En 2022 existe une grande différence entre se rendre et savoir quand il faut dire stop
En 2022 existe une grande différence entre se rendre et savoir quand il faut dire stop @GETTYIMAGES

Il y a des histoires, des relations et de liens qui n’ont plus rien à offrir. Ce sont comme des cordes qui se sont trop tendues, comme des cerfs-volants qui veulent s’échapper et que nous ne pouvons plus retenir, des trains qui doivent partir à l’heure et que nous ne pouvons pas arrêter. Les laisser partir n’est absolument pas à un acte de lâcheté ou d’abandon car reconnaître que l’heure est venue de l’accepter est au contraire un acte de bravoure.

S’il y a bien une chose à laquelle nous ne somme pas préparé-e-s, c’est de nous éloigner de personnes significatives ou de cesser d’investir du temps et des efforts dans un projet, dans une occupation ou dans une dynamique qui était jusqu’alors très importante pour nous. Nous disons que “nous ne sommes pas préparé-e-s” parce que notre cerveau est très résistant au changement, parce que pour cet organe merveilleux et sophistiqué toute rupture avec la routine ou les habitudes suppose un saut dans le vide qui engendre de nombreuses peurs.


“Ça suffit !”, cria le cœur. Et, pour une fois, lui et le cerveau se mirent d’accord sur quelque chose.


Ce penchant du cerveau à toujours nous maintenir dans les mêmes espaces, les mêmes occupations et avec les mêmes personnes rend difficile toute intention de franchir les limites de notre zone de confort. Cet attachement presque obsessif envers ce que l’on connaît nous fait dire des choses comme ” il vaut mieux que je le supporte encore un peu” ou “je vais attendre un peu plus, pour voir si les changent”.

Cependant, s’il y a bien une chose que nous avons fini par savoir, c’est qu’il y a des changements qui n’arrivent jamais et que, parfois, supporter un peu plus une situation revient à trop attendre. On nous a toujours répété l’idée classique et injustifiable que “ce que ne tue pas nous rend plus fort-e-s” et que celui/celle qui abandonne quelques choses ou quelqu’un le fait parce qu’il se rend et que sa force de volanté à été vaincue.

Bien, mais au-delà du problème”, on voit surtout une insatisfaction chronique et écrasante. Si physique qu’elle en vient à nous ôter l’air et la vie. Mettre de côté ces situations, au moins pour un temps, est sans aucun doute un acte de courage et de santé.

Savoir quand il faut dire stop n’est pas toujours facile

Quand nous trébuchons, tombons et nous blessons, nous n’hésitons pas à nous soigner directement et à comprendre qu’il vaut mieux éviter cette partie du trottoir parce qu’elle est dangereuse. Pourquoi ne faisons-nous pas la même chose avec nos relations et avec chacun de ces domaines dans lesquels nous ressentons de la douleur ou de la souffrance ? Cette question simple a une réponse qui renferme des nuances aussi complexes que délicates.

Dans un premier temps, et même si on nous le répète, il n’y a pas, dans la vie, de trottoirs avec des trous ou de chemins pleins de pierres. Nous savons que ce type de métaphore est très utilisé mais le problème réside dans le fait que, dans la vie réelle, les dangers ne peuvent jamais être identifiés avec autant de précision. Les personnes ne portent pas de panneau pour avertir à propos de leur manière d’être, de leur façon d’aimer ou de leurs intentions. Dans un second temps, il est utile de rappeler que nous sommes des êtres emplis de multiples besoins : d’attachement, d’affiliation, de communauté, de loisirs, de sexe, d’amitié, de travail… C’est là, finalement, que se trouve le changement : nous sommes dynamiques et changeant-e-s par nature.

Ces variables nous poussent à effectuer d’authentiques “sauts dans le vide” pour essayer, pour faire des expériences et même pour survivre. Ainsi, il nous arrive même d’offrir des secondes et troisièmes chances aux personnes les moins adéquates parce que notre cerveau est pro-social et donnera toujours plus de valeur à la connexion qu’à la distance. Il préférera également rester en terrain connu plutôt que de s’aventurer vers l’inconnu.

Tout cela nous aide à comprendre pourquoi nous avons tant de mal à voir quand quelque chose a dépassé la limite, quand les coûts dépassent les bénéfices et quand notre propre esprit agit comme un authentique ennemi en nous susurrant encore et encore ce refrain incessant : “n’abandonne pas, ne te laisse pas vaincre”. Cependant, il est nécessaire d’intégrer quelque chose de basique et essentiel dans notre cerveau : quelqu’un qui met de côté quelque chose qui est nocif et ne rend pas heureux ne se rend pas mais SURVIT.

Apprenez à découvrir votre “point doux”

Trouver son “point doux” est un peu comme trouver son équilibre, son homéostasie psychologique et émotionnelleIl s’agirait de savoir à tout moment ce qui est le plus optimal et adéquat pour nous-mêmes. Il convient cependant de dire que cette capacité n’est pas liée à l’intuition mais à un auto-apprentissage objectif et méticuleusement acquis à travers l’expérience, l’observation et cette inférence de la vie elle-même, par laquelle on apprend de ses erreurs et de ses réussites.


“Rien n’est suffisant pour celui pour qui le suffisant est peu.”

-Épicure-


Le “point doux” est par ailleurs cet état où chaque chose que nous obtenons, que nous faisons et pour laquelle nous investissons du temps et de l’énergie nous est bénéfique et nous satisfait. Cependant, dès qu’apparaît l’ombre du stress, de l’offuscation, de la peur, des larmes ou de l’épuisement extrême, nous passons au “point amer” : une zone nocive dont nous devons sortir dès que possible.

Il faut aussi préciser que cette stratégie toute simple peut s’appliquer à tous les domaines de la vie. Trouver ce point d’équilibre est un acte de sagesse et un outil personnel qui nous rappelle que tout a une limite dans cette existence et que savoir à quel moment dire stop n’équivaut pas à se rendre mais plutôt à comprendre où se trouvent nos limites. Nous parlons de cet équateur qui sépare le bonheur de l’insatisfaction, l’amertume des opportunités.

Commençons à intégrer ce point d’équilibre dans notre quotidien pour gagner en qualité de vie.

Le mode de vie est un concept passe-partout , un mot-valise convoqué dans de très nombreux contextes, qui rend compte d’un fait social majeur : la manière dont les individus d’une société sont conduits à structurer leurs conditions de vie. En dépit du flou qui l’entoure, il s’agit d’une notion essentielle à la compréhension des évolutions sociales dans une période où les mutations sociologiques, cela inclut ses types de relations social, sa façon de consommer, sa façon de se divertir, de s’habiller. Un mode de vie reflète également l’attitude d’un individu, ses valeurs, sa façon de voir le monde dans lequel il vit.

Mode de vie : de quoi parle-t-on ? Peut-on l'adopté
Mode de vie : de quoi parle-t-on ? Peut-on l’adopté

Comment arrêter de se sur-adapter/s’adapter et enfin être soi-même tel qu’on est ?

Qui n’a jamais fait des pirouettes pour gagner l’affection, la considération, l’amitié ou l’amour de quelqu’un ? Trop souvent la culpabilité, le besoin d’être aimé, la dépendance affective, la peur de déplaire ou d’être rejeté,,, nous font faire et dire des choses qui ne sont pas en accord avec nous et nos besoins.

À vouloir et essaye de trop s’adapter aux autres, nous finissons toujours par nous désadapter de nous-même !

Osez votre vie et non celle que les autres attendant de vous ! Osez « être »qui vous être et non l’image que les autres attendent de vous !

L’atteinte de l’équilibre réside dans le respect des autres en passant en priorité par le respect de sa propre personne. Nous sommes la personne la plus importante de notre vie !

Au lieu de chercher la personne qui vous rends heureux(se), devez cette personne.

Assumer sa singularité, c’est construire sa vie comme une oeuvre d’art de Sylvain ALLEMAND

Rappelle-toi : l’unique personne qui t’accompagne toute ta tie, c’est toi-même !Sois vivant dans tout ce que tu fais, de Pablo Picasso.

Mode de vie : de quoi parle-t-on ? Peut-on l'adopté
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L’amour ne devrait pas être le plus gros compromis de votre vie…

Même si on vous a dit le contraire. Vous avez regardé des films, lu des romans, entendu des adages de parents et d’amis ui ont peut-être des relations très fructueuses, l’amour est un compromis constant. Vous ne pouvez pas tout avoir. Et peut-être ont-ils raison. Vous ne pouvez pas tout avoir. Mais vous devriez pouvoir avoir ce qui compte.

Vous devriez pouvoir être avec quelqu’un que vous aimez et vivre une vie qui vous séduit, vous stimule et vous inspire. Vous devriez pouvoir avoir, au minimum, une relation favorisant la croissance et l’exploration de la part des deux parties.

Que signifie pour vous « prendre le large » ?

Il y a de nombreuses façons de prendre le large. Ce n’est pas forcément voyager, mais aussi tracer sa propre voie, s’affranchir de ce que l’on attend de nous. Par exemple : le fait de vivre déconnectés, faire notre nourriture grâce à la permaculture, remettre en cause le principe du travail toute sa vie et à tout prix. Par nous, la société de consommation est à l’origine de beaucoup de maux de notre société. Cela influe sur le mode de vie des gens et sur la nature. Nous souhaitons sortir de ce schéma pour un équilibre plus sain.

La génération de nos parents s’est habituée à vivre la consommation à tout crin car ils ont grandi avec. Mais aujourd’hui, quand on analyse, on constate que ce rythme de consommation est insoutenable et néfaste, compte tenu des ressources dont nous disposons. Notre génération doit chercher de nouvelles solutions et sortir des sentiers battus. Prendre de large conduit à se dépasser soi-même et à croire que c’est possible.

La question à se poser est donc de savoir si vous êtes dans un système que vous avez choisi et surtout de savoir s’il vous convient. A ce moment-là vous pourrez considérer que vous avez vraiment fait votre choix de vie avec un équilibre entre votre vie professionnelle et personnelle qui vous satisfait.

Dans le cas inverse il vous faudra réfléchir sur vos réelles aspiration et comment les mettre en oeuvre.

Quel est le mode de vie en France ?

Les Français sont patients, polis et respectueux, en particulier vis-à-vis des expatriés, curieux, voyagent et sont éduqués selon les normes les plu élevées. Dans un pays où la philosophie est obligatoire, on n’hésite pas à se questionner, à se réinventer .

Comment commencer un mode de vie sain ?

Les conseils suivants vous aideront à avoir une saine alimentation.

  1. Mangez plus de fruits et légumes…..
  2. Choisissez des aliments roches en fibres….
  3. Consommez moins de sel….
  4. Choisissez les bons gras….
  5. Consommez moins de sucre ajouté…
Quelle est la coprésence entre mode de vie et style de vie ?

