
Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Lorsque l’on est confronté à la mort ou que l’on souffre d’une perte douloureuse, nous traversons tous, plus ou moins, cinq étapes de la peine : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. Puis on s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre les chanceux, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce que l’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Un jour. Et quand les négociations échouent, la colère est difficile à contenir, on tombe dans le désespoir, jusqu’à ce que l’on accepte finalement qu’on a tout tenté, en vain. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il vient à chacun en son temps, de sa propre manière et ce qu’il y a de pernicieux en lui, c’est qu’on ne peut le contrôler. Alors, le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments comme ils viennent et les laisser partir comme on peut, dans le silence des ombres que sont devenus les autres, au regard de notre souffrance indicible.
Quand on a le sentiment que le temps est compté, on agit plus et plus vite. Ça fait peur, le temps mort. Pourtant c’est dans ce temps-là, où en apparence il ne se passe rien, que tant de choses en nous se ramassent pour prendre forme.
Dans toutes les Langues du monde existe le même dicton : ce que les yeux ne voient pas, le cœur ne le sent pas. Eh bien, j’affirme qu’il n’est rien de plus faux ; plus on est loin, plus ils sont près du cœur, les sentiments que nous essayons d’étouffer et d’oublier. Si nous sommes en exil, nous voulons garder le moindre souvenir de nos racines, si nous sommes loin de l’être aimé, chaque personne qui passe dans la rue nous le rappelle. On fait tous au moins un vœu par an, en soufflant les bougies de notre gâteau d’anniversaire. Certains d’entre nous en font plus : pour un cil sur une joue, devant une fontaine, en voyant une étoile filante… et de temps en temps, un de ces vœux se réalise. Et après ? Est ce que c’est aussi bien qu’on l’espérait ? Est ce qu’on se laisse aller dans le rayonnement de notre bonheur ? Est-ce qu’on se rend compte qu’on a une longue liste de vœux qui attendent d’être exaucés ?
De beaux fragments tout ruisselants Leurs déroulements indolents L’un après l’autre Au fur et à mesure que je me les rappelle et que j’y pense Des vrais poèmes Ce que nous appelons poèmes n’est qu’image Les poèmes de l’intimité de la nuit et d’homme comme moi Ces poèmes qui retombent timides et invisibles que je porte toujours avec moi Et que portent tout les hommes.
Les êtres humains ont besoin de beaucoup de choses pour se sentir vivant : la famille, l’amour et le sexe. Mais la seule chose essentielle, c’est d’être en vie. Il nous faut un cœur palpitant. Lorsque notre cœur est menacé, nous réagissons de deux façons : ou nous fuyons ; ou nous nous battons. Il y a une expression pour dire ça : le combat ou la fuite. C’est instinctif. Nous ne pouvons pas le contrôler. En sommes-nous capable ?

Perdre un être cher, c’est perdre un morceau de sa vie, une pièce d’un puzzle que l’on ne pourra finir et qui restera à jamais inachevé au plus profond de notre cœur… Perdre la vie est perdre le seul bien que l’on ne pourra regretter d’avoir perdu puisque l’on ne sera plus là pour s’en rendre compte.
Il y a une chose plus triste à perdre que la vie, c’est la raison de vivre, plus triste que de perdre ses biens, c’est de perdre son espérance. La vie est courte et c’est péché de perdre son temps. Je suis actif, dit-on. Mais être actif, c’est encore perdre son temps, dans la mesure où l’on se perd. Aujourd’hui est une halte et mon cœur s’en va à la rencontre de lui-même. Si une angoisse encore m’étreint, c’est de sentir cet impalpable instant glisser entre mes doigts comme les perles de mercure. Laissez donc ceux qui veulent tourner le dos au monde. Je ne me plains pas puisque je me regarde naître. À cette heure, tout mon royaume est de ce monde.
Aujourd’hui je t’offre la clé du bonheur. C’est une clé que tu avais peut-être perdue ou oubliée ? Quoi qu’il en soit, j’aimerais que tu l’acceptes. Je te la donne en toute sincérité, avec tout mon coeur.
Il y a peut-être longtemps que tu t’empêches de faire des choses qui feraient ton bonheur. Tu as peut-être mis de côté cette idée de partir en voyage, de prendre un cours quelconque, de t’acheter des nouveaux vêtements, de changer de voiture etc. Enfin, de te faire plaisir.
Je sais que plusieurs raisons ont pu t’empêcher de passer à l’action pour obtenir ou faire ce que tu désires. Cela peut être la peur de ne pas être à la hauteur, la peur qu’il t’arrive quelque chose de désagréable, la peur de manquer d’argent, la peur d’être jugé etc. Quelles que soient tes peurs, savais tu qu’elles existent pour t’aider ?
