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À quoi sa sert de dépendre des gens qui tôt ou tard finiront par vous laisser tomber…

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Certaines personnes ont tendance à ne jamais terminer ce qu’elles ont commencé.

Ils commencent quelque chose, se lancent dans un projet vie et PROFESSIONNEL avec enthousiasme… avant de le laisser rapidement tomber. Comment expliquer cette motivation qui s’essoufle aussi vite qu’elle est née? Explications.

Je me suis toujours demandé comment je serai une fois adulte. Genre est-ce que je me ferai du fric ou est-ce qu’un jour je deviendrai quelqu’un d’important ? Parfois ce qu’on désire le plus au monde ne se produit pas. Et parfois des choses auxquelles on ne se serait jamais attendu, arrivent.

Il y a deux ans, ma conseillère en orientation m’a dit que j’étais en mode survie. Je courais après le temps et après l’argent. Je survivais jusqu’au prochain jour de congé, jusqu’à la prochaine paye. Je prenais mon mal en patience en rêvant aux vacances. Cette prise de conscience m’a permis d’aller de l’avant et les choses se sont peu à peu placées. Mais voilà qu’après une période de grâce, les derniers mois m’ont ramenée à ce mode de survie : anxiété, course contre la montre, stress financier et perte d’intérêt envers les activités quotidiennes.

Nous sommes tous à risque de tomber dans le mode survie. L’important, c’est de savoir reconnaître lorsque ça nous arrive. En prendre conscience est le premier pas pour s’en sortir. Voici quelques solutions concrètes si tu sens que tu survis plus que tu ne vis.

Une meilleure version de moi-même”

Adèle, 30 ans, est elle aussi une infatigable velléitaire. “Je m’enthousiasme pour un rien et je me projette en permanence. Je me dit toujours que quand je ferai du sport ou que je m’astreindrai à lire trois romans par mois, je serai une meilleure version de moi-même. L’ennui, c’est que je n’ai pas la motivation sur le long terme pour mener tous ces projets à bien. Voyant que les effets tardent à venir, je me décourage”, confie adèle. 

Les jolies filles peuvent coucher avec un mec quand elles le veulent, en claquant des doigts j’ai envie de dire.
Le problème, c’est qu’elles sont loin d’en avoir toujours envie !

Pourquoi ? Parce que pour la majorité des femmes, le sexe est un truc plus compliqué que pour nous.

Pour la plupart des femmes, coucher implique tout un tas d’émotions complexes et de questions métaphysiques :

Conclusion ? C’est plus facile pour une femme de mettre un homme dans la case « ami » que d’en faire un amant.

1.  Consulter un professionnel

Plusieurs ressources existent pour nous aider lorsqu’on se sent à bout de souffle. Que ce soit auprès d’un psychologue, d’un intervenant social, d’un conseiller en orientation ou d’un groupe de soutien, consulter est une expérience enrichissante pour apprendre à mieux se connaître. Le simple fait de pouvoir dire tout ce qui nous tracasse à voix haute procure un grand soulagement. Se libérer des blessures qui nous assaillent est parfois nécessaire pour sortir d’un cercle vicieux qui nous limite. Il sera ensuite plus facile de cerner les actions à poser pour retrouver un meilleur équilibre de vie.

2.  Faire un bilan de vie

Prendre un temps pour écrire ses objectifs de vie, ses rêves ainsi que ses valeurs permet de se recentrer et de se rappeler l’essentiel. C’est alors le moment de prendre conscience de ce qui cloche dans notre vie et de ce qu’on peut faire pour être mieux. Vivre en décalage avec ses aspirations profondes et ses valeurs est une source d’anxiété largement sous-estimée. On doit croire en la valeur de son travail pour y être bien. On adopte donc un mode de vie en phase avec nos valeurs intrinsèques et on laisse tomber la pression liée à la volonté des autres. Une fois nos objectifs de vie établis, on les décortique en objectifs à court et moyen terme. En listant les petites et grandes actions à entreprendre, on se dessine un plan de match motivant et réaliste. Pour que le processus soit constructif, il faut accepter que tout ne soit pas (et ne sera jamais) parfait. On se donne toutefois les moyens de se rapprocher le plus possible de la personne que l’on souhaite être.

3.  Améliorer sa gestion du temps

On aimerait tous avoir plus de 24 heures dans une journée pour accomplir la tonne de tâches qui nous accable et être libres de faire ce qui nous plaît ensuite. Le premier geste à poser est d’essayer d’améliorer sa gestion du temps. On établit un horaire et des échéanciers qui nous permettent l’assiduité dans nos projets. On apprend aussi à poser ses limites en disant non aux choses superflues qui gaspillent notre énergie et notre temps. Les médias sociaux, la télé, la procrastination et la peur d’agir sont des vortex incroyables. En agissant tout de suite, on évite l’accumulation de choses à faire avant qu’elles ne deviennent une montagne. Cela ne signifie pas de travailler plus, mais de travailler mieux pour ensuite pouvoir consacrer davantage de temps pour faire ce qu’on aime. Même chose pour l’entraînement, la détente et les sorties entre amis, on se réserve un temps dans notre agenda pour décrocher, se reposer et s’amuser. Tenter de travailler constamment et ne pas prendre de temps pour soi est contre-productif. Tôt ou tard, on s’épuise, notre motivation s’émiette et on tombe en mode survie.