On retrouve leur coprésence dans le lexique anglo-saxon sous la forme de way of life et de lifestyle. La polysémie entre mode de vie et style de vie rajoute au flou de ce que recouvrent ces notions.

Il n’y a pas beaucoup de gens qui savent ce que c’est, d’avoir la rage dans les veines, enfin, ils comprennent, tout le monde comprend, au départ, puis ils demandent au p’tit enragé un truc dont il se sent incapable, tourner la page.

Une page se tourne mais un nouveau chapitre commence
Une page se tourne mais un nouveau chapitre commence @gettyimage

Y a pas à dire, dans la vie il faut toujours se fier aux apparences. Quand un homme a un bec de canard, des ailes de canard et des pattes de canard, c’est un canard. Et ce qui est vrai pour les canards est vrai aussi pour les petits merdeux. La question. Pourquoi faut-il toujours que l’on se pose la question ? Pourquoi faut-il toujours en attendre une réponse ? Ne pourrait-on pas parler sans se poser de question ? Là est la question…

Il faut prendre des risques, il faut toujours prendre des risques. Mais l’attente comporte aussi un risque. On a tous des règles pour nous mêmes, ce sont ces règles qui aident à définir qui nous sommes, donc lorsqu’on transgresse ces règles on risque de se perdre et de devenir quelque chose d’inconnu. Qui est Deb maintenant ? Qui suis-je ? Est-ce un nouveau départ ? Ou le début de la fin !?

La croissance et le changement peuvent être douloureux, mais rien n’est plus pénible que de rester coincé quelque part où tu ne veux plus être. Vous ne pouvez pas contrôler ce qui vous arrive, mais vous pouvez contrôler votre attitude envers ce qui vous arrive. Vous saurez maîtriser le changement plutôt que de lui permettre de vous maîtriser. Ce qui doit arriver arrive. Les choses et les gens sont comme ils sont. Je peux accepter ce que je ne peux changer et modifier ce que je peux, n’oubliant pas que les solutions parfaites n’existent pas


Repartir de zéro pour prendre la fuite, une fausse bonne idée ?


Reset. On efface tout et on recommence sur de meilleures bases. Il est tellement humain d’aspirer à des changements radicaux. À des révolutions. Faire table rase du passé, pour avancer, libérés de nos conditionnements et du poids de nos histoires. Mais on peut tout de même se demander : pourquoi tient-on autant à tourner la page ? Ne cherche-t-on pas, d’une certaine manière, à se débarrasser de tous nos problèmes ? La vie c’est un livre, la première page est le présent, la suivante est le futur. Et quand vous revenez sur une page, c’est déjà votre passé.

Mais tout changer pour fuir peut être une fausse bonne idée… Car si l’on ne prend pas le temps de comprendre ce qui ne nous convient pas, notre passé pourrait nous rattraper. Il est tentant de changer d’employeur quand les relations se passent mal, ou que l’on se sent surmené, par exemple. Mais si on ne fait pas le point sur les raisons pour lesquelles le statu quo ne nous convient plus, nos problèmes ne risquent-ils pas de venir frapper à notre porte pour se reproduire continuellement ? Déménager à l’autre bout de la planète ne vous aidera pas à sortir du surmenage si vous n’avez pas trouvé les causes qui font que vous vous êtes retrouvé dans cette situation. Êtes-vous mal à cause d’un manager, d’une culture d’entreprise toxique ? Ou bien avez-vous du mal à dire non ? À imposer votre rythme ? Etc. Même si on a une envie de renouveau, aucune décision n’est le fruit du hasard. Une étape en amène une autre et il faut être conscient des bonnes et des mauvaises raisons qui nous motivent pour ne pas refaire les mêmes erreurs…

Une vidéo de moins de 140 secondes, sur le thème “Je suis un souvenir” Réalisé par Armelle Loiseau pour le concours nikon 2014

Les questions à se poser avant de prendre un nouveau départ


Vous avez envie d’un peu de renouveau, mais vous êtes peut-être effrayé à l’idée de bouger… Vous doutez de la légitimité de cette aspiration ? Il est tout à fait normal de se demander si tout recommencer est une bonne idée… Les grandes métamorphoses de vie se préparent et nécessitent une réflexion de fond qui prend toujours un peu de temps. Que l’on soit tête-brûlée ou plus prudent face au changement, on gagnera sûrement à oser se questionner ! Voici quelques pistes de réflexion à explorer avant de se jeter dans l’inconnu…

Interroger cette envie de nouveauté

Pour vérifier que ce changement est bel et bien motivé par une envie profonde de nouveauté et non pas par une stratégie d’évitement ou de fuite, demandez vous : quels ont été les événements déclencheurs qui ont amené ce désir de changement ? L’arrivée d’un nouveau manager moins convainquant que le précédent peut précipiter une envie de changer de travail par exemple. Idem avec les projets personnels : souhaiter fonder une famille ou s’embarquer dans un projet de rénovation de maison peut aussi complètement réorganiser nos priorités. Et pour vous, que s’est-il passé pour que vous vouliez changer ?

Lister et identifier ce que l’on souhaite à tout prix laisser dans le passé

Quelles sont ces choses qui ne vous conviennent plus ? De quoi aimeriez-vous tourner la page ? Est-ce des relations ? Des habitudes que vous jugez mauvaises ? Certains diront peut-être « tout ce stress au travail », ou bien « vivre dans un appartement trop petit », « ne pas avoir de temps pour mes enfants », « me sentir en porte-à-faux avec mes valeurs ». Et si vous veniez à changer de vie pour prendre un nouveau départ, ces “points noirs” disparaîtraient-ils réellement ?

Faire le point sur les besoins qui s’expriment dans ce projet

Quand on veut du changement, c’est pour un mieux, évidemment. Vous savez ce dont vous ne voulez plus, mais quels sont les besoins qui s’expriment dans cette envie de nouveau départ ? Quelles sont vos aspirations ? Besoin d’air ? De temps ? Besoin d’un nouveau projet professionnel plus stimulant ? D’un environnement de travail plus branché tech ? D’un emploi du temps plus flexible ? Le nouveau départ peut être l’occasion de se libérer du négatif mais aussi de contribuer à trouver plus de positif ! Vous n’aurez plus qu’à vous assurer que ces nouvelles envies matchent avec votre projet.

Se fixer un objectif précis

Qu’est-ce que j’attends précisément de ce changement dans ma vie, à court, et à long terme ? Qu’est-ce qui va faire que je serai satisfait à la fin ? Formalisez en une phrase ou deux ce que vous souhaitez au fond peut vous éviter d’être à côté de la plaque… Tout en vérifiant si le projet est réaliste, et réalisable !

Identifier les éventuelles mauvaises raisons qui peuvent nous influencer

On l’a dit précédemment, ce n’est pas toujours pour des raisons si claires que l’on souhaite un nouveau départ. Il est intéressant d’interroger les influences internes et externes qui pourraient peser dans la balance. Nos proches, mais aussi nos émotions peuvent s’inviter dans le débat pour y semer la confusion. Cela vaut le coût de se demander qui dans votre entourage pourrait bénéficier ou bien pâtir de ce potentiel changement. On peut aussi prendre le temps d’interroger les appréhensions qui pourraient nous faire fuir quelque chose ou au contraire, nous pousser à l’immobilisme. Que nous disent ces peurs ?

Il suffit parfois d’un petit bouleversement

Vous avez fait le tour de la question et doutez qu’un grand changement puisse réellement vous aider ? Ou vous avez tout simplement peur de prendre un si gros risque ? Cela se comprend. La bonne nouvelle, c’est que les nouveaux départs ne sont pas l’unique solution pour évoluer et aller de l’avant. On a tendance à croire qu’il nous faut des révolutions alors que de simples petits pas, moins engageants, peuvent nous permettre de rétablir l’équilibre ou nous aider à nous remettre doucement en mouvement. Non, pour évoluer dans votre vie, vous reconvertir et déménager à l’autre bout du monde n’est pas l’unique solution. Vous pouvez aussi bien changer de poste, demander une mobilité interne, changer d’entreprise, tenter de trouver un poste en 100% télétravail, prendre un congé sabbatique, etc.

Il y a des centaines de paramètres possibles à ajuster dans votre vie au lieu de tout plaquer pour tout recommencer. Plus qu’un grand bouleversement, ces petits changements graduels peuvent nous aider à faire des choix raisonnables mais tout aussi impactant. C’est d’ailleurs ce que nous apprend “la méthode Kaizen” qui prône l’amélioration continue par petites avancées et tempère l’impact et les bienfaits des changements radicaux… C’est peut-être aussi le secret pour apprendre à nous ajuster au quotidien et ne pas atteindre ces points de ruptures ou seule une révolution nous semble envisageable…

Vous êtes maître de votre vie et qu’importe votre prison, vous en avez les clés. Changer n’est pas devenir quelqu’un d’autre, c’est devenir qui on est et l’accepter. Personne n’est trop vieux pour se fixer un nouvel objectif ou réaliser de nouveaux rêves. Rien n’est permanent. Le changement est inévitable. Alors, accueillez-le avec bienveillance et sérénité.

Le bonheur auquel chacun aspire : le désir, le plaisir, la morale
Le bonheur auquel chacun aspire : le désir, le plaisir, la morale

Quelles que soient les conclusions définitives auxquelles ces sciences ont abouti et parviendront, elles tiennent toutes pour acquis cette intuition présente en chacun que le bonheur consiste en un certain état d’esprit – toute la difficulté étant de préciser cet état –, en un sentiment subjectif de bien-être. Telle semble même être son expression paradigmatique et sa substance.

Lorsque l’on s’interroge sur le sens de la vie et sur ce qui rend valable l’existence entière, trois idées viennent spontanément à l’esprit : la moralité, la justice et le bonheur. Pourtant, des trois idées, il semble que c’est le bonheur qui est central, parce qu’il est la condition nécessaire et suffisante d’une vie réussie.

En ce sens, on dit que le bonheur est un bien suprême, un Souverain Bien, car il est ce que vise tout homme, il est le désirable absolu : en effet, il ne viendrait à l’idée de personne de se demander « à quoi bon être heureux ? » Et en même temps, il est ce que l’on vise pour lui même, il vaut par soi seul. Ainsi, je ne veux pas être heureux pour autre chose que pour le bonheur lui-même. Bref, c’est un bien indépassable, un bien ultime.

Néanmoins, si l’on demande ce qu’est le bonheur et comment l’atteindre, les difficultés se précisent. En effet, bien que nous ayons tous une idée vague du bonheur, lorsque l’on nous demande d’en définir le contenu, les mots semblent manquer, ou bien alors, personne ne s’accorde sur le contenu. Les hommes, qui s’accordent si bien sur le mot, ne s’entendent pas sur la chose : en effet, tous appellent « bonheur » ce qu’ils désirent absolument, mais tous ne désirent pas les mêmes choses….