Les peurs existent pour être dépassées, pour te faire grandir. A chaque fois que tu te laisses contrôler par une peur, tu n’es plus en contact avec ton pouvoir. En faisant confiance davantage à la vie (en passant à l’action) et en te rappelant que tout ce qui t’arrive n’est qu’expériences pour apprendre, tu deviendras de plus en plus conscient que tu as ce grand pouvoir de t’apporter tout ce que tu as besoin pour être heureux. Personne n’est responsable de ton bonheur, sauf toi.
Savais-tu que : “Que tu fasses ce que tu aimes pour ton propre plaisir ou que tu fasses ce que tu n’aimes pas par peur de déplaire, il y aura toujours quelqu’un qui critiquera quelque part. Alors pourquoi ne pas faire ce que tu aimes dès maintenant ?”
Commence par des petits bonheurs et dis-toi que tu y as droit. Tout le monde doit dépasser ses peurs. Réalise qu’au fond, tu n’as rien à perdre et que cette expérience te mènera vers de plus grandes réalisations. Commence dès maintenant en accomplissant des petites actions. Tôt ou tard, selon la loi de la manifestation, tu atteindras ton but. Sois patient !

Chaque jour est un jour nouveau. Pourquoi ne pas faire de ce jour celui où tu as commencé à te rendre heureux ? Ouvre tes ailes et dirige toi vers ce qui te tient à cœur.
Ceci est la clé du bonheur. Ne la garde pas pour toi. Plusieurs personnes que tu connais aimeraient aussi obtenir cette clé. Offre la leur en tout sincérité et commence à semer le bonheur autour de toi. Attrape la clé du bonheur et envoie la à tous ceux que tu connais.
Je te souhaite sincèrement tout le bonheur que tu veux !
Aussi, ne place jamais quelqu’un sur un piédestal. Cette personne à le même pouvoir que toi. N’envie personne. Ce qui la rend heureuse n’est pas nécessairement ce qui te rendrait heureux. La clé est d’aller chercher toi-même ce que toi tu as vraiment envie. Tu vois, c’est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s’interdire d’aimer, par peur de souffrir, d’être abandonné un jour. Et pourtant, qu’est ce qu’on aime la vie, alors qu’on sait qu’elle nous quittera un jour. Et même si j’avais un million de raisons de partir, je choisirai toujours la seule qui me dirait de rester…
Quand tu aimes quelqu’un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent. Tu prends tout, ou rien du tout.
La plupart des gens passent leur temps à essayer de trouver l’amour et dans la majorité des cas, cela finit toujours sans succès. L’amour n’est pas fait pour être trouvé, mais bien pour être construit une brique à la fois.
Le grand amour ne se trouve pas. Il se construit, puis s’entretient.
Apprenez à connaître la personne que vous aimez au lieu d’essayer de savoir si c’est la bonne personne pour vous. Apprendre à la connaître est la première étape pour construire une grande relation.
De cette façon, vous traversez les hauts et les bas de la vie ensemble. Si cette personne peut traverser toutes les tempêtes avec vous, alors c’est exactement ça d’aimer véritablement une personne !
Une fois que vous avez construit cette relation, vous devrez l’entretenir. C’est-à-dire de prendre soin de l’autre personne autant que vous en preniez soin à votre début de relation.
Un homme peut aimer des milliers de femmes, mais un vrai homme aime une seule femme de mille façons.
Par contre, si vous avez un conjoint et que vous êtes toujours à la recherche de l’amour, c’est l’une des choses qui pourrait détruire votre relation amoureuse. Vous n’êtes pas pleinement heureuse.

Parlons du véritable amour, de cet amour sans emballage, sans artifices ni romantisme. L’amour authentique est capable de durer dans le temps en apportant un bonheur sincère et un quotidien enrichissant où chaque membre du couple peut se développer personnellement et ensemble.
La flamme existe peut-être encore entre vous ? Parfois, il suffit simplement de recoller les morceaux qui rendaient votre vie ensemble épanouie.
Si vous vivez le véritable amour, nous sommes convaincus que vous connaissez déjà le secret: l’effort et le dévouement pour construire au jour le jour cette relation, dans laquelle les deux membres sont capables de faire équipe et d’apporter leurs énergies de façon semblable.
Le véritable amour existe, mais nous ne devrions pas avoir comme référence le monde du cinéma ou de la littérature. Parfois, l’amour ne suffit pas. Peu importe la passion, l’attraction ou ce sentiment qui nous aveugle, une relation saine nécessite plus que tout cela pour être authentique et durable.
Le ciment de l’amour vrai
Le véritable amour n’a pas besoin d’artifices, et ne se base pas sur cette magie selon laquelle les choses vont bien parce que « nous sommes prédestinés. »
Cependant, en laissant le « halo de magie » de côté, ce qui importe vraiment, c’est le quotidien, là où les petits détails construisent une relation authentique.
Évidemment, il peut y avoir cette étincelle où le hasard est peut-être en grande partie responsable du fait que deux personnes se soient rencontrées.
