Mon espoir, c’est d’être soutenue par nos consommateurs et que le public soit avec moi, même s’il n’y a pas de raison que ça n’arrive pas, et aussi qu’il n’y ait pas d’être sanctionnés d’être une femme transsexuelle, à quoi ça sert d’être horrible, c’est l’affaire de tous. C’est de la responsabilité de tous. L’idée d’être entrepreneur(se), C’est d’avoir une idée de création et de changer le monde de demain, c’est ce qui nous unit tous, de s’inspirée à un projet et de la réaliser.
Je suis contente pour ceux qui sont réussis dans un domaine facilement réalisable, je ne sais pas de ce qu’il sait passer ou d’avoir été si enthousiasmes de me dire oui je me lance, car je veux être un journaliste, oui hier j’étais dans la restauration et aujourd’hui la presse, je ne souhaite pas me comparaître à vous, parce que chacun et chacune de nous a le droit de suivre la vois qu’on veut suivre, malgré la peur de l’inconnu, c’est là qu’ont ce dit oui, c’est le meilleur choix, qu’on peut faire, mais être différence dans un monde si renfermé, ce sont mes ressentis, mais cela ne vas pas me faire mourir, car les os ce bris, facile d’être la cible sexuelle de tous, mes questions humanité, question d’avenir, question d’être épanouie dans le monde de création.
Je ne sais pas de ce qu’il sait passer, en effet je me retrouve sans personnes, sans soutiens, c’est vraie personne, c’est dur de le dire, c’est dur de l’exprimé, cet article n’est pas un article ou je suis en train de supplier ou de vous convaincre de me soutenir financièrement pour mon projet, mes la seule famille, c’est vous, c’est avec vous que je partage mes articles, mes inspirations, pour une journaliste indépendante d’un magazine féminin et LGBT, il n’y a rien de pire et rien de meilleurs.
Ce n’est pas une surprise, « entreprendre » quand on est une femme est un parcours semé d’obstacles et de freins qui ne donnent pas toutes ses chances à l’entreprise de se développer et de réussir. Mais le développement personnel que cela permet, en vaut vraiment la chandelle.
Comme nombre de femmes entrepreneures, je construis mon projet petit à petit, sans financement, sans aide, je compte sur mon travail et sur mon énergie pour que cela fonctionne.
Le frein dans mon cas, est la difficulté à me projeter dans la création d’entreprise, idée surréaliste. Le plan de développement de l’entreprenariat féminin propose tout un axe sur la sensibilisation, culture, société, environnement, santé : concevoir l’entrepreneuriat féminin comme une voie possible, ouverte. C’est loin d’être une évidence… Pas une fatalité certains sentiments négatifs reviennent tout de même souvent. Quelques uns en vrac : le poids d’être une femme transsexuelle , le manque de confiance en soi, le manque de crédibilité pour trouver des financements, et de toutes façons : ne surtout pas demander d’aide, se débrouiller seule (femme des années 80…), une certaine condescendance autour des loisirs créatifs (un marché pourtant en vrai développement), l’importance de l’image que l’on renvoie (“je dois être au top sur tous les fronts”), l’organisation de sa vie autour de celles des autres, ne pas faire courir de risque à sa famille, ne pas se mettre en avant… réussir sans que ça coute aux autres et le porter sur ses épaules discrètement. Si vous les cumulez tous, la montagne doit vous sembler infranchissable.
Je suis bien consciente du fait que ce soit une chance vivre de sa passion. J’ai toujours voulu être journaliste, mannequin, et de défendre les droits des LBGT, ainsi sur les femmes (violences, viol, surtout sur les leaders d’hier et de demain et de lutté contre les exhibitionnistes, la prostitution pour protégé les enfants… tout ça se rejoint sous le doux nom Diana Unlimited? Mon entreprise a une formidable opportunité qui est le digital pour faire entendre son message et acquérir de nouveaux clients.