Le langage commun décide alors, par convention, de fixer une définition, en même temps qu’une voie d’accès au bonheur : on s’imagine alors le bonheur comme une sorte de plaisir ou, plus précisément, comme un état de complète satisfaction, différent du plaisir seulement par la durée et par l’intensité. Tout notre être y trouverait un contentement sans reste. Inséparable de cette définition se dessine un art de vivre, sensé nous conduire au bonheur : pour être heureux, il faudrait maximiser le plaisir, l’intensifier, le prolonger et, bien sûr, éviter les douleurs.

Le bonheur…. Un  droit dont on aurait le devoir de ne pas se priver !

Etrange et merveilleux bonheur qui nous berce dans une apparente insouciance et témoigne d’une qualité de vie qui ne permet pas cette insouciance… Expression incontestable d’un sentiment qui nous comble mais nous rend léger, la mesure de son intensité est de l’ordre de l’indicible. Équilibre délicat, qu’un rien suffit à ébranler, il se traduit en périodes à intensité variable dont la tonalité légère colore la vie, égaye le regard, rehausse le teint.

Produit par ce que l’on crée, ce dont on profite ou par la chance d’échapper à une catastrophe, sa promesse nous fait miroiter de belles perspectives, et cette projection dans l’avenir, qui concerne l’être en sa totalité, renouvelle le désir. État de satisfaction intérieure, au-delà de la sensation, il témoigne de la faculté d’en éprouver d’apaisantes. Phénomène épisodique ou art de vivre, il donne conscience de la valeur de l’existence et se caractérise par le bien être qu’il communique à notre corps, à notre âme.

Parfait, suprême, inexplicable, absolu, on aime à le définir par les extrêmes, mais délicat à mettre en mots, sous le poids desquels on craint qu’il ne s’estompe ou s’affadisse, il supporte mal d’être raconté. Parfois impalpables bien qu’évidents, aussi insaisissables que présents, certains bonheurs ne se traduisent que par transmission de pensée, d’inconscient à inconscient, de sensibilité à sensibilité, même si c’est à travers des choses concrètes qu’ils se pressentent.

Sexuel ou conjugal, familial ou professionnel, on le souhaite à qui l’on aime, et heur étant le doublet populaire du latin augurium, augure, présage, prophétie, cela revient à espérer que la chance lui sourit. Santé, richesse, épanouissement, beauté, intelligence, sérénité, les rêves nourrissent l’espérance de l’aspirant au bonheur, mais chacun n’étant pas doué des mêmes faveurs par la nature, qu’en est-il de l’accomplissement de cet état de grâce?

La contemplation d’une nuit étoilée pourrait le symboliser. La félicité d’une femme enceinte. Ou l’émerveillement d’une jeune maman qu’habite le désir de préserver sa béatitude. Une joyeuse maisonnée l’évoque aussi. Il se diffuse, se respire, et certains pollueurs s’emploient à gâcher le vôtre, sans pour autant concourir au leur. Parfois éblouissant, il court, instant fugace, avec la légèreté du papillon. D’autres fois plus stable, il se vit sans se dire, s’exprime sans s’afficher, se manifeste sans s’imposer… Un lys qui fleurit dans une terre aride, une vie que l’on sauve dans la clandestinité, il en est dont le ferment invisible se cultive dans la discrétion pour résister à l’adversité et d’autres qui nous parcourent tels des frissons. La caresse matinale d’un bonheur furtif en inaugure de plus intenses qui signeront la pacification de l’âme par-delà les inquiétudes dont elle restera le siège.

C’est quoi le bonheur finalement ?

« Vivre ne suffit pas, encore faut-il vivre heureux, nous dit Alice Germain dans sa belle préface du livre : La plus belle histoire du bonheur (1). L’existence n’a de sens et de saveur qui si elle devient le lieu et le temps du bonheur. Nous attendons de la vie le bonheur, jusqu’à parfois passer notre vie à l’attendre. »

Mais de quoi s’agit-il en fait ? Qu’est-ce qui fait le bonheur ? Chacun a sa propre réponse, que ce soit une idée précise ou un vague désir, mais il convient de se rappeler que les références dans lesquelles nous baignons ont beaucoup évolué au cours des âges.

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Pour trouver le bonheur, les philosophes ont très tôt été considérés comme des maîtres incontestés. Le but de la philosophie est de contribuer à la connaissance de l’homme et d’aider l’homme à se comprendre lui-même. « Connais-toi toi-même » nous dit Socrate, parce que connaître l’homme revient à lui proposer un bonheur à sa mesure, qui lui convienne et qu’il puisse atteindre par lui-même. Epicure, dont on a caricaturé la doctrine pour en faire un cri de ralliement de tous les jouisseurs de la Terre, préconisait une sorte de diététique des plaisirs, alors qu’à l’opposé les stoïciens prônent un bonheur dans la morale.

Un autre courant de pensée nous affirme qu’être heureux consiste à nourrir les plus fortes passions et à assouvir tous ses désirs même les plus fous, mais d’aucuns diront que cette voie ne peut que nous entraîner dans un cercle vicieux, parce que désirer, c’est désirer toujours plus puisque le propre d’un désir assouvi, c’est qu’il n’exerce plus son pouvoir moteur. Nombreux sont ceux, parmi nous, « victimes » de la société de consommation qui peuvent se retrouver dans cette quête sans fin.

Alors qu’est-ce qu’être heureux ? Comment définir le bonheur quand on ne parvient pas à dire précisément ce que l’on désire ? Nous pouvons énumérer les petits bonheurs (regarder un beau paysage, voir ses amis, jouir de « la première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules» (2)… Cela nous suffit-il ? Ce n’est qu’en faisant l’expérience du bonheur que nous pouvons dire ce qu’il est et toutes nos expériences heureuses sont aussi imprévisibles que particulières.

La religion a, elle aussi, apporté sa pierre à l’édifice, en plaçant le bonheur au centre de ses préoccupations. Le christianisme a représenté le bonheur sous la forme d’un Jardin des Délices, d’un paradis dont la représentation même a évolué au cours des siècles et avec elle l’idée de confier la réalisation de son bonheur à sa seule foi. C’est ainsi que les hommes du XVIIIè siècle ont aspiré à une organisation politique du bonheur, d’un bonheur sur Terre, où chacun aurait les mêmes droits à être heureux, à penser et à s’exprimer librement. Le bonheur devint dès lors un art de vivre, fait de la joie de parler, d’échanger, de découvrir, de polémiquer et ainsi naquit la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Le bonheur a donc une histoire : il n’a pas toujours été considéré comme le but de l’existence, ni comme un idéal de vie.

Qu’en est-il aujourd’hui ? De nos jours, le bonheur n’est plus ni une promesse, ni une idée politique, il est devenu un droit et même un devoir. Nous sommes entrés dans l’ère de la nécessité du bonheur, dans un besoin d’ « euphorie perpétuelle » (3). Mais tout le paradoxe de nos temps modernes est d’inventer un bonheur « intérieur », fait de bien-être et d’équilibre, et de proposer par ailleurs toujours plus de bonheurs à consommer, de produits supposés rendre heureux. L’être et l’avoir, intimement mêlés. Sérieux défi !

Mais nous ? Comment pouvons nous espérer être heureux ? Faut-il courir après la réussite ? Ou profiter de la vie avant qu’elle ne nous échappe ? Comment se réaliser ? Existe-t-il des moyens infaillibles pour être heureux ? Le bonheur dépendrait-il d’avantage de la chance que de la discipline personnelle ? Dans son étymologie, le terme signifie avant tout la « bonne heure », le bon moment. Le bonheur consisterait-il tout simplement à prendre du « bon temps » ? A saisir ce que la chance nous donne, ce que la « marée nous apporte » ?

C’est certes une piste tentante, d’autant plus que nous sommes conscients que le bonheur n’est pas certain, qu’il ne dure jamais bien longtemps. Nous faisons bien souvent l’expérience de son contraire : la mort, la fin d’une relation, la perte d’un ami, l’échec d’un projet. Nous comprenons donc qu’attendre le bonheur de l’extérieur, c’est vivre dans la crainte de le voir nous échapper, se détruire par accident ou revers de fortune.

Mais finalement comment pourrait-on être heureux, quand on sait qu’on va mourir et qu’on perdra tout ce et ceux qui nous sont chers ? Parce que c’est ce qui est tragique dans notre condition d’être « pensant », nous savons que nous allons mourir, nous savons que toute chose a donc une fin. Mais en fait, la mort n’empêche d’être heureux que ceux qui espèrent le bonheur pour l’au-delà. Pour ceux qui au contraire vivent le bonheur comme ouverture à une joie possible ou réelle, mais actuelle, la mort ne devrait plus faire problème. Il s’agirait alors d’aimer la vie telle qu’elle est, c’est-à-dire éphémère. Si nous pensons à la mort lucidement, la vie, dans sa brièveté même, n’en devient que plus précieuse, chaque moment a un prix irremplaçable et cela devrait nous pousser à être heureux sans attendre ! Sans attendre d’avoir ce que nous convoitons ou espérons, sans attendre de régler certains problèmes, sans attendre tout court parce qu’un vrai bonheur, même imparfait comme tous les bonheurs le sont, vaut mieux qu’un bonheur idéal, rêvé, qui n’est qu’un mythe jamais atteint

Cessons de rêver la sagesse, cessons de rêver le bonheur ! Le bonheur n’est pas le but du chemin, il est le chemin même ! Chemin cahotant, approximatif, parfois difficile, mais entrecoupé de belles plages de douceur. « Le bonheur n’est pas un repos, nous affirme le philosophe André Comte-Sponville (1), c’est un effort qui réussit, un échec qui se surmonte », une expérience qui enrichit. « C’est dire qu’il n’y a pas de bonheur sans courage, poursuit-il, et c’est ce qui donne raison aux stoïciens. Mais il n’y en a encore moins sans plaisir, c’est ce qui donne raison à Epicure, ni sans amour, c’est ce qui donne raison à Socrate (…) ». Et le philosophe de conclure son livre par cette phrase « Le bonheur, n’est ni dans l’être, ni dans l’avoir, il est dans l’action, dans le plaisir et dans l’amour. »

Alors, le bonheur est-il dans le pré ? C’est-à-dire à portée de main ? Ou comme le dit la chanson : « Le bonheur est toujours pour demain » ?

Mais c’est quoi le bonheur finalement ? Une félicité, qui résulterait de la satisfaction de tous nos désirs ? Idéal de l’imagination, mais non de la raison. Ou alors une conception plus relative : on est plus ou moins heureux, dès lors qu’on n’est pas malheureux, chaque fois que la joie nous paraît proche, facile, fréquente ? C’est le bonheur au sens ordinaire du terme.

