.
Certaines critiques concernant le lait produit par les personnes transgenres mentionnent l’absence d’analyse pour vérifier sa qualité et l’auteur invite à résister à l’hypermédicalisation et à cette vérification.
Les auteurs soulignent pour les professionnels de santé, le besoin d’ouverture d’esprit, de capacité d’adaptation à chaque couple, en clarifiant les rôles parentaux et en tenant compte de la vulnérabilité de cette communauté de patients. Ils abordent également la nécessité de prendre conscience de ses propres biais au regard de ces familles, et la nécessité de se former sur leur prise en charge spécifique en terme de communication, afin qu’ils n’aient pas la charge supplémentaire de former leurs professionnels de santé.
Une étude de cas. Il s’agit de l’allaitement d’une femme bisexuelle (répondant au pronom “elle” et au nom “Mama”) mariée à un homme transgenre (répondant au pronom “il” et nom “Papa”) qui avait subi une chirurgie de masculinisation de la poitrine. Après une césarienne en urgence à 37 semaines de gestation, la perte de poids du nouveau-né était de 12% à J3. Une supplémentation par lait de donneuse a été mise en place, en raison d’une probable hypoplasie mammaire et insuffisance de lactation. Le père n’avait aucun désir de co-allaiter et voyait le fait de donner les biberons comme une façon de réaffirmer son genre. A aucun moment la chirurgie de masculinisation n’a été remise en cause.
Ce que l’on peut retenir de ce numéro spécial, c’est la vulnérabilité des parents s’identifiant LGBQTI+ et le risque de discrimination, la nécessité d’utiliser un langage inclusif dans les documents écrits et à l’oral, l’importance d’aborder le sujet des rôles parentaux (qui peuvent varier d’un couple à l’autre) et d’être attentif aux demandes de chaque famille par rapport au langage à utiliser pour les mettre à l’aise et par rapport à leur projet d’allaitement spécifique.
Concernant l’usage de la dompéridone, rappelons que l’utilisation en tant que galactogène est hors-AMM en France, son utilisation étant réservée au soulagement des nausées et vomissements. En raison des effets indésirables cardiaques graves rares associés à son utilisation (notamment un allongement de l’intervalle QT, des torsades de pointes, une arythmie ventriculaire grave voire une mort subite), l’ANSM a émis des recommandations pour limiter le risque cardiaque en 2014 (notamment posologie maximale de 30 mg par jour et durée la plus courte possible sans dépasser une semaine) et a récemment restreint son utilisation aux personnes âgées de plus de 12 ans en 2019 (7). Dans l’utilisation en tant que galactogène à la posologie de 30 mg/j pendant 7j, une méta-analyse publiée en 2019 (8) montre une augmentation de production de lait de 94 ml en moyenne et que l’augmentation de la durée d’utilisation à 14 jours n’apportait pas de bénéfice supplémentaire en terme de production. Le protocole de L’Academy of Breastfeeding Medicine sur l’usage des galactogènes publié en 2018 (9) mentionne un risque d’incidence très faible des arythmies chez les femmes en post-partum prenant de la dompéridone, mais qui peut augmenter en fonction de l’historique médical, l’IMC, la posologie utilisée et les interactions médicamenteuses. Des précautions particulières (posologie, suivi) sont proposées en cas de prescription.
Il faut également noter les divergences de prise en charge entre la France et les Etats-Unis, qui signifient que l’expérience française sera certainement différente.
Ainsi, en France, le lait de donneuse est généralement réservé aux nouveau-nés prématurés ou de faible poids de naissance ou présentant une pathologie spécifique (6).
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