4.  Mieux vivre avec le stress

Il existe 1001 trucs pour réduire l’emprise du stress sur sa vie. Tenir un journal de ses émotions ou pratiquer la pleine conscience est efficace pour gérer l’anxiété. Cesser de vouloir de contrôler ses pensées intrusives et seulement accepter leur existence permet déjà d’en réduire les effets néfastes. On laisse aller et venir les pensées sans leur accorder d’importance et on dit adieu à la culpabilité.

Les techniques de respiration, la danse, le yoga, la méditation, l’activité physique soutenue ainsi que le plein air permettent de détendre le corps, ce qui favorise la relaxation mentale. Les activités créatives telles que l’écriture, la peinture et le coloriage offrent quant à elles l’occasion de s’exprimer, de nourrir son côté créatif et de calmer l’angoisse. Passez du temps entre amis est également essentiel pour décrocher du quotidien et se libérer du stress. En prime, on enrichit ses relations, on est mieux entouré et on profite de la vie!

5.  Sortir du quotidien et de sa zone de confort

On l’oublie, mais la meilleure façon de sortir du mode survie est tout simplement de vivre! Alors lâche ton fou et sors de ta zone confort. Que ce soit en essayant une nouvelle activité, en relevant un défi professionnel, en sautant en parachute ou en choisissant de vivre autrement, prendre part à une aventure qui nous stimule nous fait sentir vivant. Se dépasser augmente la confiance en soi, ce qui nous donne envie de continuer à découvrir de nouvelles choses. Lorsqu’on débloque son potentiel, on prend conscience des millions de possibilités qui s’offrent à nous!

D’ailleurs, pour une femme, avoir un ami homme revient à avoir le beurre et l’argent du beurre : elle peut profiter des avantages que lui procure une présence masculine (sécurité physique, capacité à prendre des décisions, bons conseils et bon sens, etc…) sans vivre le tourbillon émotionnel qu’elle ressent quand elle couche avec un mec.

Evidemment les mecs sont différents. Pour nous, le sexe ne s’accompagne pas de prises de tête et d’états émotionnels intenses.

Derrière ce dilettantisme se cacherait en réalité une incapacité à envisager un projet sur le long terme et un perfectionnisme exacerbé. “Ces personnes fonctionnent avec impulsivité. Mais quand leur enthousiasme s’essouffle, elles plongent dans l’apathie. Consciemment ou non, elles sont terrorisées à l’idée de ne pas parvenir à un résultat parfait.”

Le fantasme d’une toute-puissance”

Inconstantes, versatiles, ces personnes passent aussi bien souvent pour d’incorrigibles indécises. “En réalité, cela masque une forme de narcissisme, reprend la spécialiste. En ne finissant jamais ce qu’elles commencent, elles se mettent à l’abris de la déception, ne se confrontent pas à la possibilité d’un échec et conservent le fantasme d’une toute-puissance, celle de pouvoir tout faire.

Du coup, on n’a pas besoin de faire cette séparation (aberrante, disons-le!) entre le sexe et l’amitié.

Et c’est même le contraire pour nous : quand on kiffe une fille, même comme amie, on a souvent envie d’exprimer ce sentiment… sous les draps. C’est notre façon naturelle d’agir.

… Malheureusement, vous le savez, le cerveau féminin n’est pas câblé de la même manière. Une femme ne peut pas s’empêcher de catégoriser chaque homme qu’elle fréquente comme « mec potentiel » ou « ami ».

Et une fois qu’une femme vous a relégué dans la friendzone, c’est très compliqué d’en sortir.

Une fois dans la L’empathie , elle s’attendra toujours à ce que vous la traitiez comme les autres mecs qui la sautent : payer pour ses diners, l’amener à droite et à gauche comme si vous étiez son chauffeur, etc… mais sans goûter à la contrepartie sexuelle !

Cette tendance, Maria, la connaît bien. “Je crois qu’au fond, j’ai peur de me confronter à des mecs. Je voudrais tout réussir, tout de suite. Comme ce n’est pas le cas, je saute du coq à l’âne, en espérant trouver la discipline où j’excellerais. Comme je n’y parviens pas, je perds peu à peu confiance en moi.

Trier ce qui relève du fantasme et ce qui nous motive vraiment

Pour les proches de ces éternels insatisfaits, ces revirements peuvent être l’objet de petites moqueries comme de grandes colères. “Quand je suis rentrée avec tout un équipement pour me mettre au yoga, mon conjoint a souri, un peu goguenard. Mais quand un mois plus tard, j’ai rapporté à la maison tout l’attirail pour me mettre à la natation, il a franchement ri jaune, me reprochant de ne rien prendre au sérieux”, se désole adèle. 

Pour apprendre à finir ce que l’on a commencé, il convient d’abord d’identifier les ressorts qui nous poussent à nous lancer dans de nouvelles activités en permanence, de trier ce qui est de l’ordre du fantasme, d’une représentation idéalisée de soi et ce qui nous motive réellement. Un premier pas pour se lancer de manière pérenne dans des projets de longue marie. 

Enfin, Faunes et Femmes Magazine engage à faire un véritable travail de fond. “Ces personnes ont souvent besoin de multiplier les activités pour s’occuper, car elles ne supportent pas d’être inactives. Cela masque souvent une ‘peur du vide’, une angoisse de la solitude. Au lieu d’en faire toujours plus, mieux vaut chercher dans son histoire ce qui nous a conduit à ce fonctionnement“, conclut-elle. De quoi méditer avant de s’inscrire à votre énième activité de l’année. 

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