Et si le bonheur était un état d’esprit ? Le bonheur du sage, qui est le bonheur actuel, vécu en vérité, ici et maintenant. Certes, nous ne sommes pas des sages, mais nous avons des moments de sagesse. Cela équivaut-il à se défaire de tous ses désirs ? Surtout pas ! Mais il est possible de penser et de vivre le désir autrement. Il ne s’agit pas de supprimer ses désirs mais de les transformer, de passer du désir de ce qui manque au désir de ce qui est. Désirer ce qui n’est pas, c’est espérer, désirer ce qui est, c’est aimer.

Il s’agit donc peut-être d’espérer un peu moins et d’aimer un peu plus.

Avoir le courage de changer ce qui peut l’être, accepter avec sérénité ce qui ne le peut pas et posséder le discernement nécessaire pour faire la différence entre les deux. 

Ne jamais abandonner ses rêves : 12 conseils pour réaliser ses rêves
Ne jamais abandonner ses rêves : 12 conseils pour réaliser ses rêves

Ne jamais abandonner est une phrase que l’on voit partout et pourtant, il n’est pas rare que nous laissions tomber nos projets et nos rêves. Car, nous avons peur. Peur de tant de choses. De l’échec, mais aussi du qu’en dira-t-on et plus étrange encore, nous avons même peur de réussir. Je te propose ici 12 conseils pour réaliser tes rêves.

1 – Ne jamais abandonner ses rêves : Être honnête avec soi-même

Qu’est-ce qui vibre au fond de toi ? 

Trop souvent, nous évitons habilement cette question. Nous nous répétons que nous sommes des personnes banales avec des rêves on ne peut plus classiques : avoir un bon travail, fonder une famille, acheter une maison, adopter un chien et/ou un chat, faire des enfants et faire des repas en famille le dimanche…

Vraiment ? Au fond de toi, qu’est-ce qui vibre ? 

Car, oui, fonder une famille, avoir un bon travail, ce sont des rêves merveilleux, mais moi, je te parle de la magie que tu as au fond de toi et qui ne cherche qu’à se révéler.

Qu’est-ce qui te fait vibrer ? Si tu fermes les yeux et que tu te laisses aller à rêver à un monde idéal, qu’est-ce que tu y ferais ? Comment te sentirais-tu ? Quelle vie mènerais-tu ? 

Quels sont ses rêves qui n’appartiennent qu’à toi qui sont cachés au fond de toi ? Va à leur rencontrer le cœur battant de joie.

Ne jamais abandonner ses rêves, c’est tout d’abord être honnête avec nous-mêmes. Oui, c’est accepter de voir nos rêves en face. C’est se dire : « Oui, moi, [prénom, nom], je rêve de cela. Et, c’est merveilleux. ».

2 – Accepter de briller pour ne jamais abandonner ses rêves

Nous avons appris depuis tout petit à ne pas faire de vagues, à nous fondre dans la masse, à rentrer dans le moule. Ne pas être le plus intelligent ni le plus bête. Ainsi, on est tranquille, on n’attire pas les regards.

Nous ne sommes pas là pour attirer les regards, mais nous sommes là pour briller, chacun à notre façon. 

Nous ne sommes pas nés pour vivre comme tout le monde, vivre les mêmes rêves des autres. Non. Nous sommes là pour donner vie à notre propre magie, à notre propre lumière.

Nous sommes tous différents, nous avons des talents, des goûts et des rêves tous différents. Donnons-leur vie. 

Oui, nous sommes là pour briller de mille feux ! Briller de joie et de bonheur.

Ne jamais abandonner, c’est comprendre que nous existons pour réaliser nos rêves. 

3 – Accepter de ne pas être compris et soutenu 

Nous sommes tous différents. Oui, nous avons tous une personnalité, des rêves et des goûts, une histoire aussi tout à fait différents. C’est pourquoi les autres, même les personnes les plus proches de nous ne peuvent pas partager notre enthousiasme pour nos rêves. Car, nous n’aimons pas les mêmes choses de la même façon. 

Pourtant, nous avons grandi en recherchant l’approbation des autres. Une fois adulte, il est temps que nous arrêtions cela, car ça nous gâche la vie.

Ne jamais abandonner, c’est accepter que nous ne serons pas toujours compris et soutenus et que c’est tout à fait normal.

Tu n’as pas à être compris pour être heureux. Réalise tes rêves et tu seras heureux. 

4 – Accepter de ne pas savoir pour ne jamais abandonner ses rêves

Réaliser ses rêves nous confronte en plus de la peur du rejet des autres, à la peur de ne pas savoir.

Oui, dans notre société moderne qui met en lumière la performance, ne pas savoir, être débutant, devoir apprendre est plutôt mal vécu.

Pourtant, ce sera aussi un passage obligé. Oui, réaliser tes rêves va te demander d’apprendre des choses, d’accepter de ne pas savoir et d’avoir à demander de l’aide.

Ne jamais abandonner, c’est accepter de ne pas savoir et c’est prendre conscience qu’il n’y a aucune honte à apprendre et à demander de l’aide, bien au contraire ! 

5 – Réaliser ses rêves : accepter les échecs

Ah, les échecs… un grand obstacle. En effet, nous sommes tellement nombreux à avoir peur d’échouer que nous ne tentons rien du tout.

Malheureusement, notre zone de confort est bien trop étroite pour nous et nos rêves. On étouffe là dedans et on perd notre joie de vivre petit à petit.

Nous avons appris à avoir honte de nos échecs. En effet, à l’école, dès qu’on faisait et qu’on pensait faux, on était « récompensé » d’un zéro. Le choc ! 

Mais, maintenant, nous sommes adultes et nous avons le droit de changer notre regard sur l’échec. 

L’échec n’est pas un obstacle, mais plutôt une occasion de revoir notre plan d’action et d’apprendre quelque chose. L’échec est un passage obligé, c’est une étape et non une ligne d’arrivée.

Ne jamais abandonner, c’est changer son regard sur l’échec pour l’accepter en toute sérénité.

6 – Célébrer les victoires, aussi petites soient-elles

Autant nous avons appris à avoir honte de nos échecs, autant nous avons appris à avoir la victoire modeste. 

Oui, nous vivons un sacré paradoxe : quand nous perdons, c’est de notre faute, mais quand nous gagnons, c’est que nous avons de la chance.

Comment avoir confiance en nous en pensant de cette façon ?

Alors, arrêtons de penser ainsi. Les victoires comme les échecs t’appartiennent. Cependant, ils ne te définissent pas. En effet, un échec ne vient pas te dire que tu n’es pas suffisamment fort ou intelligent et une victoire ne vient pas te dire que tu es le meilleur des meilleurs et que tu le resteras toute ta vie. 

Les échecs comme les victoires te construisent. Ils te rendent plus fort, plus humble et plus reconnaissant. Ce sont des étapes. L’échec est à accepter et la victoire est à célébrer.

Oui, célèbre tes victoires. Toutes.

Laisse le feu de la joie et de la fierté t’envahir et faire battre ton coeur plus fort.

Ne jamais abandonner, c’est savoir savourer ses victoires pour faire le plein d’enthousiasme et de motivation.

7 – Vivre au présent pour ne jamais abandonner ses rêves

Le risque quand on réalise nos rêves, c’est de rejeter notre passé et notre présent pour idéaliser notre futur.

En fait, nous mettons sous conditions notre bonheur. On se dit : « Je serais heureux quand j’aurais atteint mon objectif. »

C’est une grave erreur bien trop répandue. 

Accepte ton passé, accepte ton présent, car ce sont sur ces piliers que ta vie repose. Ne pense pas trop au futur et ne l’idéalise pas trop.

Concentre-toi plutôt sur ton présent. Sois fier de toi, de tes efforts. Sois confiant dans l’avenir et sois bienveillant envers ton passé. Ni plus ni moins.

Tu es déjà quelqu’un de bien. Tu es déjà en train de réaliser tes rêves et c’est merveilleux.

La ligne d’arrivée n’existe pas. Seul ce que tu fais aujourd’hui importe. Alors, savoure chaque pas que tu fais aujourd’hui. 

Ne jamais abandonner, c’est voir tous les efforts que nous faisons jour après jour et c’est être fier de nous à chaque instant.

8 – S’aimer, de tout son cœur

Tout comme nous avons tendance à mettre notre bonheur sous conditions, nous mettons aussi notre amour pour nous-mêmes sous conditions. 

En effet, quand nous avons un objectif, consciemment ou inconsciemment, nous nous disons : « Je m’aimerais quand j’aurais atteint mon objectif ». 

Là, aussi, il est important pour nous de nous concentrer sur la personne que nous sommes aujourd’hui et nous aimer de notre coeur.

Arrêtons d’idéaliser notre moi futur et préférons notre moi d’aujourd’hui qui fait de son mieux jour après jour. Tu es ton héros de maintenant et non ton héros de demain.

Ne jamais abandonner, c’est voir combien nous faisons de notre mieux et c’est nous aimer de tout notre coeur pour cela. 

9 – Aimer, de tout son coeur

Nous oublions souvent de faire quelque chose et cela gâche notre vie. Oui, nous oublions de mettre de l’amour dans tout ce que nous faisons.

Trop souvent, nous rechignons à la tâche, nous disons que c’est difficile ou que c’est trop routinier, et nous sommes de mauvaise humeur.

La vie est un miracle et elle est remplie de magie. Mais, pour nous en apercevoir, il faut d’abord remplir nos yeux d’amour. 

Fais tout ce que tu fais chaque jour avec amour. Oui, apporte de l’amour partout où tu vas, car c’est le seul moyen pour qu’il s’invite dans ta vie.

Ne jamais abandonner, c’est tout faire avec amour. C’est aller au-delà de la fatigue, de l’ennui et de la frustration et les transformer en amour. 

10 – Se rappeler pourquoi nous sommes nés

Trop souvent, nous doutons de nous. Nous pensons que nous ne méritons pas de réaliser nos rêves et d’être pleinement heureux. 

Oui, nous avons peur que ce bonheur vienne illuminer notre vie, comme si on n’en valait pas la peine.

Chaque jour, rappelle-toi combien c’est un miracle de te lever et d’être en vie. Rappelle-toi combien la vie est magique et donne-toi le droit d’être heureux, pleinement heureux.

Lève-toi pour réaliser tes rêves. Tu le mérites !

Ne jamais abandonner, c’est se rappeler que tu as le droit d’être heureux et de faire ce qui te rend heureux. 

11 – Se faire une promesse

Aujourd’hui et pour tous les jours qui suivront, fais-toi une promesse. 

Promets-toi de faire ce qui te rend heureux. Note ces mots partout autour de toi. Laisse-les s’imprimer dans ton cœur et te donner l’élan de réaliser tes rêves. 

12 – Rester humble et remercier pour ne jamais abandonner ses rêves

Trop souvent, nous avons peur de réaliser nos rêves et d’être pleinement heureux, car nous avons peur de changer. Peur que le bonheur nous change et que notre entourage nous aime moins, voire pire qu’il nous rejette. 