Savez- vous quelles sont les autres dimensions qui construisent un véritable amour?
-Une bonne communication, où l’écoute est sincère, où vous pouvez parler d’une manière démocratique, en parvenant à des accords.
Dans une bonne communication, les discussions plus vives sont également présentes, mais c’est quelque chose de normal, car il est nécessaire d’être honnête. Le changement on aime pas ça, ça nous fait peur. Mais on ne peut pas empêcher les chose de changer. Soit on s’adapte, soit on reste en arrière. Ça fait mal de grandir et de changer. Si on vous dis le contraire, c’est un mensonge. Mais la vérité, c’est que parfois plus les choses changent plus, elles restent les mêmes. Et parfois, le changement a du bon ; parfois le changement est la clef, le changement est tout.
Les forces sont réparties et il n’y a pas de perdants, car la balance tend toujours à s’équilibrer et les dialogues sont continus.
Mais régulièrement la réalité, nous force à arrêter la mélodie du bonheur. Vous pouvez tomber malade, votre copain peut vous trompez, vos amis peuvent vous décevoir. C’est dans ces moments là qu’on a le plus envie d’être soi-même, de tomber le masque et de montrer son vrai visage, angoissé, malheureux. La vie est faite de choix : Oui ou Non ; Continuer ou Abandonner ; Se relever ou Rester à terre… Certains choix comptent plus que d’autres : Aimer ou Haïr ; être un Héros ou un Lâche ; Se battre ou Se rendre ; Vivre ou Mourir… Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore : la vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement.
On ne peut pas se préparer à un impact soudain. On ne peut pas s’y préparer. Ça vous frappe, venant de nulle part ; et soudain, votre vie d’avant est finie ; pour toujours.

Tout es fini entre vous, tout. Et vous souffrez, parfois un peu, parfois beaucoup. Mais ce n’est pas tout, car en plus de la souffrance psychique et du sentiment d’abandon (pas cool), la science aurait décelé des symptômes physiques qui découleraient des peines de cœurs.
il n’y a pas de grande douleur, pas de grands repentirs, de grands souvenirs. Tout s’oublie même les grandes amours. C’est ce qu’il y a de triste et d’exaltant à la fois dans la vie. Il y a seulement une certaine façon de voir les choses et elle surgit de temps en temps. C’est pour ça qu’il est bon quand même d’avoir eu un grand amour, une passion malheureuse dans sa vie. Ça fait du moins un alibi pour les désespoirs sans raison dont nous sommes accablés.
Lassé enfin d’un état si malheureux et si incertain, il résolut de tenter quelque voie d’éclaircir sa destinée. Que veux-je attendre, disait-il ? il y a longtemps que je sais que j’en suis aimé ; elle est libre, elle n’a plus de devoir à m’opposer ; pourquoi me réduire à la voir sans en être vu et sans lui parler ? Est-il possible que l’amour m’ait si absolument ôté la raison et la hardiesse, et qu’il m’ait rendu si différent de ce que j’ai été dans les autres passions de ma vie ?
L’amour est une bonne douleur que les hommes supplient les femmes de leur infliger depuis la nuit des temps. Soit un homme, on nous le dit tout le temps. Mais au fond ça veut dire quoi ? Qu’il faut être fort, qu’il faut savoir se sacrifier, qu’il faut gagner à tout prix ? Peut-être que c’est plus simple que ça. C’est peut-être savoir accepter ses faiblesses. Parfois être un homme, un vrai, c’est savoir mettre sa fierté de coté, reconnaître la défaite et simplement tout recommencer.
Les erreurs qu’on commet sont parfois impossibles à rattraper. C’est difficile d’accorder une seconde chance. C’est encore plus difficile de la demander. Une chance de recommencer, en sachant ce qu’on sait maintenant, ce qu’on a appris. Une chance d’agir différemment. Une chance de corriger nos torts, d’essayer de rectifier nos erreurs. Une chance de tout recommencer à zéro.
La vie n’est pas un sport qu’on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’y avait pas de lendemain. D’accord, l’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ?
On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver.
Le rêve… c’est un soupçon de vie, c’est un peu d’espoir, c’est ce qui nous permet de faire de grande chose, c’est ce qui nous fait devenir “grand”.
Le cœur tranquillisé et assaini peut seul concevoir un grand amour et l’entretenir fort, même dans la douleur de l’absence. Pourquoi celui qui est vraiment amoureux demande-t-il la continuité, la durée des rapports ? parce que la vie est douleur et l’amour partagé un anesthésique, et qui est-ce qui voudrait se réveiller au milieu d’une opération ?
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Quand l’amour fait mal … Ouille !
Tomber amoureux, c’est vivre des émotions fortes, des sensations fortes aussi.
2 thoughts on “Chaque personne qu’on s’autorise à aimer est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Les gens disent qu’en restant optimiste, on est plus heureux et en meilleur santé.”
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