Le bonheur, la réussite ne nous rend pas moins aimables, bien au contraire.

Car, réaliser ses rêves, c’est rester humble et c’est devenir de plus en plus reconnaissant de la chance que nous avons.

C’est se dire chaque matin que nous sommes à la bonne place et que nous l’avons toujours été.

Oui, car quand nous sommes heureux, nous arrêtons de rejeter la faute sur les autres et sur la vie.

Nous devenons un exemple, une lumière qui fait du bien aux autres. 

Ne jamais abandonner, c’est avoir la certitude que ce bonheur que nous ressentons est la meilleure chose que nous puissions nous offrir à nous-mêmes et offrir aux autres, à ceux que nous aimons. 

En savoir plus pour se motiver

Je t’invite à lire ces trois articles complémentaires :

  • Découvre Pourquoi ne jamais se retourner en arrière et aller de l’avant  en cliquant ici.
  • Découvre Le meilleur moyen d’atteindre ses objectifs et ses rêves : l’espoir est le commencement de toute chose. en cliquant ici.
  • Tu peux également découvrir dans cet article : Rêver de bâtir l’avenir

Quand on ne peut pas revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure manière d’aller de l’avant. Tout est écrit dans les sons. Le passé, le présent et le futur de l’homme. Un homme qui ne sait pas entendre ne peut écouter les conseils que la vie nous prodigue à chaque instant. Seul celui qui écoute le bruit du présent peut prendre la décision juste.

Très souvent, au cours de notre existence, nous voyons nos rêves déçus et nos désirs frustrés, mais il faut continuer à rêver, sinon notre âme meurt. Il est tellement important de laisser certaines choses disparaître. De s’en défaire, de s’en libérer. Il faut comprendre que personne ne joue avec des cartes truquées. Parfois on gagne, parfois on perd. N’attendez pas que l’on vous rende quelque chose, n’attendez pas que l’on comprenne votre amour. Vous devez clore des cycles, non par fierté, par orgueil ou par incapacité, mais simplement parce que ce qui précède n’a plus sa place dans votre vie. Faites le ménage, secouez la poussière, fermez la porte, changez de disque. Cessez d’être ce que vous étiez et devenez ce que vous êtes.

Il est parfois possible de vivre dans le passé au point d’en oublier son présent et de négliger son avenir… Comment faire pour sortir de cette spirale et enfin oublier le passé ? Ou mieux, l’accueillir et avancer avec lui ?

Vous avez, très certainement, vécu un ou plusieurs épisodes tristes et douloureux par le passé. Vous êtes parvenu(e) à en surmonter certains, mais pour d’autres c’est plus difficile.

Si parfois apprendre à gérer ses émotions peut suffire à cultiver un lien serein au passé, parfois un travail approfondi s’impose pour être en paix. avec son passé.

Dans cet article, vous découvrirez :

  • En quoi il est parfois important d’oublier le passé (et les nuances à apporter!);
  • Les 8 meilleurs conseils pour y parvenir ;
  • 4 clés pour aller plus loin !

Mon objectif : vous aider à aller de l’avant, en paix avec votre passé.

Oublier le passé : nuances et bonnes raisons

Avant de vous partager en quoi il peut être utile « d’oublier » le passé, j’aimerais apporter une nuance essentielle à cette expression « oublier le passé ».

Dire NON à quelque chose est le meilleur moyen de la renforcer. Pour moi, la voie de l’accueil – du OUI – est toujours préférable au NON. Dire OUI c’est accepter la présence – cela fait partie de Moi, de mon vécu, de mon histoire.

Puis se demander : que puis-je faire de cela ? Qui suis-je grâce à cela ?

 OUBLIER LE PASSÉ, QU’IL SOIT DOULOUREUX OU GLORIEUX

Lorsqu’il est question d’oublier le passé et d’aller de l’avant, nous visons en priorité les « mauvaises » expériences. Il faut oublier un amour, il faut oublier un échec, il faut oublier une épreuve, ou un épisode douloureux…

Pourtant, vivre dans le passé peut également être handicapant, même s’il s’agit d’un passé « glorieux », où nous avons vécu des expériences agréables.

De ce fait, il est possible de distinguer deux types de passé qui nous freinent, à savoir :

  • Le passé tragique : Il représente, comme son nom l’indique, tout le vécu désagréable qui nous empêche d’une façon ou d’une autre d’avancer, d’aller mieux, de réussir à vivre le moment présent.
  • Le passé nostalgique : 

Il représente notre attachement possessif, voire maladif, à une époque glorieuse de notre vie« la belle époque ». Au point de refuser la réalité qui est différente et semble moins avantageuse.

Bien sûr, se remémorer des expériences ressources du passé n’est pas une mauvaise chose en soi, et peut même être utile pour arroser des graines d’états d’être que nous souhaitons cultiver.

A condition que cette nostalgie ne nous aveugle pas et ne nous empêche pas d’accepter notre âge, notre physique, notre situation financière et/ou sociale… Et de finalement passer à côté de la Vie et de notre être en restant à la merci des projections de notre mental (pensées et émotions associées).

 OUBLIER LE PASSÉ : NE PAS AVOIR DE REGRETS

Pour aller de l’avant et oublier le passé, il ne faut pas avoir de remords ni de regrets. C’est un fait : c’est plus facile à dire qu’à faire !

Et surtout, plus nous focalisons sur l’idée « ne pas avoir de regrets », plus nous donnons de l’importance à cette idée.

Bien sûr, nous savons, logiquement, rationnellement, intellectuellement que cela ne sert à rien de regretter.

Mais qu’en est-il au fond ?

Et si, plutôt que ressasser les pensées de culpabilité et les regrets associés, vous adoptiez un état d’esprit proactif et vous tourniez vers les leçons ?

Que puis-je en apprendre ?

Que ferai-je mieux la prochaine fois ?

 OUBLIER LE PASSÉ POUR RETROUVER SA LIBERTÉ PERDUE

Le passé, refuge ou prison ?

Se rattacher au passé permet parfois de ne pas « affronter » un présent qui semble difficile, pesant, peu agréable.

Vivre dans le confort de la mémoire peut donner l’illusion d’une pseudo liberté… mais elle nous empêche de nous connecter à notre essence, notre espace intérieur, notre grandeur d’âme.

Vivre dans le passé, c’est vivre déconnecté de l’instant présent, c’est subir au lieu de choisir et de créer consciemment sa vie à chaque instant.

Alors, voici sans plus tarder les 8 conseils pour oublier le passé, l’écouter, l’accueillir et continuer à créer sa vie de manière consciente.

Oublier le passé : nos 8 meilleurs conseils

Vous souhaitez oublier le passé ? Pour aller de l’avant, voici nos 8 conseils magiques !  

 CONSEIL N°1 – PARDONNEZ POUR ALLER DE L’AVANT

Pardonnez à:

  • Vous-même ;
  • Aux autres, à ceux qui vous ont fait du mal ;
  • A ceux qui n’ont pas pu vous protéger ;
  • Et même à ceux qui pouvaient vous aider, mais qui n’ont rien fait.

Le pardon est le mot d’ordre ! Pourquoi ?

Exclure quelqu’un de l’amour, c’est s’en exclure soi-même.

Cette colère gardée contre quelqu’un (vous ou quelqu’un d’autre) est comme un poison qui vous ronge et vous empêche d’avancer vers qui vous êtes.

En refusant votre pardon, vous vous lié à cette épreuve et à cette personne. Vous vous refusez la liberté, la paix, l’éveil.

En accordant votre pardon, vous ne niez pas ce qui s’est passé, mais vous refusez de rester liée à l’évènement. Vous décidez de vous dire OUI, de créer votre vie consciemment, en vous tournant vers ce que vous choisissez de créer.

 CONSEIL N°2 – OUVREZ VOTRE CŒUR POUR OUBLIER LE PASSÉ

On vous a surement déjà dit de ne pas parler du passé, mais encore une fois, dire NON est le meilleur moyen de renforcer vos ressentis et de multiplier les pensées que vous vous interdisez d’avoir.

Alors pourquoi ne pas dire un grand OUI à ce qui vous préoccupe ?

Pour cela, observer, écouter ce qui se passe en vous en lien avec cet évènement à oublier, est une première étape importante.

  • Observer, c’est décrire ce qui s’est produit de la manière la plus neutre possible.
  • Décrire les pensées que cela vous évoque ;
  • Décrire les émotions associées à ses pensées et leurs manifestations physiques ;
  • Comprendre les besoins qui se cachent derrière ces ressentis.

Si vous pouvez partager vos observations à la personne concernée ou à un proche familier de l’écoute active et bienveillante, c’est une belle façon de dire OUI à cet épisode 

 CONSEIL N°3 POUR OUBLIER LE PASSÉ : VIVEZ VOTRE TRISTESSE, FAITES LE DEUIL POUR ALLER MIEUX

Refouler son ressenti, lorsqu’il est dit « négatif » est un réflexe que nous avons, pour autant cela ne permet pas de l’effacer : au contraire. Refuser de ressentir les émotions qui se présentent – leur dire NON – risque de les amplifier. Pourquoi ne pas accepter les émotions « négatives » : tristesse, peur, colère pour ensuite aller mieux ? Dire OUI à ce qui se présente, l’accueillir pleinement, sans condition, comme partie de soi, avant de choisir de rebondir et d’aller de l’avant.

Observer ce qui se passe en soi (conseil n°2) est déjà une façon de dire OUI.

Ici, il s’agit d’aller plus loin en accueillant pleinement l’émotion, en la laissant prendre la place dont elle a besoin : Vous avez perdu quelqu’un ou quelque chose qui vous tient à cœur ? Pleurez son absence, prenez le temps nécessaire pour vivre ce qui se présente dans l’authenticité. Faire semblant d’être forte en refoulant ses sentiments ne les chasse que temporairement : ils reviendront sous une autre forme.

Nuance : Apprendre à vous écouter en profondeur, (pilier n°1 du CAP, notre méthode), vous permettra notamment de distinguer le moment où il est juste pour vous d’observer et d’accueillir votre émotion difficile, et le moment où il est juste pour vous de « tourner la page » et de choisir l’amour. C’est une des choses que nous abordons dans Expérience : plus on sait écouter son cœur, plus cette distinction est fluide, évidente.

 CONSEIL N°4 – ACCEPTEZ LE CHANGEMENT

Quelle que soit sa nature, acceptez le changement. C’est la meilleure façon de ne pas rester coincé(e) dans le passé.

Tout est changement, l’impermanence est la seule constante. Le changement est notre nature, et partout autour de nous : se connecter aux cycles de la lune, des saisons, aux rythmes naturels, réaliser que tout est énergie et que l’énergie ne fait qu’évoluer et changer de forme…

Cela m’a aidée personnellement à accepter cette impermanence. Oui, il peut-être difficile de voir apparaître des rides sur son visage, de tomber dans l’anonymat, de dormir seule le soir.

Mais c’est ainsi : la vie est un perpétuel processus de changement, d’évolution. La question à se poser, c’est : où est-ce que je veux aller ? Qui est-ce que je veux être ? En quoi cette nouvelle donne peut-elle m’aider à aller vers ma Vision ? Pourquoi ne pas essayer de trouver des points positifs (et les lister), à votre nouvelle situation ?

 CONSEIL N°5 POUR OUBLIER LE PASSÉ – RÉPAREZ LES TORTS CAUSÉS

Vous n’arrivez pas à vous défaire de votre passé, car vous vous sentez coupable d’avoir causé du tort à quelqu’un ? Cela vous empêche d’avancer ?

Ce peut être une bonne nouvelle : vous avez à cœur de bien faire, vous êtes empathique… Célébrez cette partie de vous (lui dire OUI!), et ensuite, demandez-vous comment libérer votre présent de ces craintes liées au passé.

Comment faire pour vous débarrasser de ce sentiment de culpabilité ? Vous pourriez essayer de réparer les torts que vous aurez pu, directement ou indirectement, causer par vos faits ou vos paroles. Par exemple, s’excuser auprès de la personne concernée, puis faire ce que vous jugez juste et nécessaire pour recréer une relation sereine avec elle.

Remarque : les phases d’observation de ce qui se passe en vous (pilier 1 s’écouter), et d’accueil (pilier 3 accueillir la peur), sont toujours nécessaires. Vous devez leur dire OUI avant d’aller sainement à l’autre, sans attentes. Vous pardonner, vous.

Nous attendons top souvent des autres ce que nous pourrions nous accorder nous-m’aime.

Pardonnez-vous, accordez-vous une deuxième chance. C’est aussi ça oublier le passé !

 CONSEIL N°6 – NE PAS RESSASSER LES ÉVÈNEMENTS PASSÉS

Il y a une grande nuance entre écouter ce qui se passe en soi, voire l’exprimer pour l’accueillir, et être enfermée dans son passé.

Ressasser de vieilles histoires, reparler des situations difficiles, critiquer, accuser, reprocher ne vous aidera pas à avancer. Si vous ressentez le besoin d’en parler avec quelqu’un, ne le faites pas dans la précipitation et l’accès de colèrePrenez du recul, respirez et posez-vous calmement pour aborder le sujet épineux en suivant les bases de la communication non violente.

La différence entre observer, accueillir et avancer avec son passé, et le ressassement, c’est pour moi l’intention avec laquelle vous abordez la situation.

Encore une fois, apprendre à vous écouter pour trouve votre sagesse intérieure vous permettra de trouver cette nuance.

Est-ce que j’ai l’intention ferme de transmuter ce que j’ai ressenti en quelque chose de stimulant ? Qui m’aide à être Moi ? Est-ce que je suis encore pleine de ressentis désagréables ? Est-ce que mon cœur se sent plus léger ? Est-ce que je le sens plus lourd encore ? Dans ce cas, peut-être vaut-il mieux garder le silence. Car blâmer les autres (comme vous blâmer vous-même) ne vous aidera pas à aller mieux et à oublier le passé. Il n’y a que le pardon et la pensée proactive qui sauront vous libérer de ce passé que vous souhaitez tant oublier.

Si ces messages vous parlent, et que vous vous sentez prête à aller de l’avant, je vous propose d’assister à une conférence – développement personnel. ils vous partage les étapes pour créer la vie qui vous ressemble, tel un voyage exploration au cœur de vous-m’aime.

 CONSEIL N°7 POUR OUBLIER LE PASSÉ – CRÉEZ POUR VIVRE LE MOMENT PRÉSENT

Du bricolage, de la peinture, du tricot, du dessin, de l’écriture : peu importe la nature de l’activité, soyez créatif(ve) et impliquée. Personne ne vous jugera sur le rendu final de vos créations, car le but de l’exercice n’est pas de construire un chef-d’œuvre (et encore…), mais de vous ancrer dans le moment présent, pour ne plus vivre dans le passé.

Être créatif(ve) requiert une belle présence, une belle ouverture à l’inspiration et une totale implication. La nature a horreur du vide  En faisant cela, vous prenez dans votre esprit la place qu’il n’aura plus pour les pensées du passé, et vous connectez à la beauté, à votre pouvoir créateur, à votre liberté d’être et de faire. N’hésitez pas à le faire régulièrement, et à ne pas oublier les autres étapes d’observation / acceptation.

 CLÉ N°8 : ALLEZ DE L’AVANT !

Après les phases d’écoute, et d’accueil inconditionnel de ce qui a émergé en vous, les étapes suivantes (piliers n°2 et 4 du CAP) sont : choisir l’amour et agir.

Je vous invite ici à prendre le temps de choisir. Choisir qui vous voulez être maintenant, ce que vous voulez ressentir, ce que vous voulez vibrer, ce que vous pouvez faire pour incarner cela.

Cultivez l’amour, la confiance, croyez en vous et en ce que la vie vous réserve.

Et puis, agissez. Un petit pas après l’autre, en direction de cette plus belle pensées sur vous-m’aime.

4 clés pour aller plus loin…

J’espère que ces éléments résonnent en vous, et que vous vous sentez prête à avancer sur la voie de l’accueil de ce qui est en vous. Oublier le passé – attention donc, expression à nuancer –  peut donc être salutaire… Voici 4 clés dont il est important d’avoir conscience sur ce chemin.

 OUBLIER LE PASSÉ TEL QU’ON L’A INTERPRÉTÉ

Vous voulez oublier le passé parce que avez en tête tous les événements difficiles qui ont marqué votre vie. Seulement voilà… Ce n’est pas réellement le passé que vous voulez oublier. Car ce ne sont pas, à strictement parler, les événements en eux-mêmes dont vous vous souvenez, mais plutôt vos pensées sur ces événements.

Et c’est normal. Votre souvenir est influencé par :

  • Ce que vous avez ressenti et vos pensées ;
  • Votre état psychologique et émotionnel à ce moment-là ;
  • Vos sentiments à l’égard des personnes présentes dans ce souvenir…

Prendre conscience de ces filtres perceptifs, c’est déjà faire un premier pas pour ne plus vivre dans le passé !

 OUBLIER LE PASSÉ : ACCEPTER L’IDÉE QUE VOUS AVEZ LE CHOIX

C’est vous qui choisissez si, oui ou non, vous voulez oublier le passé ! Tout part de votre décision, de votre intention.

On raconte souvent l’histoire de ces deux frères, fils d’un père alcoolique et violent, qui avaient été interrogés des années plus tard. L’un était devenu une copie conforme de son père, l’autre avait brillamment réussi dans la vie. Lorsque les chercheurs leur avaient demandé comment ils en étaient arrivés là, tous deux avaient expliqué leur situation de la même façon : « avec un père pareil je n’avais pas le choix ».

Le fait est que nous avons toujours le choix ! A chaque instant, nous choisissons qui nous voulons être :

  • Choisir de tourner en rond, de ne pas se libérer, quitte à reproduire inconsciemment ce que nous fuyons.
  • Choisir d’en faire une force, de la transmuter au service de qui nous voulons être.

 PLEINE CONSCIENCE ET MOMENT PRÉSENT

Ce point est primordial pour oublier le passé :

Prendre conscience que le passé n’est plus qu’une pensée, que le futur n’est qu’une pensée, et que le seul moment vécu, est le moment présent. Cultiver la pleine conscience c’est se reconnecter pleinement, entièrement au moment présent, pour plonger dans son immensité, dans sa richesse.

Pour vous y aider, vous pouvez par exemple commencer par une courte méditation de pleine conscience. Se connecter à l’instant présent, c’est donner à sa vie une autre dimension, celle d’une création consciente de chaque seconde.

 ON N’OUBLIE JAMAIS RIEN…

Cette dernière clé est un rappel de messages que j’espère vous avoir transmis dans cet article :

En vérité, il ne s’agit pas vraiment d’oublier le passé. Vous n’oublierez pas la perte ou le deuil que vous avez vécu, tout comme vous n’oublierez pas les violences et autres souvenirs négatifs. Pourquoi les oublier ? Ils sont ce qui vous a construit, votre unicité, votre parcours. L’oubli reviendrait, en quelque sorte, à faire une forme de déni de ce qui s’est passé. A enterrer plus ou moins profondément le souvenir douloureux… qui finira par remonter à la surface.

En revanche, vous pouvez apprendre à l’accepter. L’accueillir comme une part de vous-même, sans jugement et sans conditions. C’est la clé de votre développement personnel et de votre quête d’alignement !


Vous disposez à présent de pistes essentielles qui vous ouvriront les portes de cette prison qu’est parfois le passé. Si vous souhaitez aller plus loin, découvrez notre article pour vous redécouvrir sous un autre angle (celui de l’amour !), et créer la vie qui vous ressemble.

Et vous, vous êtes-vous réconcilié(e) avec vos démons du passé ? Comment avez-vous procédé ? Car il existe deux choses qui empêchent une personne de réaliser ses rêves : croire qu’ils sont irréalisables, ou bien, quand la roue du destin tourne à l’improviste, les voir se changer en possible au moment où l’on s’y attend le moins.

L’espoir de lendemains sur un même chemin, le soutien d’une épaule, une main dans sa main pour franchir aisément les pièges du destin, un bonjour mon amour, dans le petit matin. C’est l’odeur de café, de tartines grillées, la pudeur piétinée, un je t’aime, un baiser, un fou rire parfois, des soupirs dans le noir, un don profond de soi, la peur de décevoir.

By DIANA ABDOU

Le 06 avril 2022

Devenir Serveur(se), blogueur ou encore écrire un magazine, nous avons tous un rêve.

Étreinte par le regard des autres, la peur de l’échec et les doutes, votre audace laisse peu à peu place à la machine du quotidien. Pourtant, la vie vaut la peine d’être vécue intensément à chaque instant. Pour cela quoi de mieux que de vivre en plein rêve ? Aujourd’hui nous vous donnons les raisons de croire et de réaliser vos rêves.

Tout simplement parce que c’est possible

Nous ne vous parlons pas des rêves que vous faites quand vous dormez, nous vous parlons du rêve que vous faites éveillé(e), quand vous vous projetez dans l’avenir. Nous avons tous cette vision du futur, mais cette vue est accompagnée de pensées négatives. Elle apparaît comme quelque chose d’inatteignable, mais pourquoi ? Sans doutes, car vous ne voulez pas oser ou que vous avez peur de l’échec. C’est vrai, pourquoi essayer alors que nous ne sommes pas certains d’y arriver ? Cependant, si vous écrasez vous-mêmes vos rêves, il n’y a aucune chance qu’ils se réalisent. Si vous vous mettez vous-mêmes des barrières, alors c’est impossible. Vous n’êtes pas sûr(e) d’y arriver, mais vous n’êtes pas sûr(e) non plus d’échouer, alors pourquoi ne pas tenter ? Pourquoi ne pas croire en vous ? Si vous n’êtes pas certain(e) à 100 % que c’est impossible, alors c’est possible.

Il existe deux choses qui empêchent une personne de réaliser ses rêves : croire qu’ils sont irréalisables, ou bien, quand la roue du destin tourne à l’improviste, les voir se changer en possible au moment où l’on s’y attend le moins. C’est vrai, perdre ce dont on rêve est tragique, mais réaliser ses rêves, je pense qu’on ne peut rien souhaiter de mieux. L’année 2021 j’ai rêvé de trouver l’amour, de plonger mon âme dans une autre, réveiller un cœur anesthésié par la peur de souffrir. Mon rêve s’est réalisé et si ça, c’est une tragédie, alors je souhaite la connaître à nouveau. Parce qu’il n’y a rien de plus précieux au monde. Dans la vie il faut se battre, se défendre, conquérir, réaliser ses rêves et ses désirs.

La démarche

« Notre ego fait tout ce qu’il peut pour que nous ne voyons pas nos blessures (…) parce que nous lui avons donné ce mandat inconsciemment ».

Lise Bourbeau considère que chacun d’entre nous vit avec ses fêlures, ses faiblesses et cherche à les camoufler, face aux autres et à soi-même, au lieu de les accepter pour mieux les affronter. Ainsi, une trahison, un sentiment d’abandon, ou un manque d’amour peuvent-ils conditionner toute notre vie si nous n’en prenons pas conscience.

Avoir le courage de changer ce qui peut l’être, accepter avec sérénité ce qui ne le peut pas et posséder le discernement nécessaire pour faire la différence entre les deux. l’imprévu, le manque d’amour (ou la déloyauté), la souffrance, l’injustice, l’impermanence (ou la finitude). Inutile de songer à fuir, seul un positionnement juste peut nous faire traverser ces épreuves en nous permettant d’en tirer des enseignements nourrissants.

Vous sentez-vous épuisé émotionnellement face à votre travail ? Doutez-vous de l’importance de votre travail ou de votre contribution à celui-ci ? Avez-vous l’impression de trop vous y investir pour ce que vous en retirez ?

Croire en ce que l’on fait et croire en soi est déterminant pour pouvoir créer la vie que l’on aspire à vivre. Lorsque l’on croit que ce que l’on vise est possible, il existe ensuite des dizaines de moyens et de clefs qui permettent de passer à l’action et d’atteindre ses objectifs. Mais si une personne ne croit pas en ses rêves, ne croit pas que son projet puisse se réaliser, alors quoi qu’elle fasse de ces outils, le projet n’aboutira pas.

Toutes les personnes qui réalisent leurs rêves et ont une vie qui les inspire ont un point commun : A un moment ou à un autre, elles se sont autorisées à y croire. L’idée n’est pas de dire que parce qu’elles y croyaient, leurs rêves se sont réalisés… mais que si elles n’y avaient pas cru, ça ne se serait pas réalisé.

Croire que c’est possible est une condition indispensable.

Pendant longtemps, j’ai eu du mal à m’autoriser à croire que je puisse réaliser mes rêves. J’allais au bout de ce que je pouvais faire, j’osais m’engager, mais j’avais peur de l’échec, peur que ce soit impossible de réaliser mes rêves…


J’avais tendance à me dire :

« Pourquoi faire quoi que ce soit alors que je ne suis pas sûr d’y arriver ? ».

Alors que j’aurais aussi bien pu me dire :

« Pourquoi ne pas essayer puisque je ne suis pas certain d’échouer ? » Et ce simple retournement dans la question fait déjà une différence énorme. Parce que tant que je ne me persuade pas moi-même que j’ai les capacités et que je peux peut-être réaliser mon rêve, je ne fais rien.

Mais qu’est-ce que la réussite ?

C’est avant tout une notion intérieure. Chacun peut définir lui-même ce que c’est que de réussir. C’est possible de définir ce que signifie réussir pour soi sans se comparer aux autres ou se mettre de pression par rapport aux résultats… Et quand on se libère de l’illusion sociale de la réussite, il suffit de très peu de choses pour considérer qu’on est en train de réussir.

Il suffit de faire ce qu’on peut chaque jour pour aller vers ce qui est important pour soi, d’être en chemin, quelle que soit l’allure.

Quand on voit que la réussite n’est pas dans le fait d’atteindre quelque chose mais dans celui d’aller vers ce quelque chose, on ne peut plus échouer. On peut voir que le simple fait d’aller vers ses rêves, qu’on les atteigne ou non, est suffisant et a de la valeur.

On peut commencer à croire que c’est possible de réaliser ses rêves, parce qu’être en chemin, c’est déjà leur donner une chance. Croire qu’un rêve est possible et avancer dans sa direction nous donne du pouvoir, cela libère de l’énergie immédiatement. Et cette énergie permet d’avancer, de mettre en place des actions qu’il aurait été impossible de réaliser sans.

Quand on croit que c’est possible et qu’on se met en chemin, on est pas certain d’atteindre ce qu’on vise, mais on est sûr de réussir quelque chose par ce qu’on devient et par ce qu’on créé comme opportunités. On se charge en énergie, on créé une vision et la capacité à attirer les bonnes personnes. Croire qu’on peut réaliser ses rêves et avancer pour ça, c’est déjà devenir la personne que l’on souhaite devenir et donc réussir.

Alors n’est-il pas temps dès aujourd’hui de s’autoriser à croire en ses rêves ?

Êtes-vous sûr.e que réaliser vos rêves est impossible ? Non.Donc, quelque part, c’est possible de les réaliser. Quelque part, vous pouvez y arriver. Est-ce qu’il existe des gens dans l’histoire qui ont eu un rêve similaire au votre et qui croyaient ça impossible avant de finalement changer, se mettre à y croire et le réaliser ? Certainement.

Vous avez aussi déjà réalisé plusieurs choses que vous aviez cru impossible à réaliser dans le passé. Au fond, vous savez que quelque chose que vous croyiez impossible à un moment peut devenir possible un jour.

Que vous pouvez donc choisir de croire qu’il est possible de réaliser vos rêves, d’en choisir un et de vous mettre en chemin pour le réaliser…

Parce que c’est aussi se réaliser

Votre rêve ne va peut-être pas se réaliser, mais vous, vous allez vous accomplir. Parce que tout donner pour un rêve va vous rendre vivant(e). L’objectif n’est pas d’être heureux plus tard, il faut être heureux maintenant, car vous progressez dans votre projet. “Je deviens une autre personne qui n’a plus peur du regard des autres, de ne pas y arriver. Je donne une chance à mon rêve donc je me sens bien”. Croire en vos rêves, c’est tout simplement croire en vous. Vous passerez forcément par des échecs, mais ces moments vous permettront de découvrir des forces insoupçonnées qui vous aideront à les surmonter si vous persévérez. Ne croyez pas ceux qui vous disent que votre rêve est impossible, ce sont les mêmes qui n’osent pas agir. Ce n’est pas grave si des personnes extérieures vous disent que vous n’y arriverez pas. La seule personne qui doit y croire pour commencer à construire votre projet, c’est vous.

Il est maintenant temps pour vous de passer à l’action, d’oser, d’en finir avec les mauvaises excuses. Quel que soit votre rêve, retenez qu’avec de l’investissement personnel et de la persévérance, vous pouvez le réaliser. Alors faites-le, juste parce que c’est possible.

Dans cet article, je vais vous expliquer comment faire concrètement pour ne pas abandonner lorsque vous n’êtes pas très loin de tout lâcher. Une personne, n’aime pas baisser les bras, nous le savons tous, car c’est un sentiment d’échec. Vous savez, avoir ce sentiment est tout à fait normal, car nous sommes humains.

RËVES,objectifs

Je crois que lorsque quelque chose vous tient vraiment à coeur et que vous n’êtes pas loin de renoncer pour mille et une raisons, vous êtes en train de peut-être faire une erreur que vous pourriez regretter.

Nous allons voir ensemble les étapes, qui, selon-moi, sont les meilleurs pour ne jamais abandonner. Bonne lecture!

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LA MARCHE À SUIVRE POUR SAVOIR COMMENT NE JAMAIS ABANDONNER DANS LA VIE.

1ère étape : Avoir un pourquoi « puissant ».

Qu’est-ce qu’un pourquoi « puissant » ? C’est votre bouclier qui vous protège contre les flèches qui vous attaquent! Qui sont les flèches ? Ce sont les gens qui vous critiquent! Les personnes qui vous disent que vous n’êtes pas capable, que vous n’y arriverez jamais, que vous n’êtes pas assez compétent, que vous avez trop d’étiquette, que vous êtes trop petit, etc. Votre pourquoi, qui est « le bouclier », est en effet une protection contre ces gens qui vous critiquent!

RËVES,objectifs

Je vais vous expliquer ce qu’est un « bouclier très puissant ». Pour moi, j’ai deux gros boucliers, c’est mon ami Bryan SOLTNER qui est décédé en 2010 et moi quand je pense que tout ce que j’ai pu traverser j’ai eu du mal à me relever cela m’a demandé beaucoup de courage et du temps. Lorsque les gens critiquent, je me mets tout de suite à penser à lui et je me relève très vite ! Par exemple, si quelqu’un me dit quelque chose du genre : Diana, tu devrais retourner à l’école et te trouver un vrai travail ! Ton métier d’indépendante ne t’apporte rien et les gens s’en fou…

J’avoue que ce genre de critique me fait mal ! J’ai déjà ressenti cette flèche qui m’a presque atteint le cœur, MAIS rappelez-vous, j’ai mon bouclier très puissant. Donc qu’est-ce qui arrive dans ce cas-là ? Je pense à mon pourquoi « le bouclier » qui est mon ami et mon parcours. Vous devez vous dire par exemple : « je fais cela pour mon père » et personne ne sera plus puissant que ce « pourquoi ».

Alors dès maintenant, posez-vous la question: quel sera mon plus puissant « pourquoi » contre les gens qui vont me critiquer ? Prenez-la en note pour ne pas oublier. 

Attention! Notez-le! Les flèches ne doivent pas traverser le bouclier. S’il n’est pas assez puissant, trouvez immédiatement un bouclier plus puissant qui va tenir le coup! Il doit être tellement puissant que rien ne pourra le traverser (cela peut être pour vous, votre enfant, votre conjoint (e), votre meilleur ami, etc.). On a tous un bouclier en nous, une motivation si forte que rien ne peut l’anéantir !

Visionnez cette vidéo inspirante le 5 avril 2022, ça va vous booster !

Avec cette première étape, vous êtes très bien parti pour vous relever beaucoup plus facilement et ne pas abandonner. 

2e étape : Croire en ses rêves, même les plus fous !

Imaginez une personne qui n’a pas de rêve ou, si elle en a, qui n’y croit pas du tout et ne veut même pas y croire! C’est certain à 100% qu’elle ne pourra jamais se relever face à une grande épreuve, car elle est « facile » à abandonner. Si vous n’avez pas de rêve ou que vous n’y croyez pas, alors c’est déjà l’échec même avant d’avoir commencé! Lorsqu’une personne se permet de rêver, elle peut tous les réaliser, même les plus insensés!

Un jour j’ai lu une citation de Walt Disney, (un gars que vous connaissez probablement, en tout cas, si vous ne le connaissez pas, taper son nom sur Google et vous allez avoir une réaction du genre « Oh my God, ça provient de lui tous ces films de jeunesses incroyables! » Bref je rigole hihi! Walt Disney disait dans sa citation) : « Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire. »

RËVES,objectifs

Alors faites juste imaginer à combien de bandes dessinées Walt Disney a rêvé durant toute sa vie ? Pratiquement tous ses rêves se sont réalisés, il n’y a aucun doute! Il n’est pas fou, il était vrai, tout simplement!

Permettez-vous maintenant de rêver! Même les rêves les plus fous peuvent se réaliser, sinon personne ne serait allé dans l’espace, ni n’aurait créé les plus grosses compagnies au monde telles que Mc Donald, Apple, Facebook, Microsoft, etc. Tous ces gens-là qui ont bâti leur empire, car ils ont tous ce point en commun soit celui de rêver et de se permettre de réaliser leurs rêves pleinement.

Vous devez vous accrocher à vos rêves et ne pas abandonner, surtout lorsque vous vivez des épreuves difficiles, car le regret sera le résultat final!

Lorsque vous avez confiance en vous et en vos rêves, que vous y croyez sincèrement, rien ni personne ne peut vous arrêter. Si vous avez de la difficulté sur la confiance en soi, alors lisez mon article sur la liberté est un reflet on efface tout et on recommence et revenez ici par la suite.

« C’est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. »

– Paulo Coelho

3e étape : Mettez votre ego de côté !

Qui est « l’ego » ? C’est votre deuxième « moi ». Eh oui, pour ceux et celles qui ne le savent pas, je viens de vous apprendre que vous avez un deuxième « moi », mais qu’il n’est pas très gentil celui-là hihi! L’ego désigne généralement la représentation et la conscience de soi-même.

Il décide pratiquement toujours à votre place! Surtout si vous êtes une personne qui ne maîtrise pas bien ses peurs d’affronter un défi ou une bonne sortie de zone de confort! Et ça tombe bien, car j’ai écrit aussi un article que vous pourrez lire sur comment maîtriser la peur qui pourra vous aider à ce sujet!

Quand l’ego apparaît-il le plus souvent ? C’est lorsque vous hésitez! Eh oui! L’hésitation attire votre ego et lorsque cela arrive, vous le combattez. C’est comme une guerre et très souvent c’est lui qui gagne la bataille, car c’est plus facile d’abandonner que de foncer! Prendre action, est ce qui peut tuer votre ego. Vous devez absolument fermer la boîte à clapet de votre ego, qui va sans cesse vous faire hésiter sur quelque chose pour finalement abandonner.

Vous voulez un truc pour le vaincre ? Faites comme si tout était possible! Lorsque votre ego est au travers de votre chemin, il vous dira que vous ne pourrez peut-être pas réussir, alors pensez à « tout est toujours possible ». Ne faites pas seulement que vous le dire, pensez-y sincèrement au point que vous ne pouvez pas croire que ce soit impossible. D’après moi c’est l’une des meilleurs façon de vaincre votre ego « fatiguant » qui vous empêche très souvent de réaliser de grandes choses extraordinaires dans la vie.

Pour vous aider à croire que tout est possible, dites-vous « je trouve toujours une solution à tout! ». J’en parle dans le deuxième point de mon article La réinvention de soi : agir, revenir et recommencer.

Vous êtes une personne incroyable, sachez que vous pouvez tout accomplir ce que vous pensez et croyez. Vous le pouvez! Faites en sorte de croire en vous et en vos rêves, puis mettez votre ego de côté. Si c’est trop difficile de prendre une décision, alors simplement penser à cette phrase : « qu’est-ce qui pourrait m’arriver de pire? » Le pire, c’est de ne pas croire en vous, en vos rêves, en vos capacités qui sont immenses !

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Croyez en vous, munissez-vous de votre bouclier très puissant et allez-y, car si vous n’avancez pas, personne ne pourra le faire à votre place ! Vous seul le pouvez !

Donc voilà les amis! Si vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à partager avec votre famille et vos amis. Vos commentaires sont toujours les bienvenus et c’est toujours un grand plaisir pour moi de vous lire!

Je vous souhaite tout le meilleur des succès et pour bien conclure je vous laisse sur cet article inspirante .

À bientôt! Votre rédactrice , Diana ABDOU

Il y a toujours trois versions à une histoire: la mienne, la tienne et la vérité. Il faut avoir connu la douleur, pour apprécier la santé ! Il faut avoir connu la détresse, pour apprécier l’amour ! Il faut avoir connu le mensonge, pour apprécier la vérité ! Il faut avoir connu le malheur, pour apprécier le bonheur ! Il faut avoir connu la solitude, pour apprécier le partage ! Il faut avoir connu l’ignorance, pour apprécier le savoir ! Il faut avoir connu la lâcheté, pour apprécier le courage ! 

La beauté est éphémère. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Chacun a sa propre définition de la perfection et de la beauté. Alors arrêtez de critiquer un tel parce qu’il est comme-ci ou une telle parce qu’elle est comme-cela. Tout le monde est différent par certains aspects.

“En mai, fais ce qu’il te plaît.”

Pour éviter de sombrer dans la routine et l’ennui, rien de tel que la découverte et l’apprentissage continus.

Entreprendre régulièrement de se former à une nouvelle compétence, de tester une activité ou un nouveau lieu permet d’une part de rester stimulé, mais aussi d’ajouter des cordes à son arc et de rester “à la page” voire, parfois, d’aborder votre métier sous un nouvel angle.

“La peur est la plus vieille et la plus forte émotion de l’humanité et le plus vieil et plus fort type de peur demeure la peur de l’inconnu.” 

Théorie apocalyptique, crise mondiale, révolution, chômage, décision politique… Les médias nous renvoient en ce moment une vision de l’avenir pas très sécurisante. Les conversations des adultes, leurs peurs à eux, tout ça peut parfois se mélanger avec ses propres questions. Vais-je réussir mes examens de fin d’année ? Pourquoi je ne sais pas ce que je vais faire plus tard ? Est-ce que l’amour existe et est-ce que je le rencontrerai ? Avec qui je serai en cours l’année prochaine ? Qu’est-ce que cette peur du futur signifie et quoi faire quand elle prend trop de place ?

La peur de l’avenir…

Nous sommes des animaux qui avons conscience du temps qui passe et donc du futur. Notre intelligence nous permet de « prévoir » des évènements, de faire des projets (ça c’est plutôt agréable) mais aussi de mettre en place des stratégies. Avoir des repères permet d’être acteur de sa vie. Pourtant, en matière de futur, on n’a aucune certitude… et pas entièrement le contrôle. On peut alors avoir peur. Le futur, l’avenir, c’est aussi l’inconnu et, même si c’est parfois excitant, c’est aussi un peu inquiétant.

Cette peur est normale tant qu’elle n’est pas trop forte. Elle permet de se dire qu’il y a peut-être un danger, un imprévu et de s’y préparer. Elle rend vigilant et lance le signal « il faut envisager une solution sinon ça pourrait être difficile ».

Pourtant, dans certains cas, elle n’aide plus à repérer ce qui pourrait être dur et à anticiper les difficultés mais peut empêcher de penser, d’avancer, de dormir… Et là, elle nous signale que quelque chose ne va pas dans le présent et peut-être dans notre passé. Il faut alors essayer de prendre de la distance et de trouver de l’aide.

La partager pour pouvoir relativiser !

« Tout le monde sait ce qu’il veut faire plus tard et pas moi !!!! ». L’adolescence est l’âge où l’on prend ses premières vraies décisions. On choisit ses copains, ses amoureux, on tente de dessiner le contour de son avenir. Parfois, ces décisions sont difficiles à prendre et dans d’autres cas, on ne sait même pas quels sont les choix possibles ! Il est important de relativiser : bien sûr untel sait qu’il sera médecin mais la plupart des autres ne savent pas (c’est sûr, on les entend moins). C’est même plutôt normal à un moment de sa vie où tout va très vite, où en une semaine on a pu faire de nouvelles expériences, de ne pas arriver à se projeter 20 ans plus tard… En en discutant, on peut se rendre compte que la situation est finalement partagée et le sentiment de peur se dissipe (d’autres vivent la même chose et rien de grave ne leur arrive).

Relativiser, c’est aussi prendre de la distance. Parfois, ce sont les parents qui ont très peur et qui peuvent mettre la pression « jamais tu ne trouveras de travail si tu continues à sortir/jouer à la console/ne rien faire en classe ». Cette peur est la leur, il faut bien sûr l’entendre : peut-être qu’ils ont remarqué que quelque chose n’allait pas, mais il faut aussi ne pas oublier que ce ne sont pas « des oracles ». Ils n’ont pas le pouvoir de prédire l’avenir…

Avoir confiance en soi, dans les autres si on se sent démuni, dans la vie permet aussi de lire cette peur comme le signe que le projet ou les choses auxquelles elle est liée sont juste importantes pour soi. On peut alors faire une petite liste des choses à faire : imaginer faire une activité extra scolaire avec sa meilleure amie au cas où on ne soit pas dans la même classe, prendre rendez-vous avec un conseiller d’orientation si on ne sait pas vers quelles voies se diriger etc…

Quand la peur paralyse, il faut se faire aider

Parfois, rien que le fait de penser au futur peut être angoissant. Ce n’est plus seulement de la peur. On peut imaginer que l’on n’y arrivera jamais/que l’on peut avoir un accident/qu’il n’y a rien de possible/que l’apocalypse du moment sur le COVID19 ! Attention, cette angoisse ne parle pas de l’avenir mais est plutôt le signe qu’il y a quelque chose qui va mal, ici et maintenant. Cela peut même venir d’expériences passées. Donc avoir un peu peur de l’avenir (et de ce qui va avec : l’inconnu, l’échec possible, le fait de ne pas pouvoir tout contrôler), ça va, mais être envahi par de l’angoisse quand on essaie de se projeter dans le futur… c’est autre chose.

N’hésitez pas à appeler Fil Santé Jeunes au 0800 235 236 pour mettre des mots sur cette angoisse si vous la vivez. Réfléchir avec un professionnel sur les causes de cette angoisse permet de s’en dégager.  C’est un premier pas pour qu’elle appartienne au passé.